Pas assez de force, pas assez de manganèse, sélénium, et cobalt le corps trébuche à s'abriter ailleurs ramasser ailleurs les petites cuillères. le chat miaule d'une drôle de manière. lui non plus n'aime pas la saleté de pub imposée par overblog. chacun devrait avoir adblock dans sa boîte à outils. pour la zapper... voici le lien a telec
brigitte giraud
brigitte giraud
Auteure de nouvelles et de proses poétiques ("Des ortolans et puis rien", "La nuit se sauve par la fenêtre" éditions Pleine Page), j'ai également publié un roman ("L'éternité, bien sûr", et un essai("Le désespoir amoureux de la vie" édition
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Le blog de Brigitte Giraud
Donner mon regard sur le monde, ce qui me réjouit en cela que c'est la seule chose possible de faire.
brigitte giraud
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05/07/2009
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Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Il ferme les yeux. fait comme si... les circonstances, les autres, l'évidence jouée aux dés, perdue, "ma vie, mon sang" tant de mots, tant de ciels ! il a la paix quand il est tout seul, avant de s'endormir et les plaies qui se déchirent. la paix, c'est le ratage rattrapé. façon de tenir à soi. myriades de gris pâles, si pâles. un tiroir r
Toujours un truc qui se brise sans faire mal / faire vraiment mal. un tissu se déchire quelque part, une ferraille coupe la trame, bruits de filins sur des traverses. parce que sinon, tu t'emballes vite, ouvres les yeux; en plus grand. une fenêtre manquait/ manquait pas vraiment dans ton grenier, mais tout bien pesé/ pas pesé s'ouvrait quand m
Le sang revient. la couleur du souffle écume le coeur, à toi. jusqu'à toi. une étreinte rouge de forêt à mourir de tout un bloc de ciels soudain étranges. pas de peine ici, où poser son regard sur un bord de fenêtre. je lis ce qui se lit dans la langue qui tremble. le secret de la nuit prophétise ton visage. les yeux se déracinent, enlac
Un vide à l'intérieur te cloue au carrelage ta mère ne comprend pas pourquoi tu tombes de la grande roue. mille ans de fatigue et des poussières dépassent du ciel tout retourné. tu crois que tu meurs plus que tu t'endors. tu remets les bouts de ficelle à demain...
Pourtant, tu rapproches les bords, et les images tournent à l'envers. tu ne comprends pas comment elles passent sur ton visage. et tombent en toi. un paysage d'ombres et de silence. parfois un écho de voix, un rire, le bruit d'une chaise sur du ciment, un meuble qu'on déplace, des pas dans une rue. parfois une lampe clignote, les couleurs se mé
Près des bassins à flot, constructions neuves, pans de murs. le vent bat. deux/trois tentes vacillent, bric et broc et la toile saigne. a blanc. des hommes vivent. là. la fatigue, les sacs de clous au bout des mains, une histoire foutue échappée entre les doigts, le ventre/boîte à noeuds... c'est loin ! une racine de misère fichée au ciel,
Tu montres des images. un paysage de pluie, des hommes dedans. et, ce qui se passe en eux, cette matière liquide en eux, un désir que parfois nul ne sait saisir. tourne avec moi | pluie d'août, parfois les... par quani .
Le tissu brosse des ombres sous la lampe. la trame a des nœuds sur l'envers. je tombe à pic dans le présent, tombe, tombe... ricoche sur tes paupières, lape des mots enchevêtrés, l’épingle des virages. on ne sait pas la simplicité de la marche. le comment quoi faire de quoi. mélanger le blanc avec le noir, une curiosité de l'évidence e
Voilà, je remets l'info. 1417 billets pour tout compte. c'est le prix ! le lien est conservé ici, et restera ouvert http://paradisbancale.over-blog.com/ qui m'aime me suive/suivra sur blogspot http://paradisbancal.blogspot.fr/ avec ce qu'il faut de vent, de guillochis de hasard, et les mains ébouriffées -assez grandes, on voudrait- pour se sais