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LaPorteBleue

LaPorteBleue

Les mots sont pour moi l’éclairage de mes propres maux. je crie ou écris sans mentir, comme une naturiste du sentiment et du ressenti… Je livre ce que je ressens comme une femme délivre l’enfant qu’elle met au monde…

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Les mots sont pour moi l’éclairage de mes propres maux. je crie ou écris sans mentir, comme une naturiste du sentiment et du ressenti… Je livre ce que je ressens comme une femme délivre l’enfant qu’elle met au monde…
LaPorteBleue LaPorteBleue
Articles : 103
Depuis : 18/02/2009
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

Comment...

Comment ne pas avoir peur de l’inconnu de celui qui n’a jamais su naître au grand jour alors que la nuit arrache ce regard trop lourd ne pas fuir la lumière qui brûle la peau gelée par la vérité nue ne pas dormir lorsque le cauchemar efface l’espoir d’un retour comment ne pas résister à l’horizon qui s’étend comme une femme ré

Je suis une voie en déroute...

Je suis une voie en déroute approche ton oreille que j’y dépose ma bouche pour te dire, te dire ... que nous serons toujours seuls, seuls à deux à poursuivre une voie en déroute celle que l’on nous a inculqués à coup d’éducation ancestrale, de mensonges et de faux dieux l’amour n’existe pas, l’âme dure sera toujours la lame aig

Ys

C’est comme une caresse, l’ultime qui frôle la peau, une dernière parole, un murmure, une mélodie qui sonne comme un adieu de la passion que le temps efface pour installer les rides de l’amour qui s’épuise et oublie les paroles d’un amour éternel une croyance aveugle sans foi qui délaisse les promesses et l’évidence de ne pas êt

Labyrinthe

Labyrinthe des pensées pressurées, malaxées ni sortir, ni entrer intérieur de la tête tête frappée contre un mur froid, effrité mirador de la folie, amour consumé souvenirs de corps enlacés lacez-moi, hélas émoi, l’émoi dissimulé nouez les muscles, bandez-les cuisses écartées, écartelées écarlate ce cœur voluptueux convoité s

Loreleï

Quand il ne restera plus que notre seule pensée de survivre choisiras-tu la solution de l’amour à la mort des pages de tes livres ? jamais ouvert ton cœur se lit comme les lignes des maux inavoués raconte moi, raconte moi les péchés de ta chairs violentée de spasmes en sanglots le sang coule de tes yeux asséchés regarde toi dans le refle
Caïn Caha...

Caïn caha...

Amour à mort a mourir d’amour amarre la mire du mur a quoi ça rime tous ces vers dans le fruit elle a mordu la pomme mais adam à la dent dure et caïn fait l’abel chemin faisant dans la charrette de la mort menée par la pythie sans pitié oracle ! oh ! désespoir ! annonce le chant des corbeaux venus se repaîtrent de la misère du pauvre c

Prière d'un homme seul

Un homme est à genoux et il attend un homme a les yeux baissés et il espère il ne sera plus un homme il ne sera plus lui-même il sait qu’il doit se taire il sait qu’il doit se renier il apprend comment se tenir il apprend comment se conduire il connaît déjà le ton il connaît déjà le silence il sourit à cette attente il sourit de cett

Le songe ment...

Le soleil s’est tu comme une longue route laborieuse oh ! oui ! que le poids du passé est insupportablement lourd lourd mon corps à la chair épaissie par toutes ces années où je me suis traînée comme le boulet d’un fantôme rôdant sans cesse dans les couloirs d’un cerveau aux courants d’air humides le futur n’arrive jamais seul le

L'amour amor

Le jour où tes pas ne pourront plus te guider le jour où tes doigts ne pourront plus colorer le jour où tes larmes seront asséchées le jour où tes yeux ne voudront plus regarder je serai là à tes côtés je serai là pour guider les couleurs des larmes de ton passé et tu me verras, tu puiseras en moi tout l’amour que j’aurais pu encore

Le lit à la légèreté éternelle

Sur mon visage je sens encore la respiration légère de ton baiser déposée les yeux clos je peux encore sentir l’ivresse de nos nuits de nos passions enlacées jointes sont mes mains et parcourent la courbe de ton sein que j’ai tant dessiné je crois entendre l’écho de ton rire, de tes pleures, celui de ton sommeil qui me tient éveillé