Laëtitia
Laëtitia
Auteur. J'écris par amour des mots et par envie surtout. C'est comme une drogue, mais douce.
Mes publications :
-Le roman du temps qui passe, éd. Joseph Ouaknine, 2011, poésie (www.ouaknine.fr)
- Histoires d'eau douce et d'eau salée, Mon petit éditeur, 2014, poésie
- Traces de vie, éditions Cana, 2016, poésie
- Le lit qui dort, éditions Tensing, 2017, poésie
-Quotidiens passagers, z4 éditions, 2017, poésie
-Le fil d'avril, z4 éditions, 2018, poésie
-Récits du miroir, z4 éditions, 2018, contes et nouvelles
-Entendez-vous...cette chaleur jaune ? z4 éditions, 2019, poésie
Ses blogs
Le blog de Laëtitia
Bienvenue dans l'univers de mon blog où la poésie, les récits, les nouvelles et les contes se mêlent !!
Laëtitia
Articles :
316
Depuis :
03/02/2012
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Quel est cet amour qu’il vous voue ? est-il plus fort que celui qu’il me porte ? ses mots sont guidés par vos pas alors que j’aimerais qu’il soit dans mes bras. je vous jalouse, je l’avoue je n’ai moi que mes mots et mon cœur pour le séduire et lui faire plaisir. mon bonheur, c’est lui l.g.
Soudain, un battement sourd puis l’écho. de la terre, court un frémissement comme le dos d’une vague qui emportera tout sur son passage. s’écartent les nuages, le ciel se pare d’un bleu doux et les oiseaux tendent le cou a l’affût de brindilles ; va s’agrandir la famille… éclosent les bourgeons a peine le son d’un effleurement
Penser encore pour ne garder même que les miettes de la présence. l'attente au creux déchiré, les jours sans, passant comme des cicatrices éveillées attendre peut-être le printemps... l.g.
Petites tendresses au vol, les jours sans s'évaporent doucement. regarder les sourires, écouter les rires, le ciel azur. dans le rocking-chair se balancer peut-être en souvenir de l'enfance, un bon livre entre les mains. les oiseaux piaillent dans les buissons leur compagnie pourtant est plus douce que les commérages de quartier. juste une bris
Les amours passent émiettés au souvenir, les regards fuient peut-être encore une pensée. les petites silhouettes s'éloignent... et le vent balaye les dernières traces. l'adieu au doux sourire, aux rires élevés dans l'air. la bouche se coud au tendre. était-ce un songe ? (à mon fils) *** rire amer, réapprendre, il faut réapprendre. le co
Dans les rumeurs des rues déjà passe l'an, derniers achats aux foulées de bitume, les passants pressés aux sourires camouflés, l’œil au sommeil court, la joue au cru de la froideur, les cœurs palpitants devant les vitrines ornées et lumineuses, les langues baveuses et les porte-monnaie ouverts selon les bourses, folle course, effrontée a
La liberté, lorsque l'on y goûte enfin...
En pliure sur les trottoirs, comme un trace laissée par un poucet gamin qui ne veut pas perdre son chemin, les papiers en art de fortune se laissent voir. ville rhabillée pour bal de la cour des miracles sous un soleil radieux. les plus chanceux trouveront bonheur à leur gauche pied d’un obstacle nauséabond sur le pavé. les plus frileux pass