Cela encore en nous sans rupture le ricanement du squelette le bon vouloir de la tripe leurs parcours aux bouées d’ironie nature de notre boue éponge sans surprise lime le froid ce qui tord et fendille laisse parler tes jungles accueille crânement comme si tu pouvais survivre laisse aller le mystère porte haut ta mémoire à la marche féline
jean-louis bec
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jean-louis bec
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30/05/2010
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Photographie
Articles à découvrir
La série sept vies et quelques unes appartient au quatrième groupe. celui-ci aborde l'apparition et la nature de l'animal. cette série traite succinctement des réactions émotionnelles du chat et des représentations qu'il inspire ou a inspiré auprès des humains. pour avoir une vision complète de la démarche suivie dans ce blog, se référe
Perle un reflet le long de la gouttière une goutte de miel se coule en caresses la paix dans la fourrure lisse un soir qui s’endort en montrant patte blanche l’aube sur son visage adoucira tous ses éclats lumière douce improvisée reposée pour frôler les paupières
Un lâché de visages virevolte autour de la tête lanterne à la magie agitée de furies ou de douceurs languides suivre curieusement alors les voyages incessants vers la clarté perdue les récits piquants des ombres animales ce noir taillé d'un savoir de lame terrestre tout ce qui surprend trompe se glisse hors du soyeux et se faufile ce qui vi
Le saut est dans le corps rassemblé sur ses gardes un déclic la peur s’arme au fond de son refuge en bordure de nerf se penche un sang trop plein rapide et effilé en griffe la morsure se perche équilibre à l'accent pointu de ses dents trop tôt trop tard la fuite la lutte jailliront courses vibrantes orbes lustrés de tous ses muscles
Série en cours de publication...
il mûrit comme le sable poudre innocente la nuit il mûrit comme les ailes s’ouvrent portent la fin des gestes il mûrit comme la griffe laisse se couvre de fragile il mûrit comme l’œil calme luit et abandonne aussi le sommeil le sommeil magnifique lumière des poses lentes étirées à grands traits créatu
Une masse de patience fond dans sa lumière lasse soudain tranche le présent l’ennui ne ternit plus la nuit que piaffe le jour à tirades d’oiseaux qu'au fond de chaque organe le jeu s’aiguise de toute liberté le croc surprendra chaque cri quand se greffera la griffe fer de tes métamorphoses tenaillées par le sombre le sang parle au sang
Des kystes de pierre s'arrondissent en prunelles les yeux plantés aux créneaux en étranges fenêtres redemandent l'affut ses traits soudés d'immobile son être musclé de sculpture l'attention la tension l'aiguisé déguisé du fébrile tu gis dans le parfait du vivant attentif corps sombre aux gestes ravalés grognards de fond de gorge l'étin
J'observe l’amande de ses douceurs légères le noir s’est écarté d’une lenteur sans plis le corps porte une espérance une étendue qu’un flottement maintient en lui une caresse s’ouvre en partage une autre attend son tour le désir est sans masque un esprit organique et tendre une lumière ronde à brillance d’un œil s'instaure dan
Raison en coin passée au savant noir verbe abondant d'une fumée pensante un esprit en est le sujet des volutes le qualifie derrière le rideau de l'œil prévoyant de près de loin monocle toute clé en main ricane le noir dans sa voyance ses pertinences forgées de bouts de monde toutes les serrures forcées d'un langage chaudron et de griffures