Pendant mon voyage de touriste, en 2007, j’avais bien entendu essayé la fellouk – passage obligatoire de tout visiteur ayant un peu d’argent : ces bateaux à voiles triangulaires, partout le long du nil, vous emmènent pour quelques heures ou pour une croisière, sur les eaux du plus long fleuve du monde. mais nous l’avions pris à assouan
Théo V.
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Théo V.
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27/09/2014
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Tourisme, Lieux et Événements
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La naïveté est un chemin difficile, au moins depuis le péché originel. c’est l’une des conclusions hardies qu’on tire à la visite du musée copte – situé juste à côté de l’église saint-georges et de l’église sainte-marie, dans cette enclave chrétienne du caire que les romains appelaient babylone d’egypte, et où mène le m
Deuxième jour de notre voyage au cœur du désert libyen. le lever du soleil, un feu orange rouge et jaune découvre le ciel. puis, le bleu. et les oiseaux. notre nouvelle amie ouzbek rallume le feu du campement. hypnotisés. lectures ou bain chaud, soupe de lentilles ou couscous, et discussions. le fn, la vie politique, les associations,...la
Novembre 2014. a la sortie du bowling. retour en microbus. et ça, c’était incroyable. encore plus improbable que le centre de loisirs que nous venons de quitter. une expérience palpitante. nous entrons à cinq dans un bus de douze places, déjà bien rempli. tant pis, on se serre. chacun donne deux gine (livres) au chauffeur, notre compa
De plus en plus, ici, je me laisse guider par l’envie du moment. de plus en plus, l’envie du moment est paresseuse ; lente, du moins. c’est ainsi qu’en revenant du magasin qui fait office d’épicerie et dont le propriétaire est très inquiet à l’idée que j’arrête un jour de fumer, je m’offre un de ces moments que j’associe dé
À supposer que ce vieux marcel fût allé en egypte deux décennies plus tôt, et qu’il eût l’appétit des mets moins délicats, moins compassés aussi, qu’un biscuit mouillé dans une tasse de thé, c’est à n’en pas douter la kofta qu’il aurait élue pour le climax de son prequel à retour vers le futur. cette petite saucisse de via
Tu l’avais oublié, mais le caire, ce n’est pas d’abord affaire d’odeurs, de couleurs, d’architecture, d’urbanisme, de visages, de mots, de saveurs, de monuments, de gens… c’est d’abord une question de bagnoles. le taxi depuis l’aéroport. les centaines de taxis attendant le pigeon, rangés nez contre nez ou flancs à flancs. la
Les zommes sont revenus, aujourd’hui. le vieux, que nous avons l’habitude de voir, accompagné de deux autres spécimens qui ne ressemblaient à rien de connu. un mâle et une femelle. nous nous sommes terrés au fond de nos cachettes en attendant que l’orage passe, espérant pouvoir sortir dès qu’ils partiraient. la femelle est res
Nous étions à peine rentrés de vacances – ou au moins, il nous le semblait – que déjà nous en avions assez du caire. l’agressivité de la ville nous donnait tant envie de la fuir que, un peu au dernier moment, nous décidions de partir au lac du fayoum, à quelques heures de route du caire, pour chercher un peu de calme. un week
Purgatoire trouver la gare routière n’a pas été un problème. nous devrions nous douter de quelque chose, assis dans ce hall bétonneux, vitré et vide, si ce n’est pour le marchand de tout et rien et sa sono crachant l’électro-cha3bi[1]. nous sommes heureux de partir en vacances vers l’oasis de siwa, loin de la folie cairote, loin des