C’était pas trop prévu mais un peu quand même, juste assez pour la prépare de tarte en feu brûlant… elles sont arrivées en une, puis deux, puis trois… voilà ça y était les quatre étaient là, ça pouvait commencer ! elles ont préféré le froid de la table que la robe tachée, surtout une (la trois)… elles avaient des lourdesses
Gaïa
Gaïa
Conte, Ecriture, Sculpture... Passionément.
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Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Hier encore il y avait un souffle léger petit le tien ton souffle aujourd'hui il n'y a plus rien soufflée comme une plume imperceptible dans le vent chaud du matin souffle coupé absence absence de mot à hurler dans le silence de ta nuit absence de mot a hurler dans le vacarme de la vie
Il se pelotonna. c’était doux, rond et chaud, c’était juste de ça qu’il avait besoin là…de ce creux là, exactement. peut-être qu’il avait passé sa vie à chercher cette sensation, cette exacte sensation… juste ça. peut-être même qu'il avait perdu sa vie à la chercher… peut-être. il ne sait pas, il ne sait rien. il a juste
Je me suis couchée sur le vent et j'ai attendu pas longtemps j'ai attendu qu'il me prenne dans son tourbillon il m'a emmenée loin plus loin que le bout de son nez et il m'a bercée il m'a bercée dans les grands bras du monde moi, je n'ai rien dit rien fait et j'ai voyagé
En plein coeur de la savane africaine, il est des oiseaux qui, par centaines vivent en paix dans le dense feuillage, d'un vieil arbre qui connait leur langage. personne au village ne vous dira son âge, mais de tous les grands-pères, c'est lui le plus sage, le monde n'a aucun secret pour lui, on le dit même habité par les génies. arbre à palab
J'aime ceux qui savent accueillir leurs émotions, j'aime ceux qui ont le courage de leurs larmes. j'aime leur douceur, leur sensibilité. j'aime quand ils osent les gestes tendres. j'aime leur écoute sans jugement... j'aime leur compagnie toute simple, leur présence fraternelle. n'en déplaisent à toutes celles, qui cultivent l'illusion d'un mo
Ho toi ma terre-mère inconnue, je ne suis pas née de tes entrailles, ton soleil n’a pas bruni ma peau, ton souffle chaud n’a pas bercé mon enfance. ho toi ma terre-mère inconnue, je te ressens dans toutes mes cellules, je te porte au plus profond de moi, je me sais ton enfant, et pourtant… j’ai peur de nos retrouvailles… j’ai peur d
Http://africanne.over-blog.com je suis venue. enfin, je suis venue, et tu m’as prise dans ton sein. toute entière tu m’as prise. et désormais je t’ai en moi. la terre peut se dérober sous mes pieds, le ciel peut s’assombrir, le monde peut tourner à l’envers, qu’importe ? je t’ai en moi, africa. a jamais. ..
Merci de prendre 5 mn pour lire, sans haine ni jugement, juste tenter de se mettre à la place des proches qui, bien sûr, n'acceptent pas l'inacceptable. ici
Je ne l'ai pas encore rencontré mais je le sens tout proche, lui, mon double masculin, mon frère de nature. je l'ai cherché en afrique mais c'est peut-être un indien, mon frère de nature... peut-être... qu'importe? celui avec qui je pourrais communiquer à distance, en enlaçant un arbre, caressant un caillou ou contemplant une fleur. je le p