La verticalité fuit ce qu'elle a déjà vaincu. il y a dans le haut les lacunes du bas : la legende se fait quand la lande se tait.

Il est un nid de dieux, enceinte honnie sans cieux où l'art du licencieux eclate en bris le pieux. croyons en l'athéisme, et dévoyons la foi : les éclats de ce prisme rendent le destin roi. les corps sont des tombeaux qui s'ignorent corsetés en lambeaux qui saignent. or nous vivons, mourrons en élan de nature : boitant comme ces vers, forts d

*aérer : inverser les polarités microbiennes entre le renfermé et la pollution. *alphabet : toile piégeuse secouant le hasard pour en faire une règle. *amnésie : période de transition entre l'ennui et la déception. *blessure : hurlée sur la chair mais se nomme dans le coeur. *corps : les corps sont des tombeaux qui s'ignorent. *hésitation

Bonjour! voici un poème que je viens à l'instant de rédiger. il obéit à une contraite précise : il doit parler du vampirisme et contenir les mots "lunaire, romantique, valse, feu follet, ardent, stèle et rose". ce n'est pas moi qui fixe ces règles mais le site néophyction.org, que je vous encourage à visiter à cette adresse http://www.ne

Le tisseur de rien. chapitre 1 : le monde anonyme. au ministère improvisé des affaires courantes. point de temps pour décrire les lieux, les flammes commençaient à les dévorer. leur chemin semblait prédéfini : elles fusaient, ardentes ballerines curieuses et intrusives. le roi mésiparhem avait mis mélusin en garde contre ce type d'expéri

Inconsolable peine, fruit d’arbre sans veine : amour mort en maillage de filets hors rivages. ombre enlisée dans l’ambre d’une sombre antichambre en lice vers l’infâme avenir sans ton âme. objets en mausolées ; de ta main esseulés emplis de souvenirs d’espaces sans soupir.

Voici un petit poème qui ne doit pas vous paraître malsain : il fait partie d'un roman inachevé qui mettait en scène un criminel s'exprimant en octosyllabes. il se nomme : complainte de l'assassin. j'étais peinard dans la ruelle, ho! ho! ho! louvoyant pour joindre ma belle, hey! hey! hey! un verre dans ma main gelée, oui! oui! oui! en biseau

Résumé de ces deux premiers chapitres : de la folie, juste de la folie... le tisseur de rien chapitre 1 : le monde anonyme. au ministère improvisé des affaires courantes. point de temps pour décrire les lieux, les flammes commençaient à les dévorer. leur chemin semblait prédéfini : elles fusaient, ardentes ballerines curieuses et intrusiv

Les aventures du docteur cut: acte 1 - acte2 - acte 3 - acte 4 pour prendre connaissance des précédents épisodes. "satellisé vers des territoires où le bonheur ne pousse pas." "nerval disait que le rêve est une seconde vie. une vague odeur de souffre donnait la réplique au sourire tordu asséné par une lune désaxée. la fenêtre, surélev

Léviathan. ma vie, cette prison, ce sinistre poison trop souvent combattue, pour trouver sa raison raison qui s’obscurcit, quand seul dans la maison je vide l’eau du toit, tombant chaque saison. ma vie est solitaire, je n’en suis pas l’acteur et restant solidaire, j’ai choisi la torpeur. mes buts sont des façades, de minces apparats egr