Anne - marie marie - jo michel nadege annick jean-bernard bruno marie-rose severine regis julien leila tom cela ne rime à rien ? pour moi çà rime à tout tout ce qui est mon bien mes bonheurs les plus fous ! comme quoi, mon ami treize noms sont bonheur pour éclairer ma vie pour m'habiter le coeur... mais au tirage au sort, qui pourra me gagner

Désolé pour mes "suiveurs" inscrits sur ce site ! mais je suis retombé dans mes travers bordéliques : écrire sur des bouts de papier, les chiffoner, les manger ou détruire... en attendant d'écrire, de chiffoner.... et j'ai pourtant tellement besoin de vos quelques mots pour me pousser à vous donner les miens ! je suis revenu pour un petit p

Oceane ce beau visage rond, comme bulle océane et tes yeux arrondis pétillants de bonheur... ce regard de bonbon qui de sucré s'émane se fermant à l'abri de ton tout petit cœur... ton océane brume, maritime et mouillée toute ronde s'allume toute blanche trempée... un sourire amusé, des mouvements de mer, de bulles babillés qui s'envolent

La semaine avant noël il est parti comme çà ; c'est dire qu'il ne vit pas l'année recommencer pour lui, peut-être jusqu'en mai... le champagne a pleuré ses quelques bulles noires tout au fond de la cave entre pommes et terre... un ange trop pressé est venu le chercher, pour l'emmener par là, loin de nous, loin de moi... notre foi bousculée

Un petit peu de sang, qui s'est donné du mien. un petit peu d'enfant qui est un petit mien. tom est né, m'a vieilli, un peu trop loin de moi, m'a aussi rajeuni, pas assez près de moi... chaque fois de le voir, il a bien plus grandi, avec mon desespoir d'être si loin de lui... révant qu'il me revoit comme son sang venu, j'attends le bout d'un d

Et quand corolle vole en un doux vent bonheur posée à l'aréole qui préside ton coeur... cette tendre pétale tout en légère soie, habille la vestale qui tout un peu sursoit. ton parfum, o ma fleur me fait rêver de nous, oublier notre peur, s'en aller comme un fou... et prise d'aujourd'hui en un culte oublié, à nous deux on s'enfuit, à vou

On allait pas finir l'année sans vous dire mes lumières, et tous les mots que j'écrivais, perdu en nuits braconnières... quand la nausée me prend le corps je me retiens de vous parler ; je vais aux ruines de mon fort, pour ne rien voir et me cacher... on allait pas finir l'année avant l'envie de m'en aller ; je n'aime pas vraiment assez d'avo

L'angoisse de louper ce rendez-vous, la poisse d'un avenir soudain mou... j'ai révé les cinq signes pour gagner. j'ai pleuré, de ne pas courir assez... et, tout tremblant passant la pluie de l'endroit, silence hurlant de me râter dans l'effroi... et je cours me sachant déjà trop tard, et je cours, me détruisant de retard. elle est fermée ma

Laissez-moi dire ! laissez-moi vivre ! laissez dire la vie ! que de l'amour à nous comprendre.... dis lui à ekke

Plic, plic, plic et plic drôle de bruit de ma souris courant sur l'applique ! il y a vingt sept ans elle nous patinait sur la toile cirée, sans se féler les dents ! elle est parti au concours, de premier jour poésie, enfant de lang et d'amour tout premier jour de ma vie ! sur les radios de fr 3 j'en devenais le régional en mon alsace cette foi