Mamalilou m'a dit qu'il n'y avait pas de mal à reprendre d'anciens posts .... elle n'aurait pas du, je récidive ! mais c'est un plaisir de radoter dans le cas présent ! j'espère qu'il sera partagé ! j'ai 18 ans, je passe mon bac dans deux mois, j'ouvre mes cours et je les referme.... je m'en fous, les cerisiers sont en fleurs tout autour de fr

Tu es tu es l’absence obstinément qui me creuse me dilate en un espace immense pour te recevoir quand enfin tu renoueras les fils du désir tu es le silence au fond duquel j’habite, malgré moi dans ses plis lourds, je me recroqueville faisant mienne l’attente comme une plénitude en négatif tu es la présence dont je m’abreuve, m’empli

Ce soir je vais vous raconter une histoire, vraie comme toutes les histoires. m’écouterez-vous ? je ne le sais pas et peut-être est-ce à moi que je veux la dire. mais si vous m’écoutez, faites-le avec votre cœur. hier, j’ai repris la route que j’avais depuis longtemps oubliée. petit à petit, j’ai reconnu la ligne de chaque coteau,

Elle a 16 ans, elle a gagné le concours de plaidoirie organisé par le mémorial de caen. ecoutez là, vous ne le regretterez pas ..... il fait si bon vieillir... par memorialcaen

L'amour fût de tous temps un bien rude hananké. si l'on ne veut pas être à la porte flanqué, dès qu'on aime une belle, on s'observe, on se scrute, on met le naturel de côté. bête brute, on se fait ange. on est le nain micromégas. surtout on ne fait pas chez elle de dégâts. on s'assied, on attend, jamais l'on ne s'ennuie. on trouve bon l

A la femme qui n’est pas venue je voudrais dire des mots d’amour des mots qui naissent avec le jour des mots, d’amours perdus a la femme que je n’ai pas aimée je voudrais dire des mots d’amour des mots doux comme du velours des mots d’amours cachés a la femme qui est partie je voudrais dire des mots d’amour des mots sans dire un mot

Catherine ringer et maria de meideros en concert... par presseocean

Je hais le soir le vide insondable et le trop plein de toi je vole vers le désir d’un homme sans nom qui dessine des promesses de plaisir me purger au rythme de son souffle commencer d’habiter l’enfer je t’offre l’impuissance des hommes sans ancrage qui contemplent alors que leurs jours tendent vers l’ultime équinoxe, leurs mains vide