Mercredi 15 juin 2011. sofitel. gilles legrand : “a la base, je cherchais une histoire à raconter autour de l’univers du vin, incroyable de richesses (esthétisme des paysages, éveil sensoriel...), qui me fascine. c’est pour cela que je tenais autant à ce que le décor soit un véritable acteur. je sentais qu’il y avait quelque chose à

Jeudi 23 juin 2011. cour des loges. frédéric schoendoerffer : “avec jean-christophe grangé, on avait envie de faire un film ensemble comme on en voyait quand on avait 16-17 ans. une fiction qui soit synonyme de plaisir et de divertissement ! notre référence absolue et inatteignable c’est l’œuvre d’alfred hitchcock et “la mort aux tr

"ni à vendre ni à louer" de pascal rabaté. avec jacques gamblin, maria de medeiros, françois damiens, françois morel, dominique pinon... (1 h 17) sortie le 29 juin 2011. attention objet cinématographique non identifié ! surréaliste, bluffant, surprenant, drôle, tendre, émouvant, décalé, ironique... voilà un film qui ne devrait pas lais

"switch" de frédéric schoendoerffer. avec karine vanasse, eric cantona, mehdi nebbou, aurélien recoing, karina testa... (1 h 40) sortie le 6 juillet 2011 vous avez déjà pensé échanger votre appartement pour les vacances comme c’est la mode en ce moment ? quelques clics sur internet et hop le tour est joué ! après “switch”, quatrième

A la mi-octobre, au jardin de bagatelle, à neuilly et levallois-perret.

"tu seras mon fils" de gilles legrand. avec niels arestrup, lorant deutsch, patrick chesnais, anne marivin, nicolas bridet... (1 h 42) sortie le 24 août 2011 pour son premier long-métrage en 2003 (“malabar princess”), gilles legrand avait écrit le rôle principal en pensant à jacques villeret. depuis il préfère ne pas se focaliser sur un

Ascension 2011 dans le midi, là où le soleil devait être au rendez-vous...

Photo saisie sur le vif.

Toile acrylique 61 x 46 cm en dégradés de gris, nuancée de bleu. encadrement en caisse américaine noire. d'après le "nu au tricot rayé" de willy ronis (photo, paris - 1970).

Lundi 20 juin 2011. comoedia. pascal rabaté : “j’avais vraiment envie d’un film sans paroles où tout passerait par le corps. il me fallait donc des acteurs de la tête aux pieds. les deux premiers jours de tournage ont été fondamentaux pour orienter les comédiens vers une “économie” de jeu. il était essentiel de ne pas amplifier le