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Une émotion créée, mes mots furent déposés, le partage, j'ai tenté pour vous intéresser. attente d'un retour, simplement d'un avis, mais vous êtes restés sourds aux contes de ma vie. de mon tout, de mes riens, en poésie, j'essaie, j'ai les mots d'un terrien qui écrit en français. comme du corps enseignant, je ne fais pas partie. a mon c
Je connais la censure de tous ces roitelets, qui pensent qu'ils assurent la paix dans leurs palais. ma plume est mon amie, je taquine mon cerveau, je vais, en poésie, répondre par ces mots. vous ferai-je donc de l'ombre par ma façon d'écrire, je ne serai point sombre car j'ai envie d'en rire. supprimez tous mes mots sans une explication, dans m
A ne jamais parler, à ne rien partager,des vies bien séparées, chacun de nos cotés,nous ne nous voyons plus, nous nous sommes fâchés,nous ne discutons plus, le lien est bien cassé. que pensiez-vous de moi, parfois, je pense à vous,ce silence est un poids, vos ego, mon dégout.si vous avez besoin, inutile d'appeler,préférez vos voisins s'i
Parfois, très simplement, je les ai découverts,quelque fois, leurs talents méritaient quelques vers.j'ai saisi le stylo virtuel de mon pc,avec mes quelques mots, je les ai présentés. je fais mon propre choix, sans être manipulé,mon jugement fait loi, les médias ignorés.télé-réalité, ces concours à la con,artistes préfabriqués, à eu
La solidarité, pour toi, à sens unique, lorsque tu peux gagner, tu voudrais qu'elle s'applique. au centre de ce monde, tu veux être gagnant, tu es un mec immonde, égoïste, répugnant. la solidarité, prétexte inopiné, que veux-tu me chanter, voudrais-tu te moquer. tous tes petits problèmes, je t'avoue, je m'en fous, je t'écris ce poème, j
Je vais te rencontrer, pour un pot, un diner,je te l'ai proposé, tu n'as pas refusé,en tout bien, tout honneur, telle est la condition,savourer les saveurs des premières émotions. jeune femme en crinoline, comme dans le temps passé,joueront les mandolines, si on peut en trouver,en tout bien, tout honneur, il me faut l'accepter,fantaisie et dou
Les moyens, nous avons pour sauver l'univers,de notre évolution, pouvons-nous être fiers ?notre terre est souillée par la faute du voisin,la vie est menacée mais je n'y suis pour rien. c'est du chacun pour soi, chacun sa vérité,et c'est sans foi, ni loi, châtiment mérité.poussée du terrorisme qui amène à l'action,l'enfer du barbarisme s
Sans regret, sans remord, j'ai cette rage en moi,je vais donner la mort à plus petit que moi.la guerre est commencée, je les tue de mes mains,le permis de tuer, je prends ce droit divin. devant cette invasion, il me faut réagir,partout dans la maison, je fais le sang rougir.je vais éliminer cette bande de gredins,le permis de tuer, je suis un a
Première édition 15/10/2010 *** les foudres de dieu… ! """on ne corrige pas celui qu'on pend, on corrige les autres par lui...""" ( michel de montaigne.) ce récit est une oeuvre de pure fiction. par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite. au co
La terre au terrorisme, le monde devenu fou, assez de l'ascétisme, perfection en dessous, fana du fanatisme, la haine du gourou, elle part au paroxysme, l'horreur est parmi nous. de secte à sectarisme, écoutez mon courroux, hâtez mon athéisme, je ne crois plus en vous, social du socialisme, nous en voyons le bout, cap du capitalisme, quel en s
Le matin d'un lundi, nous étions différents, une centaine de conscrits qu'il fallait mettre en rang. ils ont donc commencé à donner les habits, en bleu coton sergé, en vert pour le treillis. quand tu regardes tomber ta fin d'adolescence, cheveux à terre, coupés, tu regrettes leur absence. la vie, ça va, ça vient, j'ai jeté la photo, parfo
