J’avais un espoir appelé france liberté egalité fraternité j’entendais le respect et le partage berceau des droits de l’homme je voyais la mixité et la richesse j’avais un espoir appelé france enfermement disparité méfiance je sentis la haine, la peur facade de blabla je trinquais ta violence ordinaire me fit gerber j’avais une en
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Un imaginaire en fusion, des mots qui passent et repassent souhaitent sortir et danser...
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Quelques écrits alliant un style diversifié car une seule case ne suffit pas à exprimer les émotions, les instants... d'ici et d'ailleurs...
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17/09/2011
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Clément, martin et louisa sont attablés à la terrasse du café depuis 14h en ce mercredi après-midi. il est 16h, occupés à refaire le monde avec des théories quelques fois rocambolesques autour d’un café, budget étudiant oblige ! dans toutes ces disgraissions louisa parle de dostoïevski et de son crocodile, très rapidement on en finit
Bonjour à tous je vous prie de m'excuser pour mon erreur de publication pour un défi 107 qui est porté par abc cette semaine. donc à l'abordage du défi 107 d'abc bonne écriture emmanuelle ecritsparciparla
Mode d’emploi de moi à moi pour moi et autrui comme tout mode d’emploi le mien ne déroge pas à la règle et est en chinois. y avait une option russe disponible à ma naissance, mais non. liste des objets nécessaires pour utilisation : dictionnaires chinois – français voila liste établie ! armée du dictionnaire, chercher : le bouton : o
Une larme sur ma joue douce et délicate, invisible aux regards dénués d’intérêt une larme sur ma joue témoigne de ma peine enfermée, condamnée dans mon être une larme que j’oublis, pour tenir éloigné ce mal qui m’étreint douleur profonde et lancinante qui me rappelle, oh combien je ne suis rien douleur abjecte qui me paralyse et m
8h04 45 secondes la rue batavia tire à sa fin je vais emprunter la rue messine, certainement la plus longue de mon périple matinal. quand j'entre j'ai l'impression d'être face à une immensité, un long fil se déroule à l’horizon devant mes yeux. je me souviens les premières fois que je l'ai prise m'être dit : non ce n'est pas possible je
Elle était allongée sur le sable nue, la nuit était tombée depuis 2 heures déjà et elle restait sans bouger, pétrifiée. la fraicheur des embruns faisait frémir son corps, les vagues venaient lécher ses pieds qui ne sourcillaient pas, le sable semblait se rigidifiait, lui signifiant qu’il était temps de partir ; mais aucune parcelle de
La jambe passe par l’entrebâillement, velue, poilue, veines saillantes, celle-ci n’est pas des plus courtoise, un peu angoissante, elle n’inspire rien qui vaille. elle n’était pas là hier. de loin elle a tangué d’un coin à l’autre, furtive, discrète, elle ne se dévoilait pas. et voilà qu’aujourd’hui elle abat ses cartes et l
Martin est un homme simple sans vague, il part tous les matins à 8h, prend le bus au bas de son immeuble, la ligne 2, descend 5 arrêts plus loin. il avait choisi cet immeuble pour cela. une fois qu’il arrive, il traverse la route et entre au 5 rue du professeur, prend l’escalier, entre au premier étage, descend la salle en open space, son bo
Il avançait nu comme un ver au milieu de cette avenue, une de ces grandes artères bordées de platanes majestueux et de trottoirs colossales, emplies de passant à la limite de l'implosion, elle déversait son lot d'unité passante. ces unités par définition ne sont pas présentes, elles sont ailleurs, elles passent simplement. ils y auraient d