.il y a bien longtemps que je n'ai pas écrit ni posté alors je vais peu être recommencer.. . mais ça fait drôle de relire parfois

Pantin tu te voyais libre, indompté mais tu es tel le toutou bien rangé tu fais se que l’on te dit se qu’on a dicté sans sourciller tu avances sur des chemins tout tracé ils pourront en dire des beaux récits sur le pourquoi ta vie est ainsi ils se couvriront de leurs gloires accomplies devant des gens aux faux semblants ébahis etre libre

Les mots simples ils disent expriment nos sens nos envies nous humain toujours bien cacher on les enferme dans les profondeurs immergées de nos rêves, nos peur sans volonté le dire c’est peu être blessé l’avouer c’est aussi se confronter alors chacun préfère les silences… souffrir n’a aucun sens … mais c’est ainsi qu’on vise

Double peau pour double jeu elle se sentait vivante de cette empreinte aimante elle gardait la douceur charmante aujourd’hui c’est l’impureté qui vient l’enivrer elle se salie par de fausses vérités pour accepter de s’éloigner de laisser respirer qu’elle peau peut jouer ce double jeu celui de faire l’inverse de ses vœux ce n’es

Carnage cœur battant à tout instant faisant circuler mon sang apportant la vie du moment sarcasme de la machine drainant. cœur battant à tout instant faisant vibrer pour un amen apportant le bonheur apparemment sarcasme de sentiments s’échouant cœur battant à tout instant tu donne la vie pour la reprendre tu offres le plaisir pour mieux le

Malédiction e lle avance dans le temps comme un robot d ans son regard tout est toujours beau elle ne voit jamais les défauts p our elle la vie c’est un joyau e lle avance et s’en prend plein le dos d ans son regard tout sonne faut c ’est elle le défaut d ans sa vie tout devient fardeau e lle ne peut plus avancer elle veut s’oublier d an

Lit de douceur noir dans la chambre et sa noirceur volent les gestes de douceur comme un élan de bonheur dans ses draps couleur malheur chaque nuit, la première revient à grand pas tu emportes mes tristesses dans tes bras cajolant mes sens de haut en bas inventant mes rires que je ne pleure pas tu t’enfonces dans les mensonges pour partager ch

Douceur macabre dans la nuit passent les heures défilantes tel ses pleures effaçant tous les bruits en dehors elle écoute les murmures de son corps dans l’agonie d’un parfum effacé ou d’une voix qui ne peut plus la bercer elle revoit les pages de sa vie enfouit tel une louve assombrit qui brise sa mémoire dans le gris quel est le droit d

Chant d’une louve s’il fallait pour te charmer je m’enfoncerais dans un monde ravagé s’il fallait pour te garder je m’attacherais moi-même sur le bûché s’il fallait pour te retrouver je parcourrais sans fin tous les sentiers s’il fallait pour que tu souries j’arrêterais la pluie s’il fallait pour que tu sois épanoui je prend

La sagesse la vague du temps de la vie, s’évade devant les gens leur ressentis. ils avancent les murs deviennent gris. tous les instants sont décrépits. où sont passé les rires, les cris ? poussés sans le complexe des « on dit »… pourquoi abandonner la vie les vieillis ? ils sont là tous observant leur passe temps qui ne les réjouis m