Moi, qui suis-je ? me voir, puis-je ? un être plein de doute qui parfois sa vie redoute un être en perpétuelle recherche du moi avec mes inquiétudes mes peurs, mes émois un être qui recherche de l’humain toute la beauté bien que la réalité me renvoie en pleine figure sa cruauté parfois cela me touche tellement au profond de moi que j’

Quand tu lances la flèche de la vérité, n'oublie pas de tremper la pointe dans le miel

Si ma chaussure est étroite, peu m'importe si le monde est vaste

Celui qui rame dans le sens du courant, fait rire les crocodiles

A quoi sert la lumière du soleil, si tu as les yeux fermés?

Si ce que tu as à dire, n'est pas plus beau que le silence, alors, tais-toi

Ma liberté ma liberté est un don précieux qui voyage avec moi jusqu'aux cieux cest un trésor qui vaut du monde tout l'or un trésor que chaque être possède qui, pour vivre, n'a point besoin d'autre d'aide! mais il me semble que chacun, dans toute sa dérive veut de l'autre, convoiter ce bien comme s'il était sien la liberté de son frère co

Classé dans : mes poèmes — ladynes at 7:55 on jeudi, janvier 5, 2012 des racines et des feuilles que je vous le dise, à ma forte guise, sur mon visage, mon bonheur ne se déguise aujourd’hui encore, je suis et à la vie je souris peu m’importent les préjugés que l’on me porte moi, c’est l’inépuisable amour pour autrui que je porte

Ce que tu ne veux pas laisser entendre à ton ennemi, ne le dis pas à ton ami ou ne confie pas tes peines à autrui; l'épervier et le vautour se jettent sur le blessé qui gémit

Il faut que le hasard renverse la fourmi, pour qu'elle voit le ciel