En t'attendant en t'attendant, je regarde le temps prendre son temps, passer sur l'horloge, défiler au fil des aiguilles, de seconde en seconde, chaque jour, en gardant au fond de moi ce souvenir de ton visage qui me sourit, oui cette image qui peint nuits et jours mes pensées et qu'il me tarde de revoir. en patientant, je me languis de toi et j'
Jemarchenu
Jemarchenu
Ses blogs
Articles :
83
Depuis :
03/04/2010
Categorie :
Lifestyle
Articles à découvrir
Des tâches de couleurs éclaboussent une à une chacune leur tour les murs de la ville du pourpre, du jaune et de l'oranger s'amusent à peindre mes pensées quand mes ivresses me font aimer ce que j'aurais voulu quitter
On a passé 24 heures à sommeiller s'endormir sans dormir on a couru 3 heures dans la nuit à s'endormir sans dormir on a pleuré 2 heures sous la pluie pour s'endormir sans dormir on a trimé des milliers d'heures à la machine sans dormir s'endormir on a crié des millénaires que demain chantera pour sans dormir s'endormir on s'est aimé des in
La rue perdue de la ville se distingue de ses compères de ces rues au parfum des fatigues c'est un tout petit chemin pavé éclairé par quelques vieux réverbères c'est une toute petite allée égarée entre les marchés et une rivière où l 'on ne passe pas, mais l'on se perd en déambulant, au hasard, dans la nuit en y croisant quelques symph
Le dernier jour de l'hiver ? rien ne change la vie continue son cour elle danse comme à son habitude le soleil quant-à lui brille, un petit peu les oiseaux sifflent sans une fausse dans l'harmonie de ces chants, c'est paris qui semblant, reprendrait vie le filles se vêtissent de robes et les hommes de leurs plus belles chemises la cité voit fle
À gilbert, à simone à la vie et aux espoirs qu'on partage au coin du feu dans les froideurs de l'automne à l'amour et aux consciences qui se peignèrent en leurs yeux dans cette maison d'avant guerre ou dans ce petit hlm les espérances emportent en recouvrance la rivière de mon enfance quand l'on voyait à plougastel ou à saint meen le grand
Aux levés des jours, on se souvient. des rêves d'amour, et de leurs lendemains. des valses névrosées, aux joies des putains. et sous le chant du coq, on s'éveille habillés, de nouveau tandis que le ciel se vêtit de soie dans les matins calmes on ouvre nos paupières brumes et ivresses s'y mélangent aveuglantes saignantes quand soudain : la
Sur ces draps de satin noir son corps frêle et attiédie par la pâleur de la nuit s'étend comme un tissu de soie en esquivant un sourire ma belle, ma bien aimée fume une gitane elle me regarde et sans le dire je devine sur son visage le désir d'un autre baiser que je daigne par pudeur lui adresser et elle tire, de nouveau, sur sa cigarette que
Alice se ballade dans la rade de brest alice gambade dans les faubourgs de brest sous la pluie sans rien dire elle esquisse un sourire sous le béton armé en son âme enivrée elle dérive vers cette autre rive elle y embarque sur un grand un beau, un majestueux navire et sur les quais de siam elle danse en contemplant la lune en s'en allant à re
Je contemplais paris mourir devant moi tu me regardais, moi et mes quelques émois dans la ville enfumée l'on se rejoignait pour danser une valse névrosée un, deux trois ; un, deux trois et tout paris dansait autour de toi nos pas flottaient sur la mélodie nos mains s'enlaçaient tendrement et nos corps, semblant effleuraient la poésie je me s