La marquise de la charbonnière en cette journée d'anniversaire au joli bois c'est promenée sans son marquis à ses côtés sans son marquis à ses côtés plus d'opéra, plus de concerts et de parties de jambes en l'air s'en est finit de volupté monsieur l'marquis s'en ait allé monsieur l'marquis s'en ait allé il était beau il était fier c'
renato
renato
quand les maux se font sentir, je voudrait crier, alors j'écrit, je crie mes peurs, mes joies, mes doutes, mes colères avec la plume.
Ses blogs
Articles :
30
Depuis :
21/11/2008
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
L’étincelle de l’amour sous ton joli chemisier de blanches dentelles brodées se dessinent au décolleté deux belles formes à faire rêver. rêver d’un sensuel voyage où les draps seraient nuages. la douceur de ton visage nous pousse au libertinage. libertinage, doux, fripon là, je dégrafe un bouton. une main te caresse le front l’aut
Le sourire d'une femme le sourire d'une femme nous dévoile son âme il est l'arc en ciel sur un cœur pastel le sourire d'une femme qui assèche les larmes qui dissuade nos peurs apaise nos douleurs le sourire d'une femme toujours plein de charme beauté sans pareil chaud tel un soleil le sourire d'une femme qui parfois désarme est beauté sensue
Le bonhomme de neige des milliers de flocons tombent sur la clairière l'herbe verdoyante se couvre de l'habit d'hiver les arbres tendent leur longues branches nues même pas froid, la neige se pose dessus les enfants qui courent et qui crient ont vêtu bonnet, écharpe et après-skis leurs cris assourdis par la poudreuse résonnent dans la vallée
Larmes nucléaires une immense étendue silencieuse l’enfant est blottie contre sa mère elle murmure à l’enfant une berceuse ou bien est ce les mots d’une prière. une immense étendue silencieuse est-ce le paradis ou l’enfer ? inodore, incolore, insidieuse la brume du matin l’a recouvert. c’était bel et bien un conte de fée grande
La petite fille du moulin je vais vous raconter l'histoire d'une jolie petite fille, une dizaine d'années au plus, la cadette de la famille. elle vivait dans les années quarante, un petit village, cerné de montagnes semblant vouloir percer les nuages. près de trois kilomètres plus bas, un moulin à eau s'élevait tel un clocher sur la berge, s
Les larmes d’alain l’homme ne pleur jamais même pas de bonheur ni même de malheur l’homme ne pleur jamais il a la pudeur force et dignité il a la grandeur même fragilisé tel le samouraï il sait taire ses failles par des lunettes noires il masque son cafard des femmes l’on touché ils se sont aimés même la mort dans l’âme pas l’
Mon ange ma princesse depuis si longtemps je rêve et je pense à toi a peine adolescent je te voyais déjà je t’imaginais petite blottie dans mes bras là contre mon cœur je te racontais tout bas de belles histoires de fées, de belles histoires de roi de petits lutins qui jouent et courent dans les bois dans les jupons de princesses couvertes
Les commentaires se font rares, domage, je sais que mes poèmes sont lus mais je ne sais pas ce que les lecteurs en pensent, frustration, prenez quelques secondes et laissez un commentaire, satisfactions
Joyeux zaniversaire à la marquisede la charbonnière