C’est sans nouvelle que je me laisse aller aux boums de mon cœur, la javanaise a été oublié au creux de ses reins passés, je me déglingue par une vie sans fond annotées par des chronologies soulignées dans un bloc note vieux comme un jour. un sourire qui disparait dans une histoire vacillée par un billet de train, un paris-vosges qui ple

C’est lorsque la fenêtre s’ouvrait à la force du vent que je me sentais délivré par un aveuglant poignet de souvenir. « cela rempliera peut-être quelques pages de miellosité » dans mon appartement, peu importe le prétexte, je n’étais jamais très loin de la fenêtre, place constante dans mon esprit. les fenêtres m’obsèdent dans

Ca faisait un petit moment que j'attendais que les choses change dans ma vie. comme toute à chacun, il m'était souvent arrivé de me dire que les choses ne peuvent changer, qu'elle reste au même point mais bien au contraire, elle change si tu le souhait. je me rappellerais toujours de ce moment, je savais très bien que tout ça n'était qu'une

J’ai beau essayer de me dire qu’une vie sans toi est faisable, expérimenter les joies de la sociabilité que j’ai mis au vent il y a bien longtemps déjà, mais je ne m’y fais pas. quand le jazz raisonne je me rappelle que je suis l’enfant élu d’un spleen audacieux, quand le blues me parle, je suis euphorique de nos souvenirs. je me c

J’ai tapé à une porte close aujourd’hui, sa à fait comme un brouillard dans ma tête et j’ai compris que la muse que j’idéalisai autant était en fait qu’un ersatz d’un monde que j’avais déjà conquis tantôt. eva m’embrasse tandis que mademoiselle m. me suce, c’est certainement pour ça que je m’obstine à allumer mes clop

C’est fou, hier je voulais vivre vieux parce-que tu étais près de moi, à présent je souhaite mourir dès demain parce-que tu es loin de moi. ce rythme temporel, cette sonorité à laquelle joue mon moral m’ennuie profondément, car les cigarettes ne me calment plus. les baisées endiablés ou délicat sur mes lèvres absentes, ont autant d

Ce soir, j'écris pour les esprits somnambules. j'écris avec un crayon à papier en espérant que mes mots ne se transforment pas en biographie, mais plutôt en dessin que vous pourrez accrochez au coin de votre esprit, sur l'un de vos murs. comme j'ai eu la chance de le faire pour la geisha qui passe ses nuits à mes côtés. j'aimerais parler au

Gibier de potence de l’âme de l’insomnie, je me réserve la parole au dieu et à mon être, à mes mains. mes mains qui rêve de m’égorger, d’appuyai leurs doigts autour de mon coups jusqu’au dernier souffle saccadé d’un craquement de nuque. sale nuit et j’ai chaud, autant que la femme derrière moi qui se bas pour enlever la couet

Il y avait de la poésie dans ses gestes, je sais. cela manque d’originalité. je recommence : il y avait de l’érotisme dans ses gestes. oui, voilà. c’est mieux. ses gestes étaient salement érotiques. des gestes qui étaient personnelle, a elle et à elle seule. voilà. sa démarche ? je ne serais vous dire.

Je suis tombé amoureux d’une plume rencontré sur le net, je n’ose lui confié la mienne par pudeur et peur d’une déception désavantageuse. le soucie étant, mon premier : mon amour pour elle. en effet je sens des nuages dans mon estomac, des larmes dans mes yeux et, parfois aussi, je sens mon cœur battre. je sens mon cœur qui bat. je n