Décidément, l'art norvégien a la vie dure. après la retentissante affaire du cri d'edvard munch, tableau mystérieusement disparu pendant 2 ans, on a prié les nus du parc gustav vigeland d'oslo d'aller se rhabiller. tous les organes génitaux et les raies des fesses des athlétiques statues alignées sur le pont ont été censurées par des ba

Dans le cadre de mes nombreuses escapades de fin de semaine -responsables en partie de mon désertement informatique-, j'ai fait mes premiers pas hors de norvège, mais dans une autre capitale scandinave : københavn, soit littéralement le port des marchands. j'espère vous impressionner un poil avec mes connaissances de danois, en fait j'ai pas b

Ca faisait un moment que j'avais pas vu un film aussi original. je l'ai repéré sur le programme de l'utopia de toulouse, parce qu'il était norvégien. mon passage fut trop bref pour courir à temps dans les salles obscures. déçue, je pensais donc ne plus jamais en entendre parler, car c'est pas ce genre de films qu'on retrouve facilement. le c

Chat en fugue ici. bientôt à copenhague. prenez donc chers lecteurs votre mal en patience, car il est en éternels week-ends. un besoin d'inspiration peut-être ?

La norvège est le pays des superlatifs. après avoir remporté la palme du pays le plus cher du monde, la norvège a été une nouvelle fois choisie par les nations-unies comme étant le pays où il fait meilleur vivre dans le mooonde. littéralement "best country in the world to live in", d'après l'article du quotidien en ligne aftenposten. et c

Toutes les bonnes choses ont une fin : mon chat est désormais norvégien berrichon. le filou est de retour dans l'hexagone. il tourne un peu en rond et gratte à la porte, mais a retrouvé le bol de lait nourrissier de ses parents. mmmm, les bons fromages de chèvre, les bouteilles de vin à la cave et les coups de klaxon incendiaires des automobi

Medhi custos - elles demandent du zouk

Enfin de retour en norvège et sur mon blog après deux semaines vacances françaises bien méritées. a moi de nouveau les plaisirs de la pluie, des parapluies qui se retournent, et de la lumière qu'on ne finit pas d'attendre au coin du feu. j'en profite pour saluer mes lecteurs anonymes et assidus qui, malgré le manque accru d'activité, sont r

Mayra andrade - comme s'il en pleuvait je remercie le virus de l'angine d'être particulièrement vivace à châteauroux.une amie de ma mère, clouée au lit, m'a fait cadeau hier soir d'une place de concert qui allait se perdre. c'est pas très sympa de se réjouir des malheurs des autres. d'ailleurs, m., si tu me lis, merci merci merci. mais bon,

A défaut de temps libre (en plus d'inspiration, toutes les excuses sont bonnes...) pour composer de ma propre plume, je triche et vous conseille la lecture de l'article suivant paru dans le nouvel-obs du 2 novembre. c'est un peu long, mais c'est fort édifiant. « le royaume le plus riche du monde ce petit royaume est devenu un eldorado grâce au