L'énormité se découpe en douze alvéoles rectangulaires. lesquelles emplies d'eau noirâtre sur le quai de son antre s'observent en rodant. susurrez le cri d'une aiguille de phonographe. frottez vos rêves aux pierres verbales. est-ce ici que le ciel crie pour naître? les murs du dessous suintent les murmures de luttes solidaires transmises dan
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J'aime les mots, tous les mots.
Ecrire et crier.
Ecrire et vivre.
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La vie est une grande et magnifique farce.
L'ombre d'un prémisse du commencement d'un MOT est le sel de ma vie : sa quintessence.
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02/10/2011
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Lifestyle
Articles à découvrir
Acidulée, d'un souffle libre une révolte enfantine d'unicités solidaires étiolées, vérolées virevolte grisée délivrée ancrée née...... pour entoiler l’empreinte d'un chemin au soleil déclin l'ombre d'un éclat de coquillage se surprend grandement important. véronique debray a saint-nazaire le 27 mars 2013.
Écoute petit d'homme goûte le silence lent étire le son du vent élance ta ligne de vie voyage de lits en nids slam tout contre le mur danse tous les murmures pour crier en chuchotant au coin d'un feu crépitant ta rage d'exister les bras écartés dans le silence épinglé. a saint-nazaire, le 04 avril 2013 véronique debray
Ses yeux rosés entrebaillent un sourire au soleil ascension divine ouvre l'ombrelle endeuillée ecarte les couleurs vives intense fragitité engrenage du temps crénelé jusqu'à la rouille de nos jours court sur la lame d'une tige érigée par l'amour. véronique debray a saint-nazaire le 14/03/2013
Pont-berceau, passage au monde tempête de minuscules fossette rieuse chavire la demeure.
Il faudra bien que je vous parle de cette unité incertaine de ces luttes souterraines de la liberté entravée d'une humanité relookée avec des mots-couleur avec des mots-horreur avec des mots-valeur pour vivre tel un poète pour être en émoi svelte. il faudra bien que je vous parle des déchirements en tenailles de l'orée d'une enfance ripai
L'ombre grise dans un clair-obscur dessine une tige blanchie de pétales endeuillés à la mi nuit. la troisième main aveugle une virginité perdue. une auréole de sang derrière un visage momifié. femme : une arme de guerre... véronique debray 14 mars 2013 a saint-nazaire.
Sur une chaise de bois blond, attablée à la coiffeuse, elle choisit de se brosser les cheveux. elle les dénoue. elle les caresse. elle détresse les nattes nouées de gestes élégants et lents. elle « s'intime ». elle s’effeuille doucement. soigneusement, les paupières mi-closes, elle glisse dans le jour. les raies de la lumière du matin
L'histoire suit la rivière d'eaux sulfureuses et je rentre chez moi, fou. gangrené comme la montagne par le chemin, le mal se réveille. elle m'a pris, sans mots pour le dire, mes yeux vitreux. je me perd dans mon village d'inconnus nommés et rencontrés. ils sont bons vivants, souffrants d'une légère gravité dans le regard. l'avancement perp
Ombre rose, femme-enfant, la vérité de ton geste lent enveloppée de rouge interdit, cueille le vent visage d'une main certaine de rien je songe à ton regard dans le mien éraflée de lumière méprisée tu reçois l'ombre murée n'implores pas, danses la rue s'en balance. toi que je ne connais pas, je songe à ta vie. je raccroche mon cœur et