Il n’y a pas à barguigner, à se faire des nœuds dans la tête, à chantourner des justifications biaisées, on peut retourner le problème dans tous les sens, violenter le lexique (alliance pour report de voix, extrême pour coalition) le danger principal porte un nom : le rn et ses alliés opportunistes et sans la moindre once de conscience r

Attaquer la gauche sur le sociétal et cibler le rn sur son programme économique ressemble à un combat à fronts renversés orchestré par l’elysée dont le locataire ne cesse de tenter de justifier son choix injustifiable. serait-ce le goût de la disruption poussé au bout de sa logique destructrice par emmanuel macron ? quand le président,

Même pas de fausse trêve estivale avec les jo qui vont être bien pollués par les remugles politiques en tous genres. la diversion sur des agressions supposées de la part de l’abbé pierre, icône brisée sans débat contradictoire, n’a finalement que peu de prise sur l’après second-tour plongé dans un hubris cher au président. il faut

Bardella, c’est fait. reste à évacuer mélenchon, et contraindre politiquement macron. ce n’est pas tant la capacité à gouverner du nfp qui est à regarder que celle à nettoyer le chemin des gros cailloux qui le rendent cahoteux et qui risque dans trois ans de nous conduire dans l’ornière, si brillamment éviter ce dimanche. car il faut

Nommer un premier ministre issu du parti qui compte le plus petit nombre de députés à l'assemblée nationale, fallait y penser. et même si parmi les hypothèses les plus folles qui ont émaillé les 50 et quelques jours de vacance du pouvoir (avec un gouvernement démissionnaire chargé des affaires courantes las d'attendre sa mise à mort) le

Plus fort que mélenchon pour bordéliser son camp, le président ? on est tenté de répondre par l'affirmative avec l'envie irrépressible d'emmanuel macron de s'exprimer à tout va (lettre dans la pqr, podcast, etc) en renvoyant dos à dos les extrêmes. comme le faisait, non sans difficulté - on l'a vu plus inspiré et moins fébrile en dépit

C’est quand on commence à chercher à tout prix des économies de bout de chandelle qu’on verse dans l’injustice, voire la bêtise, pour mieux masquer les errances ou l’imprévoyance budgétaires qui ont conduit au déficit et à l’endettement déplorés. manifestement, ce gouvernement n’échappe pas à la règle quand il vise à rédu

En des périodes moins troublées, on pourrait concevoir quelque indulgence pendant les campagnes électorales pour le goût immodéré du raccourci « punchline », la mauvaise foi rhétorique, pour frapper rapidement et efficacement les esprits. on pourrait…sauf qu’aujourd’hui, ce n’est plus accepter qu’un feu enflamme les passions, mai

Invité de c l'hebdo ce samedi (on se demande bien à quel titre d'ailleurs), jean-luc mélenchon a fait du mélenchon. doux comme un agneau une poignée de minutes, odieux pendant les trois quarts du temps de l'interview, demandant à natacha polony de " baisser d'un ton", à la limite de l'arrogance grossière vis-à-vis d'aurélie casse en se po

La france respire-t-elle mieux depuis samedi soir, depuis qu'elle a été enfin dotée d'un gouvernement ? on ressent une forme de soulagement. mais de soulagement amer, car quand on prend un peu de recul par rapport à la rhétorique ambiante, quand on écoute des analystes, qui savent se faire rares sur les plateaux pour mieux nourrir leur réfle