(la suite) ... un froid ardent envahit la pièce. un dieu et son meilleur sujet face à face pourtant ce n'est pas l'autre qui a l'avantage.désorienté, le tout puissant était en réalité indigné de ce qu'il apprenait.pourtant pas une parole, pas un contact n'avait été échangé, mais le sang et les larmes coulées avaient forcément été pr
Eicul Yto
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Eicul Yto
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Littérature, BD & Poésie
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Partie 2 : les neo kiwis: alors que les schtroumpfs constituent une menace iminante à la vie de l'homme, celui-ci, dans son éternelle bêtise s'amuse à détruire de lui même le monde idillique dans lequel il vivrait.interdit de rêver,de sa liberté, interdit de vivre, l'un des martyrs de cet être est le pauvre, l'innocent, le rejeté, le repo
En cours ^^ troll
Tu te dis nécessaire, tu te prétends vitale, tu te fais appelée tristesse réponds parfois au nom de scandale. fais-tu reigner la justice? es-tu une contrainte au bonheur? aujourd'hui exploitée par ces complices figurant à tort leur honneur. s'il y a une chose dont je suis persuadée c'est que tu ne devrais te dire liberté car se renouvellent
Je dessends en ville sans quitter ma chambre, une de ces fourmies posée sur ma jambe. je m'excite, devient fou, je l'écrase efface ce sourir de mon visage! mais ne m'arrètes pas, s'il te plait lache moi! ... les murs s'écroulent, et le sang coule. triste existance aveugle, pauvre vie où l'on meurt. le bourreau derrière les barreaux, sans réa
C'est simplement une illustration qui rejoins un peu les dernières pensées << d'accord c'est un peu gore mais j'étais contente de mes tripes ^^.
12/10/2015 je me souviens avoir rêvé de kurt cobain vivant dans un appartement sembalble à celui de mon frère, mais en allemagne. il peignait à partir de photos d'enfants, ceux-ci étaient de face, leurs regards et leurs visages étaient essentiellement colorés de rouge et violet. il peignait pour la commande de quelqu'un (je ne sais plus qui
De mes souvenir persiste un fond lugubre, des personnalités valant plus enterrées néanmoins au sein de cet univers obscur des fleurs j'aie préféré laisser pousser et que des corps désormais souillés par l'usure puissent-elles grandir pour nourrir ma vérité.
Le néant de ton subconscient se consume de sa lassitude. ton passé larvaire n'est que présent crie ton désespoir l'opprimé plaqué contre le grillage de la solitude je ne serais l'oreille que tu pries tant mon anophèle m'amusait mais je ne sais plus qu'en faire mon pantin ne bouge plus quand je le pince ne parles plus si je cesse de le faire
(je n'avais pas le budget pour le phœnix). mes sincères salutations lecteur égaré, apeuré et fébrile, repose tes mirettes fatiguées sur ce blog fantôme. fantôme car délaissé depuis ( euh .. environ mon brevet je crois ). ici, ça correspond à l'intérieur de ma tête; pleine de réflexions sans sens, d'histoires à dormir debout, de fat