Përtej muzgut- flora gjondedaj dervishi / kritike letrare nga fatmir lazo
Adriatik
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Sa here të jem i lodhur, sa here i mërzitur do të vij të gjej qetësine në "aromedeti" e të lexoj me kënaqësi poezitë nen tingujt e valëve...të rikthehem ne kujtimet e qytetit tim, aty ku ndjeva këtë aromë për herë të parë.
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Entre deux Langues - Arome deti
Littérature, musique.
Quand vous retournez dans les souvenirs de votre ville et que vous ressentez cette arôme, c'est comme un voyage émotionnel qui peut vous apporter une sensation particulière de nostalgie et de connexion avec vos racines. La poésie dans ce contexte est une excellente façon de réfléchir
La poésie a un pouvoir extraordinaire pour apporter la paix et l'inspiration. (F.LAzo)
Adriatik
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05/06/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
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Përtej muzgut- flora gjondedaj dervishi (zëri i gruas në letërsinë shqiptare) përpara se të jap mendimin tim, do të doja t'ju drejtoja një pyetje: sa prej jush e kane lexuar librin "përtej muzgut"? kam përshtypjen se, ndoshta për shkak të një mentaliteti ende të rrënjosur "maçist", te ne i është dhënë më tepër rëndësi autor
Le parfum de la mer la vague se fait vers, et se pose sur la mer, sur les rives résonne notre mélodie. des lettres et des mots, innombrables comme le sable, nous avons pris et façonnés en harmonie! toi, mer, au sel doux et amer, miroir de la lune, tout entier tu scintilles, revêtue du manteau de la passion. tempête de désir, le vent soufflai
Aleksander peçi, le compositeur albanais le plus prisé des scènes internationales prestigieuses avec un répertoire vaste et diversifié, riche en idées novatrices, le professeur peçi continue de surprendre avec son potentiel créatif, élevant sans cesse la musique sérieuse albanaise à de nouveaux sommets. inlassable et très sollicité par
La seule bataille que je n’ai jamais gagnée est celle contre moi-même, une lutte sans fin, sans victoire ni défaite, comme une partie d’échecs privée de roi et de reine, où chaque pion trace les pas de ma vie, où les fous incarnent mes pensées errantes, et les cavaliers dessinent les chemins que j’emprunte. ces chemins me guident vers
Aleksander peçi aleksander peçi kompozitori shqiptar, më i ‘kërkuar’ i skenave prestigjioze ndërkombëtare. me një opus të gjerë, plot ide novatore dhe diversitet, prof. peci vazhdon të n’a befasoje me potencialin e tij krijues, duke e cuar përherë në stade të reja muzikën serioze shqiptare. i pandalshëm dhe mjaft i kërkuar ng
" trishtimet e hënës" është një vepër e charles baudelaire, e marrë nga përmbledhja e tij *lulet e së keqes*. kjo poemë evokon hënën e personifikuar, të përshkruar si një bukuri melankolike dhe ëndërrimtare, e shtrirë përtacërisht dhe e dorëzuar mendimeve dhe emocioneve të saj të natës. në këtë tablo poetike, hëna krahas
La nuit m'attriste, elle est un poids, un voile sombre, une ombre sournoise, elle n'est plus l'écrin de mes rêves, où la lune, douce muse, me berçait, dans un ballet d'étoiles, scintillantes, échos d'âmes perdues dans l'infini. non, elle ne me fait plus rêver, elle est la complice de mes tourments, chaque seconde, une éternité, où le tem
Où résident les racines profondes de la vérité ? comment la discerner sans influence ni préjugé ? qui détient son mystérieux monopole ? est-elle si difficile à dénicher ? combien de fois ai-je cru que même la vérité pouvait se draper en menteur déguisé ? sinon, pourquoi se cacherait-elle ainsi ? existe-t-elle vraiment ou n’est-elle
La douleur de l'arbre en automne, disent-ils, les feuilles meurent et tombent, mais nul ne perçoit la peine de l'arbre, quand les oiseaux s'envolent, que le nid se vide, quand le doux gazouillis des oisillons s’éteint. l'arbre s’enchante de leur joie, les regarde grandir, jour après jour, les voit fendre l’air pour la première fois, les p
Toi aussi, tu partiras, je te l'avais dit, toi aussi, tu t'en iras, comme tous les autres avant toi. car je ne suis qu'un instant, un rêve éphémère, pour les âmes égarées. je suis une lueur de joie, un abri, le temps d'une tempête, mais jamais un port où l'on reste. et je n'essaierai pas de te retenir, ni de te suivre, car d'autres viendro