Jamait, "je me souviens", j'écoute son cd,ma pensée part très loin, elle aime voyager,repenser à son bleu, je ne suis pas amer,moment simple et heureux, souvenirs de mon père. un mot sur les salauds, masculins, féminins,du mal, j'ai eu mon lot et j'oublie ces crétins.nos chagrins et nos ires partis avec le vent,pour ne plus en souffrir, il f
Je t'ouvrirai la porte pour te permettre d'entrer, si ton désir l'emporte, tu me feras tourner. je te réserve l'accueil que tu espères trouver, repoussant les écueils qui te feraient tomber. il te faut croire en moi, je te sens hésiter, je ressens ton émoi, la peur de tout changer. tu lèves les yeux au ciel, réclamant un secours, une aide p
Parce qu'ils étaient connus, on ne les oublie pas, vous allez dans la rue, poussés par les medias. liberté de la presse, j'avoue, c'est important, pour que les combats cessent, il faut être au courant. armés de leurs crayons, ils passaient leurs messages, leur lot de rebellion dans ce monde peu sage. ils bossaient pour charlie, je ne l'achetai
Pourquoi vouloir casser ce qui fonctionne bien, quel tort lui attribuer, l'argent est-il le lien. pourquoi vouloir détruire ce qui nous appartient, je voudrais vous le dire, ne cassez pas ce lien. artistes et comédiens, nous pouvons leur parler, a nos portées de mains, on peut les saluer. toutes ces musiques offertes, des textes et des belles vo
Dans ce monde infernal, sans âme, sans foi ni loi.centré dans la spirale, celle du chacun pour soi,devenus des zombies, on file incognito,que fait-on de nos vies, le sens nous fait défaut. nos rois guillotinés pour un monde meilleur,qu'avons nous inventé pour construire le bonheur.les rênes pour nous mener, nous les avons laissées,nos rêves
Il me faut bien le dire, dans le gouffre, le néant, après tous nos délires, c'est la fin maintenant. poussés à oublier toutes nos chances et nos rires, nous avons accepté de marcher vers le pire. nous sommes un vieux pays, pourri par l'inconscience, une seule règle ici, prôner l'incompétence. quelque soit le niveau, le cap est indiqué, pa
Cherchons la marguerite pour égrener le temps, la ritournelle s'invite pour les petits, les grands. une éternelle question, m'aime t'il, m'aime t'elle toujours, c'est avec précaution qu'on effeuille l'amour. la magie d'une fleur pour écarter les doutes, eviter les malheurs, les embuches de la route, cherchons la vérité, celle ci reste une que
Dans un passé lointain, c'est fou comme le temps passe, j'en ai connu certains de nos pilotes de chasse. d'en parler aujourd'hui à la télévision, le passé rejaillit, je ressens l'émotion. j'ai aimé l'alpha-jet, à tours et à cazaux, mes souvenirs sont nets car ils restent très beaux. a salon de provence, la paf y est basée, parfois, j'ai
Les gens indispensables sont tous au cimetière, ils se croyaient capables de prouver le contraire. l'horloge, ils ont poussé tout au long du chemin, l'ego, ils ont gardé pour gérer leurs destins. pour ces gens volontaires, c'est trop tard désormais, ils ne sont que poussières à notre grand regret. arrêtons de courir après toutes ces chimè
Une maison de maître, je me mets à penser, lorsque l'on veut paraitre, l'endroit est désigné. dehors, un joli parc, les arbustes sont taillés, une voiture de marque, l'endroit est habité. j'aperçois un grand bois, des arbres centenaires, aucune bête aux abois, l'endroit semble pépère. les oiseaux dans leurs nids surveillent les couvées,
