Rends à la terre ce dont elle ta nourrit remercie dieu de l'avoir cultivée retour sera l'homme ensevelit rappel, ce jour sera forcé rémission espéreras-tu ce jour-là rude et triste l'homme ingrat reposé et bienheureux l'homme vertueux ce jour-là.
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15/06/2009
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Littérature, BD & Poésie
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Le coeur illumine mon esprit et lui garantit lucidité engendrant une raison pure. ce coeur et lui-même nourrit par une subsistance divine c'est un récit qui éclaire, rafermit mon être il permet à ma raison de discerner la sublime vérité de l'errance
La graine de l'ignorance germe dans l'obscurité le coeur voilé par la maladie ne discerne plus l'évidente sincérité, le savoir sans lumière du cœur chemine vers les désirs illusoires, des dégâts sont engendrés, c'est le règne de l'oubli l'identité confuse, c'est le trouble d'une vie.
Il vit, il existe, il veut être vu, il aime la flatterie et se pavaner les compliments sur sa personnalité, il aime le bien qu'on pense de lui pourtant, il n'en ressort aucun bruit. il vit, il existe, il veut être vu, il se méfie, il n'apprécie pas les remarques il blesse il envoie des flèches avec son arc, il ne rit presque jamais, il se pr
La grandeur c'est manifesté ici-bas, je t'ai vu dans les bras poing fermé, yeux plissés, je n'ose pas te toucher inquiet pour toi de mes gestes maladroit. les nuits sont écourtées, le sommeil agité, tu réclames à manger, heureux de te voir gesticuler, c'est ta façon de t'exprimer. les jours passent, tu grandis, tu souris et tu séduis, tu
La maladie tue, la maladie affaiblis. dirais-tu connaître la maladie, quand elle te prend de l'intérieur entravant tes entrailles mettant ainsi un terme aux fruits de ton travail regarde donc, ton corps se dissout lentement tu sens l'agonie arrivée très doucement elle te vide de l'intérieur, elle te met hors de vie.
Tu crains d'être rabaissé alors tu doutes, tu laisses passer le temps et tu espères elegante et intelligente disent de toi les gens sur ta route ce dont je te parle ne sont pas des paroles en l'air. si mes recommandations sont des flèches empoisonnées alors, abreuve toi d'un antidote, la critique te blesse tu es absente d'immunité tu te casse
Quand l'aube apparaît au-dessus de nos têtes les étoiles ont déjà disparu, le soleil chasse les nuages traînés par le vent, le bleu du ciel éclaire les forêts obscures, il se révèle dans les mers, qui donnent à la terre cette belle couleur bleue d'azur