(le potugnol à une forme définie) le portugnol sauvage n’a pas de forme. (le portugnol est un mix bilingue) le portugnol sauvage est un mix multilingues. (le portugnol s’inscrit dans un cadre) le portugnol sauvage n’a aucun cadre. (le portugnol est bisexuel) le portugnol sauvage est poly sexuel. (le portugnol est le kurupira [1] castré par
Escobardito
Escobardito
Je regarde le Monde d'un balcon, "de travers", avec douceur, avec désir comme sous les jupes de filles, avec tristesse, avec un sourire au coin des lèvres, allongé par terre ivre mort ou au hublot d'un avion qui m'emmène vivre ailleurs...
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16/03/2011
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Le bruit du canon des revolvers dans "les tontons flingueurs" : rires hiroshima 6 août 1945 : pleurs la couleur des cheveux de ma sœur un jour de décembre 2010 : rires notre président de la république : mieux vaut rire que pleurer (proverbe français) roberto begnini dans "la vie est belle" : pleurs le mec, allure "toute option", qui se vautre
La internacional ella es la bailarina que ganó cinco mil soles mensuales en lima, a la que maquillaban como a una gran estrella, mientras le daban las últimas instrucciones antes de salir a escena. la nena que frente a las cámaras sonreía y a quien los reflectores seguían en cada uno de sus movimientos. por ella gritaron entusiasmados los espe
« tout vient à point qui sait attendre » dit le proverbe. et bien voilà, l’heure est venue de vous expliquer ce qu’est la narcolittérature. evidemment, la rigueur impose d’en passer par les traditionnelles définitions toutes droites sorties du dictionnaire. or, si on épluche cette petite pomme, on risque d’avoir de gros pépins mais
Je me ballade sur la toile. je suis pas une araignée, je n'aime pas l'immobilité. et puis je trouve cela, au détour d'un clic, clic, clic... je jette mes yeux sur quelques lignes et finalement mon dévolu sur tous ces textes. c’est assez déjanté pour me faire sourire la critique et pour m’apaiser des lourdeurs littéraires de quelques aute
Avenida ricardo ubieto , tigre, province de buenos aires, argentine, monde. la fin d’après midi s’aperçoit entre les rayons obliques du soleil. l’automne à fait son entrée ici depuis quelques jours mais l’air et doux. bob dylan entame à l’harmonica son morceau « moonshiner » lorsque nous débouchons sur l’avenue ricardo ubieto. l
Je rêve de décrire un monde meilleur mot par mot je reste impuissant m’incombent les expressions qu’il faut notre monde parallèle est comme son nom l’indique ajourne mon haleine sur une réalité fatidique je suis prise de frissons à voir notre monde en miroir pour ses conflits incessants et catastrophes en mémoire des spectacles désola
Foutaises physiciennes ! dirait benoit xiv, la terre ne tourne pas, la nuit on ne tourne pas le dos au soleil, la nuit adam hésite encore, a manger la grosse pomme !!!
Le soleil à tiré sa révérence. a me fenêtre les étoiles me crient qu'il fera beau demain et la rue s'affère toujours. je bois une gorgée de vin entre deux pensées puis je tire sur ma clope brulant quelques millimètres de tabac. la cendre qui s'envole est un fragment de vie qui s'écrase quelques mètres plus bas. toutes ces fenêtres allu
Le rédacteur en chef du nouvel obs s'en donne à coeur joie dans un petit papier d'opinion paru sur le site de la revue. il reprend de volée les propos de frédéric lefebvre et étale quelques vérités sur le pourissement volontaire de la littérature ou comment le cours de l'euro préocupe plus que la qualité des cours à nos marmots. "le cou