Le vieux prenait son temps marchait lentement sous le poids des ans sage était devenu l'écumeur de rues le coureur déchu triste renaissance d'un coeur en partance a lente cadence esprit jadis prospère aujourd'hui délétère chaos qui opère l'agonie d'une vie d'envies appauvrie si près de l'infini
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13/12/2007
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Succédanés d’une âme damnée esprit en faillite conscience qui se délite amour à cœur défendu pour une cause perdue je tremble dans ma carcasse vaine et redoute ma proche déveine le spleen est un compagnon fidèle vient-il à fuir que l’on sent son atèle le garrot serre ma fragile ossature je meurs étouffé dans l’infâme biture tri
Soir bavard matin blafard yeux cocards regard hagard mais l'âme émoustillée d'avoir été emballée peut-être secouée dit "çà me plaît !" alors on se promet le temps de ce partage mais d'aller se coucher a une heure plus sage ... cybernétique love a vingt mille lieux des alcoves des douces amours mauves pour des sensations beaucoup plus fa
"tu dois vivre dans le présent, te lancer au devant de chaque vague, trouver ton éternité à chaque instant" david thoreau
Annie ernaux a mis sa vie dans ses livres. elle est sa propre matière, et les mains du potier qui la façonne et le potier lui-même. encore l'image de escher qui me revient, celle des mains qui sortent du papier et dessinent leur propre existence, leur forme et leur volume. un éternel recommencement. naissance primitive, première et dernière
Amours sans lendemain amours désabusées amours juste entrevues dans le creux d’une main amours d’après-demain amours de plein été cœur du fruit défendu sans eau fraîche et sans pain amours loin du divin amours mortes-nées consumées sans vécu sans tombe, sans parchemin sans amour je suis rien une amibe échouée que personne n’a vue
"la bêtise humaine est la seule chose qui nous donne une idée de l'infini"
Les jours ont perdu leurs couleurs depuis que l’amour nous fait peur je me sens triste et sans saveur quand la distance sépare nos cœurs a te penser si fort en ma conscience je néglige tout ce qui fait mon existence en l’espace commun de nos présences se noue tragique ailleurs de notre absence la mélodie s’achève en refrain monotone fat
Parfois, vous faites une rencontre. un miracle se produit. un échange véritable se passe. et le lien se crée.
Bonjour ! oui ? vous avez le dernier livre d’o. a. ? oui ! vous l’avez lu ? oui… vous avez aimé ? moui. je sens une réticence … ouii. vous me le conseilleriez ? voui. je peux l’avoir aujourd’hui ? ouuiii !!! je paye par carte. oui. merci, au revoir. robot libridiffusion à votre disposition.