Ses yeux d'un noir incomparable sont plongés dans les miens...c'est pour moi le deuxième choc de cette journée! je sais maintenant que je ne suis plus seule sur cette île, mais est-ce vraiment une bonne nouvelle...
Aurelys
A
Aurelys
Ses blogs
Articles :
10
Depuis :
20/11/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Des frissons mirent fin à mon malaise. des frissons??? comment pouvais-je avoir des frissons ? je m'étais évanouie sur une plage déserte du pacifique, je sentais encore la brûlure du soleil sur ma peau blanche...je ne pouvais pas être morte, personne n'était décédé d'une entaille à la main ! pourtant, j'avais froid, j'avais la sensation
Bonjour à mes lecteurs! juste un petit message pour vous prévenir que le suite ne vas pas tarder mais que je vais un peu remanier les autres articles avant de la mettre en ligne! merci de votre compréhension et de votre fidélité!
J'ouvrais doucement les yeux, éveillée par la luminosité intense. j'étais étendue à l'ombre d'un bananier protégée par ses larges feuilles, un léger vent caressait ma peau rendant la température ambiante agréable pourtant le soleil était déjà à son zénith, j'étais idéalement placée pour ne pas souffrir de la chaleur. je m'étirai
Je fus brutalement tirée de mon sommeil par de très fortes secousses, encore à demie endormie j’eus quelques difficultés à réaliser où je me trouvais. la voix du pilote me ramena à la réalité ! « mesdames, messieurs, nous entrons dans une forte zone de perturbations, une tempête que nous pensions pouvoir contourner a brusquement dévi
Chaque muscle de mon corps était douloureux, la peau de mon visage et de mes bras me brûlait, la mort ne pouvait pas faire aussi mal… ne parvenant pas à ouvrir les yeux je tentais de bouger mes doigts, je fus soulagée de voir que je pouvais les remuer, mais je me sentais si lourde ! je me souvenais de tout ce qui s’était passé, la tempêt
Je m'appelle lisalyse, lisa pour les intimes, je vis avec mes parents dans une spacieuse maison au bord de la mer, à brest, une ville grise et triste à l'extrême ouest de la france. il y pleut très souvent mais cela ne me dérange plus, avec le temps j'ai appris à faire avec… mes parents sont très aisés, l'un est avocat et l'autre chirurgi
Je revins à mon point de départ, j’avais soif, l’eau devenait une obsession, il faisait si chaud. ma bretagne natale ne m’avait guère habituée à de telles températures ! je décidai de déchirer mes vêtements afin de moins ressentir la chaleur. mon jean devint un short et mon tee-shirt, une brassière. la praticité primait sur l’él
Nous arrivâmes à l’aéroport un quart d’heure plus tard, le temps passa à une vitesse folle, tout ce bousculait dans mon esprit. je revoyais sans cesse le visage de sterne, ses yeux, son chagrin… je soufrais de cette future séparation mais lui était anéanti! toutes ces réflexions eurent l'avantage de m'occuper pendant le décollage (mo
Mon trajet vers guilers ne me laissa guère de temps pour échafauder un argumentaire digne de ce nom, et je savais très bien que même si j'avais réussi à trouver une idée cela ne servirait à rien car stefan avait eu tout le temps de réfléchir aux réponses qu'il me donnerait, il me connaissait si bien qu'il savait ce que j'allais lui dire