Du papier des couleurs de l'eau claire des images à colorier un paysage un ciel d'été un voyage... le monde entier dans vos regards. cg victor 8/9/2021 pastel sur papier ingres ( 30 x 40 cm )

Une image d'aujourd'hui petit garçon au canotier. cg victor pastel sur papier émeri ( 20 x 30 cm )

Husum einsame stadt am strand deine bunten häuser drängen sich am hafen der nordsee gegenüber. tag für tag stehen sie bereit - treue wächter - dem nebel und den winterstürmen zu trotzen. und wenn abends ein starker wind weht während man am kamin gemütlich sitzt hinter schützenden wänden, lässt eine alte stimme sich hören. sie erzählt s

Le lac des moines au mayet de montagne (allier) un miroir d'eau où la nature tranquillement se regarde et nous invite, par-delà contours et couleurs, à découvrir le spectacle étonnamment changeant de nos humeurs. cg victor pastel sur papier émeri ( 20 x 30 cm )

Un visage m'est apparu à la porte du passé je n'en reconnais pas bien les traits à la douceur enfantine. pourtant son regard m'est familier qui pressent, me semble-t-il, le chemin à parcourir entre le pays des rêves et le jardin des souvenirs. cg victor 23 septembre 2021 portrait d'antan d'une jeune femme de vingt ans. pastel sur papier velour

Petite image rétro d'un instant furtif volé au temps de l'innocence pour illustrer le cahier de l'enfance. cg victor août 2021 petite fille de dos / pastel sur papier émeri ( 20 x 30 cm )

C'est un voyageur un voyageur de l'ordinaire pourtant il vient d'un endroit de la terre où l'or est bleu comme cette fleur vergissmeinnicht et où les diamants servent à plomber les dents des enfants. là-bas le soleil creuse à flanc de colline des vals au coeur empli du souffle des âmes et des esprits de ceux qui parlent de la vie. a l'autre,

Pastel sur papier émeri / 20 x 30 cm / d'après une photo de mon amie florence

Portraits à la mine de plomb ( 40 x 50 cm )

… bien sûr que je me rappelais. je peux même dire que je me souvenais des moindres détails de mon arrivée... dans le couloir à l'étage, les tableaux étaient toujours à leur place et le tissu qui recouvrait les murs n'avait pas changé. lorsque madame rose ouvrit la porte de ma chambre, je fus saisi par les mêmes sensations que la premiè