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Kerrygane

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Kerrygane

"Quand la poésie rencontre le ciel Dans une folie de couleur Et la vie plongée tout à coup dans l'éternel D'un soleil à ses dernières lueurs"
Kerrygane Kerrygane
Articles : 26
Depuis : 08/02/2007
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

L’âme noir

L’évidence à son éclat pâle, noir comme l’effroi l’obscure à ton image qui ne fait de toi qu’une simple rage mais au fond de ton être d’un ironique sourire vivre ne te fait point jouir simplement que ton regard s’est perdu loin, et sans exister tu souffre malgré tout dans un souffle en toi le sang, la colère se sont déjà épan

Plaie

Noir desseins que ceux de la nuit qui furieusement vous assaillis la vie plongée dans l’horreur prise aux tourments de la peur qui ne voit pas s’écouler ses larmes sèches ridicule, écrasé par notre intense folie qui nous bascule dans l’antre de cette brèche infernal… futile… mais nous emporte, nous détruit que faire quand l’hiver

A l’amour

Dame noir couleur du desespoir mon amour devient blême entre tes main qui n’a ni rose ni destin amour parti s’en fut ennemis armé de galanterie rougit de plaisir j’ai faim de ce désir parce que j’étais trop perfectionniste tu m’as laissé aux supplices recluse dans mon interminable chagrin je n’y trouve plus de fin donne moi l’esp

Le diable angélique

Il y aura plusieurs fois du sang sur tes mains le même sang humain et le mien l’ardeur du monde dans tes yeux l’odeur de la poudre dans tes cheveux l’amer de la colère sur ta peau l’âpre de la haine à tes mots tu flirte avec la mort, donne à la vie son chaos vieux rebelle à sa égoïste cause l’ignorant à sa dose l’or dans la mor

Vacherie

A celle qui vachement trop vache vous meugles laiteusement leur beaux petrin à laquelle nul ne se consoit meilleur. belles vaches que rien ne vous distinguent mieux que votre plus belle atout, votre peau. manger, manger belle du troupeau à qui on reconnait bien là le dons maternel et la mammelle bourgeonnante. c'est qu'elles en ont du foin à se

Ephémère

Opiacées de nuit dépendance à l'envie de voir, de croire encore aux ombres de ton corps la chaleur étreint l'ombre la douceur s'éteint et sombre je ne crois rien que toi, ton bien mais la nuit est éphémère et rend le jour cruel les rêves s'évanouissent ne sont que supllice amère déception des mirages de l'esprit semblantes belles émoti

Le vide

Monde de violence monde d’ignorance détruit les âmes broie les chair séduit l’homme par la guerre le silence suit à la détresse au milieu du carnage un sos plus rien, pas un bruit et si tout à tout plus de vie seule l’absence la douleur et le manque croise les regards restant survie des vivants… des souvenirs sur un tableau une œuvre

Prélude 1

L’envie de pleurer, crier la douleur de la chair la douleur éternel qui se prend à hurler on se croît maître poète a trop mal rimer on finit analphabète se plaint « croire à l’espérance dans un monde d’ignorance » blessant cœur et âme au prix de quelque futile larme faire de la liberté un enfer pour la douleur de ses chaînes ! v

Chimères

Sang d’encre pour maux du cœur ecrit ces intimes écueils les odeurs trop âpres de cette vie etouffent l'être que je suis trop d'âme en mon corps trop peu de lueur encore sombre femme soumise à sa peur a qui les songes sont seuls douceurs un soleil au milieu de la nuit un monde au milieu de l'univers un paradis au centre de l'enfers tel est

Ashram

Sur son manteau noir j’ai vu du sang bout de vie attaché à sa perte l’homme, tel un frénétique savant dont l’horreur aurait pris au jeu l’inconsciente bête et la mort sur son visage incandescent s’est reflétée dans ces yeux d’adolescent au fond du regard cette douceur sadique reflètent des desseins lugubres, lubriques quel fut c