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Tags associés : amour

Ses blogs

Des dits qu'on sent

Ce blog présente les textes de chansons écrits par Pierre Fendregella, textes qui ont trouvé ou cherchent encore leur air et-ou leur voix. N'hésitez pas à les commenter et si vous désirez leur donner air ou voix, contactez l'auteur.
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Articles : 7
Depuis : 13/11/2011
Categorie : Musique & Divertissements

Articles à découvrir

10 qu'on 100

Il n'est dit qu'on sent, compris s'il n'a senteur et saveur s'il n'est chair, s'il n'est couleur il n'est dit que ressenti alors comment te dire ? je n'ai que mots inouïs je n'ai que baumes inodores je n'ai que délices aigris que des mirages incolores alors comment te dire ? je perds sens et évidences amoureux sous amaurose coi sous anosmie qui

Sans toit

Te rappelles-tu ces doux moments quand tout été était présent ? pourquoi veux-tu las maintenant de nos hivers resté absent ? parce que vivre sans toi, c'est vivre sans abri vivre au froid au sein d'un monde d'ennui où tout est poids, où tout est pont sans rives où tout sans soie entraîne à la dérive te souviens-tu ces gais bons jours apr

A tout qui cherche

A tout qui cherche une mer à sa rive a tout qui cherche une voie sans dérive a tout qui cherche une veine à son sang a tout qui cherche une aubaine, … une, … c’est pas des cents avec nos guitares, d’un commun accord il n’est pas trop tard, on n’est pas sans sort de l’or de nos cœurs et désintérêts partageons sa note, l’amour

De la tête au pied

Où ai-je la tête quand j’ai les pieds sur terre ? où sont mes pieds quand j’ai la tête en l’air ? le rêve est raison si nous nous aimons non ? sur un coup de tête douce folie, je t’ai suivi d’un coup de pied j’ai congédié tous mes soucis pour perdre pied il a suffit de ta présence je perds la tête quand je pâtis de ton absenc

L'ivre

Je coulais, me noyais à la voir toujours à moitié pleine je n’en prenais jamais, j’étais bien trop porté sur elle je m’en fendais, j’en sifflais, descendais pour fuir ma peine boit-sans-soif, moribond, ses tessons me coupaient les veines lance ta bouteille à l’eau, tous tes mots au gré des flots la mer mène à bon port la bouteill

Il met à l'eau le futur !

Tu n’es pas encore né, pas encore là et tu me poses déjà mille pourquoi mille questions qui sont tant, tant d’embarras sur ce monde qu’un jour on te rendra pourquoi des zinc dans un ciel de plomb pourquoi l’argent pour seule raison pourquoi du puits ne sourd que pétrole pourquoi forger notre propre tôle toujours pas né, sache que nou

La certitude

Triste sire, au fond d’une impasse, toujours seul, sans qu’il ne se lasse, un chaussonnier cherche un soulier, trop gauche pour trouver la droite, perdu dans mille et mille boîtes. sa paire est dépareillée. il cherche jusqu’au bout, jusqu’au fond sans jamais montrer les talons, même ,même quand tout se mêle. résolu, dur à cuire, il