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Vivre dans le quartier des Dominos, la difficile conciliation du résidentiel et du lieu de travail
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21/02/2015
Categorie :
Emploi, Enseignement & Etudes
Articles à découvrir
Jeanne est directrice de la crèche. elle commence par nous dire qu'au fil du temps la situation s'est améliorée, en effet la crèche a été le premier équipement installé eu sein du quartier et a par conséquent subis les 4 années de travaux permanent : « aujourd'hui le quartier commence à ressembler à quelque chose ». en revanche elle e
Jeanne est directrice de la crèche, la quarantaine. elle commence par nous dire qu'au fil du temps la situation s'est améliorée, en effet la crèche a été le premier équipement installé eu sein du quartier et a par conséquent subi les 4 années de travaux permanent : « aujourd'hui le quartier commence à ressembler à quelque chose ». en
Nathalie est une jeune femme d'environ une trentaine d'années. comme tous les habitants questionnés, elle ne travaille pas dans le secteur dominos, mais dans le centre ville. elle s'y rend en bus, tous les jours. elle habite dans le quartier par opportunité depuis une dizaine de mois, puisqu'elle ne vient pas de rennes, c'est donc le seul logeme
Jean-marie a environ 45 ans et est employé d'un établissement de restauration. son restaurant est ouvert aussi bien aux employés qu'aux habitants mais pour lui le constat est net : leur clientèle se compose à 90% d'actifs travaillant sur le secteur dominos. le soir, l'établissement est vide, tout comme le quartier dont la vie est rythmée par
Pour les deux femmes le quartier assez triste. josiane trouve que les bâtiments sont trop imposants et grisâtres, ils lui semblent déjà vieux et dépassés. elle insiste en plaisantant « s'ils continuent de construire on ne verra plus le ciel », les deux femmes critiquent en tout cas l'architecture car l'espace au pied des bâtiments n'est pa
Isabelle et josiane sont employées au crédit agricole et ont entre 40 et 50 ans. pour les deux femmes le quartier assez triste. josiane trouve que les bâtiments sont trop imposants et grisâtres, ils lui semblent déjà vieux et dépassés. elle insiste en plaisantant « s'ils continuent de construire on ne verra plus le ciel », les deux femmes
Charles-michael, est locataire d’un logement social, il est kurde. on lui a attribué un nouveau logement à la courouze puisqu’avant il vivait à coté du castorama à saint jacques de la landes. « je trouve le quartier pas très beau en générale, prenez le bâtiment juste en face, il est gris, c’est moche, ce n’est pas du tout avenant
Michelle a 54 ans et travaille au crédit agricole depuis 4 ans. son avis sur le quartier est très négatif. elle insiste d'abord sur les difficultés pour circuler : « les parkings sont toujours pleins », « c'est le bazar pour circuler ». le lieu est très bruyant du fait de la présence de la rocade. les routes sont goudronnées à peu d'end
Mathieu habite avec sa compagne et leur jeune enfant à la courrouze depuis une douzaine de mois. il travaille dans le centre-ville, ce qui lui va très bien puisque ce n'est pas loin de son logement en bus. il empreinte la rocade régulièrement, et il pense que c'est "un atout de l'avoir à proximité". il n'a rien à redire sur son quartier car
Guy, 31 ans, chômeur, installé depuis quelques mois pour guy, le quartier est relativement agréable a vivre, il est calme, cependant, pour l'accès aux commerces ou aux loisirs, il préfère lui aussi le centre ville. il n'a pas le permis, il utilisait donc les transports en commun pour se rendre à son ancien travail, qui se situait sur la bord