Retrouver le temps perdu (inspiré par thomas c.) mais retrouver le temps perdu n'est-il qu'une utopie de plus ? ou bien un héritage indû si la mort fait un pas de plus ? comment réfréner ses élans ? il faudrait déjà moins de vent ! evoluer est un progrès lent, regardant le soleil levant. si nous croyons en l'infini, alors la patience est p

...et la compréhension donne la connaissance ! mais quelle détresse et quelle souffrance quand même les sos semblent être tenus en laisse, et que la nuit nous révèle et nous blesse ! sister c. can you help me ? how can i understand my history ? if it's the truth, just let me see, but i'm afraid of who i'll be... do i really need to go all the

Je me suis trompé de plaisir, en prenant l'imaginaire pour le réel, en créant tout un monde de désirs, en confondant le vrai et le virtuel... et j'ai joui du mâle à l'envie, le rêvant sous toutes ses coutures, en déshabillant ses fantasmes, ou en le dégustant nature ! je me suis moqué des sarcasmes en onaniste exacerbé, j'ai même survé

Toi mon beau miroir de douleur, comment vivrais-je sans ta chaleur ? et si la mort n'est que froideur, quelle est cette joie dans ma candeur ? toi mon royaume de folie pure, que faire quand la vie est si dure que des loups tournent autour de moi et que les jours deviennent des mois ? j'ai beau chercher la nuit, le jour, guetter le moindre signe d'a

Revenir à la terre pour choyer ses ancêtres. revenir à la terre pour tous ceux qui vont naître ! pour qu'un jour nouveau soit encore plus beau que tous les matins du monde, pour l'odeur de l'herbe après la pluie fine, il faut laisser faire la ronde, de la nuit des sens à l'ultime seconde, quel est l'amour qui inonde ? c'est notre chemin de lu

Il reste toujours un doute, une question, un point d’interrogation, quand mon cœur a besoin de son diapason pour pouvoir battre à l’unisson. et les fuites inutiles comme un poison viennent affaiblir dans un frisson mon corps carcan et, la raison, c’est ce léger dérèglement de l’organe vital qui attend comme une réponse la cause du mal

Cette nuit, j’ai rêvé qu’il était vivant, que mon père revenait parmi nous comme avant, nous mangions, nous buvions, nous parlions de maman, et il me souriait comme s’il traversait le temps… c’était à châteauneuf, et je cueillais des fraises, un beau jour agité que le bon vin apaise, la famille réunie – que fêtions-nous vraime

Je ne l’ai pas encore trouvée, ou bien elle m’a échappé… j’ai un peu peur d’y arriver comme un enfant nouveau-né, dans un monde immaculé conçu comme une belle journée… on peut tous l’imaginer puisqu’elle nous fait rêver. c’est ma propre chanson que je veux vous chanter, c’est peut-être ma mission pour vous réenchanter

Si la peau et ses mystères avaient su me faire taire, j’aurais le cœur en terre et l’esprit déchiré… mais une parole nouvelle a soufflé sur ma vie, aussi fragile que belle quand je retrouve l’envie sur le chemin de l’autre pour mieux voir les obstacles. quand l’espérance est nôtre, on cherche une paix durable. on se prend à rêv

Refuser la paranoïa, la blessure des cris de combat, si absurdes qu'ils ne me trompent pas, refuser de tomber plus bas ! pour qu'on ne les oublie jamais, que leurs dessins toujours libèrent la parole; leurs traits qu'on aimait feront rire ceux qui désespèrent... ne laissons pas tomber le voile sur nos visages graves et trop pâles, et qu'ils re