Ouvre toi sur ton blog, provocante, tu joues, charmante de ton corps, à rendre fou de ton blog ; tout mon désir un peu mort d’homme viril, laisse frémir mon âme qui vogue… sur tes photos ; excitantes, ou tes vidéos ; envoûtantes, tu entrouvres la sexualité de ton ventre ; c’est ton cri qui découvre la sensualité de ton cœur, mon âm
giorgioadriano
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14/06/2009
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Lifestyle
Articles à découvrir
14 18 une guerre sans mots déraisons, douleurs et souffrances êtres, hommes, enfants, fils en cadence sont allés tout droit sans errance, offrir leur vie à une mort sans clémence... rien, aucun mot, ni mille mots ; ne pourra ni ne peut signifier les maux vécus par ces millions d’êtres uniques et si beaux... lisez leurs lettres ; mémoires
Paroles de poilus il te suffit de passer le vieux pont, franchir la petite route départementale, le ruisseau, tout en bas du petit val, pour aller rejoindre le front ; tu y verras sans doute un voisin, un ami, ton frère ou ton cousin... tu resteras des heures ou des jours peut être beaucoup de mois à sauver ta vie dans la boue et l’effroi aux
Maman, maman !!! peurs pugnaces cris fugaces angoisse qui agace notre mémoire s’efface comme le temps dans l’espace ; pour nous tous, ils sont morts en masse... lisez leurs pensées, leurs lettres angoissées, leurs peurs insensées, de ces guerres démesurées, où l’homme industrialiser devient déshumaniser...lisez...relisez... surtout do
Mémoire toc, toc, toc, grand père cogne sur le plancher ; elle me met en émoi, sa jambe de bois. souvent j’écoute sa vieille breloque, sur son ventre ; son tic tac d’horloger... grand père entend les infos, il peut difficilement regarder celles de la télé ; l’éclat est allé assez haut, l’obus a balayé toute sa tranchée. tout son
N’oubliez jamais ils étaient des milliers alignés, la baïonnette au canon érigée, sur une très longue rangée ; sous les ordres d’officiers sans état d’âme, tous conditionnés à leur dire de marcher, d’avancer... !!! il y avait là déguisés en soldats des adorables gentils petits gars, sortis de l’école, tous égarés dans ce
Elle, lui, un autre, toi ou moi... il a des clous plantés sur chacun de ses pieds, les mains aussi percées et tout le corps écorché ses yeux bruns éclairés d’une lueur céleste bleutée... son corps comme endormi, de sa bouche ; pas un cri ; de ses yeux pas de larmes ni de furie juste ouverts pas transis vers l’infini le regard serein san
Sans toi (2) chaque jour qui se lève sans toi, est un jour sans un rêve pour toi… tu viens tard chaque soir, tu m’envoies des kiffs, des bisous ; ça remue tout au fond de moi, à l’émoi… dés le matin, à peine levé je vais allumer mon vieux pc lire ma messagerie ; tu es ma seule amie… pour la vie. chaque jour qui se lève sans toi,
Les quatre saisons y a-t-il une bonne raison pour déclencher une guerre à la belle saison ? adolescents, jeunes adultes ouvriers, employés, artisans ou patrons on les a envoyé dans les prés par millions servir de chair meurtrie aux canons et laver ainsi l’orgueil des princes, des rois ou des pharaons... le premier été fût très court ; il
Amour amitié pour juste un sourire, peut naître un soupir ; pour juste ton sourire est né dans un soupir, l’âme de mon désir d’embrasser ce sourire… tu te poses dans ma vie, tel un oiseau du paradis où une fleur sur mon ennui, et mon cœur meurtri bat, bat et te dit, deviens ma douce amie… avec moi, loin ou ici, prés de toi, loin de