Un souffle, sans doute le dernier irrite encore notre dernière pensée. comme un étang assoifé en été, tu erres derrière nous on pleure des souvenirs qui ne sont que furtifs. certains retourne en poussière, et d'autres voient chanter leur arrivée. je me terrerai toujours derrière cette barricade pour aimer celui qui vient de partir, j'écr

Et les portes se referment, et trace le chemin devant moi, un parterre de glace sans teint . regarde moi, regarde moi je peut assurer ma démarche et ne pas tomber. tu peut me regarder, mais sans me guider. les chemins n'ont pas d'embuches et tu seras mon guide, alors prête moi à ta parole, et élargis mes sens démunis.. regarde moi, et dis moi

Comme deux âmes criblées, pendues d'injustice se lisaient l'un d'en l'autre, crédule d'un passé amer. les yeux ne servent plus qu'à ternir des lieux sans nom, nos sens éprouvent alors la métamorphose du cocon nymphe, un refrain sans violon qui puise les secondes. si le clavier est la connexion temporel, elle ne demeure sans voix, ni regard..

Liberté, tel une pierre qui effleure ce lac endormi, ce rayon de soleil qui t'ébloui, je ne suis pas animal. un ange s'est agenoué sur le sable, mais que la nature est belle. mais qui es-tu pour dire que les âmes ne font pas aussi l'amour? sache que le coeur n'est pas toujours dans une boite! ce lien qui nous dure, nous rapproche de plus en plu

Raconte moi une histoire, lit moi une lettre, dit moi mon avenir mais ne triche pas avec le coeur. quand imaginaire reflète la raison qui n'est pas de ce monde, alors épargne moi les fabulations, ou les fraudes que tu as put me cacher... en moi, j'entends le cri du faucon, ivre et amer de tristesse , tel une âme trompée par une demi. raconte mo

Mais qui suis-je?, je ne sens plus rien, je ne ressens plus de tout cela. j'ai appris à voir au dela de tous ceux qui marchent sur une terre encore asséchée de peur. j'ai appris à recevoir les coups , j'ai appris à mettre au monde entre douceur et abandon. si les fleurs du mal ont un parfum de baume moisis, je garderai non loin de ma tamise le

Cette nuit est un passage, celui qui dicte et ramène en nous cette idée. comme un livre de prière, tu es sans titre, tu crois que les secrets de la nuits hombreront tes nuits étoilées. et meurtris de ses appels qui te pourchassent, tu ouvriras tes yeux passifs, et de là contempler ton chasseur, ta destinée. alors l'amour s'échappera de tes

Le sens du temps ne me parait plus que futur, s'étendre de son chagrin que l'on bânit mon corps encore inexistant, et que je traîne comme une poisse, à la lueur des portes qui se referment... les gens qui vous sourient, n'imaginent pas la chance qu'ils ont en eux!! je ne suis pas banquier, je ne suis pas bouffon, j'aime la vie sans béquilles,

Ils ont la parole de nos jours, et sont les soucis de toujours. si petits, on les regardait , jouant de tout part, et aujourd'hui, frolant les bancs de leur lycée ou fac. du torchon doudou au cigarette , un pas si grand est apparu dans l'âge, qu'un instant si court nous sépare du présent. ils n'ont plus besoin d'une main pour les guider, sinon

Et si l'on récrivait une heure, une date à laquelle vous tenez à effacer, un lieu qui vous rends si triste, un gout qui vous déplait. et si l'on pouvait arrêter le temps, histoire de faire une pause, de se faire un point sur tout ce temps passé, toutes ces conneries, les moments les plus intenses, et l'amertume du sang qui déchire votre coeu