Extraits d'échanges épistolaires avec une amie... comme disent les amérindiens, pour savoir ce qui est bon pour quelqu'un, il faut avoir marché dans ses souliers (ou quelque chose comme ça)... on ne risque jamais de blesser quelqu'un en partageant juste son expérience car il a le choix de penser que cela n'a rien à voir avec lui. je pense qu
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Comme un chat, je me glisse, par la porte ouverte, dans la pièce du fond. Celle ou l'on ne va jamais. Et je cherche dans les coins, patiemment, une illusion d'éternité..
Julien
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03/02/2009
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
L'homme qui écrivait sur du sable. en me promenant ce jour, dans notre bonne ville, j'ai rencontré un citoyen très bizarre dont l'activité mérite d'être narrée ici. je vous raconte ce que j'ai vu, et je vous laisse juge... ce curieux personnage, à quatre pattes dans la rue, écrivait sur le sol. vous savez que certaines de nos rues ne sont
"mambo" "maria" "america"
Pour le petit julien un jour, deux tomates se promenaient l'une derrière l'autre ! elles traversèrent une route et la deuxième, plus lente, se fit écraser. alors la première, la pauvrette, se retournant, lui dit : - tu viens juju ? ---------------@------------------- les exécutions publiques, les lynchages de foule, commencent toujours par de
Ta vie ressemble à une vitre cassée en mille morceaux. je te vois tournant autour, comme un enfant devant un puzzle, pour tenter de recoller les morceaux dans le bon ordre. je te sens fébrile, hésitant, plaçant un débris ici, un autre là, le replaçant ailleurs puis de nouveau là. ----------------------@------------------------ jamais perso
Ne sachant trop que faire, ils ont pris la forme du moule que l'on avait préparé à leur intention. ils ont passé des années à se fondre dedans, maladroitement parfois, épousant tant bien que mal les contours étroits de ce carcan conçu sur mesure pour les étouffer. ils se doutaient bien qu'ils étaient prisonniers, mais que pouvaient ils f
Raymond devos a parlé magnifiquement des dangers de l'imaginaire. il disait dans un de ses sketchs : "il est dangereux d'emmener avec soi les gens dans l'imaginaire. souvent ils vont plus loin que nous et on est obligé de rentrer tout seul".... ----------------------------@------------------------ j'écris depuis que j'en ai le loisir c'est à di
La poésie est musique et donc insaisissable. elle se pose sur chacun de nous suivant notre humeur, notre envie « d'elle », à ce moment précis. la poésie est un murmure, qui laisse sur son sillage un parfum immatériel. chacun l'entend et le respire avec sa propre respiration. ----------------------@------------------------ il est vrai que l'o
J'oublie ce que je viens d'écrire. comme si j'écrivais sur du sable...ce qui est écrit s'efface ensuite de ma mémoire, comme si je m'en étais débarrassé,...alors que me reviennent, par vagues successives, les phrases d'écrivains que j'ai aimé... ----------------------@------------------------ je n'aime pas les mots « fan », « idole »..
Au-delà de la question morale, mettre fin à la folie de l'argent roi devient une question de survie collective. ---------------@-------------------- a partir de quel montant les « parachutes dorés » deviennent-ils contraires à l'éthique ? 13 millions d'euros, comme celui d'antoine zacharias, ex-patron de vinci ? ou seulement 3,2 millions, co