Compañeras, compañeros, ya empezaba mal, no es que no le gustaba esa fraternidad total de tutear al soldado, a la cajera, o al dirigente del partido, pero había una manera de decir "compañeras, compañeros" con apuro que sí era peor que el "señoras y señores", algo que significaba "estoy aquí obligado, quisiera hacer otra cosa que explicarl
Missiou
M
Missiou
Ses blogs
Le blog de Missiou
Publication des textes de Marc Social. Mis à jour le samedi. Pour me contacter : missiou135993@yahoo.fr
Missiou
Articles :
52
Depuis :
25/04/2009
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Le moineau semble toujours sale, le perroquet original, différent du banal oiseau qui meurt sans sa liberté . l'homme aime mieux les perroquets : le moineau lui ressemble trop.
Août 2014 chaque jour je vais de l'avenue des bolcheviques à la station mayakovski et je vois ta belle gueule vladimir ignoré par ceux qui ne crient plus sauf devant les matchs les minettes aux cuisses étroites se dandinant les mémés fleuries les brutes la chemise ouverte ne te voient pas ni les petits cons fièrement enfoncés dans leurs gro
J'ai touché le vent solitaire de vos campagnes vides et j'ai pensé à tous les visages de nos villes j'ai entendu vos vagues monotones déchirer la toile marine et j'ai pensé à tous les chants de nos villes j'ai vu votre vieil artisanat inutile avec ses petites baies sur fond de bois noir vernissé et j'ai pensé aux aplats noir et rouge de not
Des cubes lisses s'emboîtent, des boîtes à angles droits se hissent, se déboîtent ou se plissent en fenêtres ouvertes. des lignes croissent ou décroissent, elles ne se croisent pas ou si bien, seuls des vélos vivants salissent les balcons. des peupliers entrecoupés de poteaux ponctuent la façade. une tête tient du bout des doigts un drap
Je te souhaite bonne chance, si je croyais je prierais, grâce à dieu je suis athée, alors je te fais confiance.
Quelqu’un toujours était là dans l’immeuble d’en face une fenêtre allumée déjà ou encore la flamme d’un téléviseur tardif ou d’un café matinal à faire maintenant il ne reste du corps qu’un squelette qui repousse les regards impuissants des passants un diplodocus le cou long et la gueule pointue est là si fin à côté de la m
Le soleil s'éteignait sur le lac frémissant le frimat avait pris des airs de blanche belle des nuages mouvants engloutissaient le ciel le soleil s'éteignait sur le lac frémissant l'hiver se déguisait du visage éternel de la mort saisonnière aux invisibles ailes le soleil s'éteignait sur le lac frémissant les lanières du vent fouettaient l
Des taches jaunes et vertes du train s'énumèrent. le monde vide, sans moteurs, ni chahut, sans énergie électrique, ni visage. ville épuisante, tu n'as rien à envier au cimetière de la campagne avec son froid humide transperçant toi dont les logements surchauffés font plier les caraïbes. la mort naturelle ou la vie moderne, la fée électr
Comme le riz petit, savoureux miamiam, cassée la langue et son parfum sorti. faut enfin produire les extraits d’un créole blanc ininventé encore, sans quoi la littérature n’est pas. ô toi, minus-ridi-cule, eric orsenna qui voulais pas-tuer les mots dans la grammaire est une chanson douce, tu as parlé comme tout le monde, dès lors tes mot