Au loin, des yeux qui se devinent, deux beaux sourires se dessinent. des oiseaux qui s’envolent, le vent sur leurs plumes, une sensation qui console. des pas, ils se pressent et se rapprochent. ca tinte dans les poches. comme dans une boule de neige, les flocons flottent et sur le sol chuchotent. ses doigts, qui se chevauchent et s’agrippent. l

J’abandonne lâchement ce blog, je laisse tomber ma drogue. c’est la dernière fois et oui j’en ai fini avec toi. moi qui pensais pouvoir t’oublier, décidément il me faut plusieurs vies pour t'effacer. le temps passe te trimbalant dans mes pensées là où je vais, là où je vis, là où je fuis, là où je marche, là où je me cache, l

Non, je suis sûr qu’elle était là, elle était même assise prés de moi. vous pouvez voir sur mon visage, j’ai ce sourire particulier qui ce dessine, surtout lorsqu’elle est dans les parages. ‘‘oh mon dieu ! qu’elle est divine’’. vous ne me croyez pas ? c’est bien normal, elle n’est plus là. comment expliquez-vous mes friss

C’est une histoire comme une autre, mais celle-ci est pour toi… c‘est un endroit bien sombre, où le silence bouche bée face au désolant paysage règne malgré lui sur ces lieux. il n’y a que la tumultueuse tempête qui osait le déranger de temps à autre. en arrière-plan et sans faire un bruit, on trouve ce lac étendu aux eaux trouble

J’ai laissé le temps faire de toi un agréable souvenir, de me tempérer à t’aimer à en mourir. mais je l’ai supplié à prendre son temps pour t’oublier. ‘’laisse-moi son regard, son sourire et ses baisers’’. car il m’a déjà pris une bonne partie de mon enfance. je sacrifierais ma mémoire s’il te laisse comme récompense.

Cela fait bien une semaine que tu apparais sans cesse dans mes nuits. a chaque fois surpris de se revoir. on se jette l’un sur l’autre sans faire un bruit. on s’embrasse, on se sourit, on se regarde comme si de rien n’était. ta douce chaleur d’été me couve à ne plus bouger. tu disparais pour réapparaitre aussitôt plus belle que dans