Le revenantparoles et musique: charles trenet © - 1970 un cri dans la nuit d'hiver,ma fenêtre est de travers.je la ferme de mon mieuxje vois la couleur des cieux :ils sont noirs,il y a du vent,vent d'autanou vent d'antan.le manteau des cheminéesrecommence à frissonner.sur la route, j'aperçoisun bien étrange bourgeois.où donc l'ai-je déjà v
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Venise, les phares, l'Histoire, Textes, Poesies, ...
Du phare cordouan à Venise, en passant par Strasbourg, je vous invite à decouvrir mon univers. Des textes que j'apprecie aux beaux livres et des anecdotes aux mélancolismes. A la rencontre de l'histoire et des arts ... Welcome, bienvenue, willkommen, ...
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Maison, Déco & Bricolage
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A mick benoît, il sait pourquoi. le matelot le bois grinçait, la coque roulait, la lune se reflétait dans l'ondulation, le berger était au nord.seul un homme veillait sur le pont près à donner l'alerte, observant chaque mouvement. l'atlantique est si vaste qu'il n'est pas rare de se confronter à des pavillons ennemis. une tension permanente
Tic tac le temps passetac tic il trépassele bon sens s'arrête, ...rien n'est plus.tout est figé, ..., immobile.seul le vent souffle dans, ...,un sifflement glacial et violent.plus rien ne vie. tout est mortlieu paradisiaque transforméen un tac et boom.le diable est arrivé sur terrecrée par l'homme.l'horreur est omniprésente. un éclair et le
La brume s'élevait de la montagne dont seul les contours enneigés se détachaient de la noirceur océane. je pénétrais, silencieux, dans les entrelacs de la montagne, dans un entrelacs de rochers et de sapins qui semblent figés pour l'éternité. le silence de la nature dispensait le doux bruit rotatif d'un cours d'eau mourrant dans son grand
Chers éclaireurs, si par hasard, vous avez assisté à la représentation de peter pan, vous vous souviendrez que le chef des pirates était toujours en train de préparer son dernier discours, car il craignait fort que l’heure de sa mort venue, il n’eût plus le temps de le prononcer. c’est à peu près la situation dans laquelle je me trou
Le départ pour la promenade - tableau de pieter de hooch vers 1670
Le départ pour la promenade tableau de pieter de hooch vers 1670 partir à ton bras pour la balade.laisser notre enfant là.s'en aller en promenade.habillé comme pour un apparat. partir pour acheter des tulipes.dans les lumières trompeuses des prototypes.la moitié d'un homme a été meurtrie.dans l'ombre de la mairie. fromveur nb : inspiré du
La coque craque doucementles voiles se gonflent sous l'impulsion du ventles cordages se serrent contre le ventle bateau s'ébranle lentement peu à peu l'océan se réveille clapotantpuis se forcit annonçant un changementneptune est là, prêt à accueillir les marinsdans leur tombeau liquide et froiddans la torpeur et l'effroi,les marins ne rési
"cette ville de strasbourg me plaît plus que je ne puis dire. j'aime ce caractère alsacien, quelque chose d'hospitalier et de libre ; j'aime cette cathédrale si prés de moi, j'aime surtout le voisinage du rhin. il me fait penser à tout ce qu'il y a d'illimité dans l'histoire." edgar quinet, lettre à sa mére
L'homme & la mer - baudelaire - les fleurs du mal - spleen et idéal
Homme libre, toujours tu chériras la mer !la mer est ton miroir ; tu contemples ton âmedans le déroulement infini de sa lame,et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. tu te plais à plonger au sein de ton image ;tu l'embrasses des yeux et es bras, et ton cœurse distrait quelquefois de sa propre rumeurau bruit de cette plainte indomptable e
"il y a à strasbourg, des promenades charmantes telles que je n'en ai vues nulle part ... hommes et femmes, tout respire la tranquillité. l'air débraillé et insolent des parisiens forme un parfais contraste avec ce qu'on voit ici." eugène delacroix, journal de voyage