C'est le temps des noisettes, on peut les ramasser, mais en ville, c'est trop bête, ce temps est oublié. c'était à la campagne, tout au fond du chemin, dans ce coin de bretagne, nous étions des gamins. je me souviens qu'enfant, après la mi-août, quand venait ce moment, ces arbres étaient à nous. on y grimpait dedans, en faisant attention,
Vois dans quel état j'erre, regarde nous maintenant, quand la vieillesse génère cet état d'avancement. le temps a fait le pire, laissant passer les ans, les jeunes, sans prévenir, ils ont fait des enfants. biberons à toute heure, un temps qu'on a vécu, pour les jeunes, ce bonheur que nous ne voulons plus. nous étions jeunes et beaux, c'est
Ton cobaye est venu, nous pouvons commencer, on n'est jamais déçu, tu sais bien cuisiner. cinquante ans de connerie, tu y es arrivé, jojo, t'as pas vieilli, ce cap, tu l'as passé. tes fans sont tous ici pour les fêter ensemble, c'est la chouille aujourd'hui, cet instant nous rassemble. ce soir à montricoux, nous allons mettre le feu, nous all
Par son phrasé rapide, parfois, il nous surprend, mais les mots sont limpides, on comprend aisément cette avalanche de mots, un air d'accordéon, quelques notes au piano qui nous donnent le ton. de tous ces mots qui claquent, faut avoir le déclic pour les poser en vrac et les mettre en musique, il nous pose le décor dans l'ame de ses chansons,
Commerçant équitable, je crée des poésies, il est bien peu rentable, mon commerce est gratuit. j'y mets certaines couleurs, des mots qui font merveilles, comme un bouquet de fleurs qui attirent les abeilles. j'y mets des mots de france car cette langue me plait, je garde cette attirance pour un texte en français. n'étant pas littéraire, c'es
La carte non nécessaire, je l'ai catalogué, je ne l'ai pas vu faire, c'est un handicapé. des neurones ont manqué lors de sa conception, l'air lui a t-il manqué, telle est bien la question ? sa voiture est jetée, à mi-place, mi-trottoir, les piétons sont bloqués, nous pouvons nous faire voir. il n'a pas pris le temps de bien faire son crén
Une vie d'enfants gâtés depuis qu'on est jeunots, quand on veut nous calmer, on nous donne des cadeaux. jamais une paire de claques pour donner des repères, jamais, ils ne nous braquent, nos parents bien pépères. nous sommes adolescents, nous adorons les jeux, assis devant l'écran, la vie importe peu. nous sommes bien armés, je veux dire, vi
Suppléments de mensonge, continue de mentir dans tes rêves et tes songes, sérieux ou en délire. le temps de la tendresse et de l'apaisement, ce disque est une caresse, une douceur du présent. infinitive voix qui venez nous bercer par quelques mots parfois qui troublent nos pensées. c'est une poésie qui me vient en mémoire quand on cherche l
Puisque demain n'est plus, je vis au jour le jour, je ne suis plus déçu par tous ceux qui m'entourent. le soleil dans les yeux, je regarde devant, je connais les enjeux, certains sont importants. cramponné au volant de ma petite vie, je ne fais pas semblant, je fais ce que je dis. il n'y a plus personne pour dicter mes projets, a mes envies, je
J'aime faire ce qu'il me plait, sans jamais demander, j'ai acheté des filets car je voulais pécher. dans ce grand magasin, j'ai pris tout ce qu'il faut, un bonnet de marin, un pull qui me tient chaud. capitaine matelot, tout de jaune habillé, très fier sur mon bateau, seul j'ai appareillé. mais j'aurai dû t'attendre pour bien me conseiller, j
Second anniversaire, c'est celui de mon site, c'est l'endroit pour mes vers, venez, je vous invite. plus de trois cents idées, des textes ou des photos, m'ont permis d'avancer, par images ou propos. mon premier texte est né d'une grave collision, les mots, j'ai enchaîné sur un bien triste ton. mon texte, 'les maux d'août' se voulait plus subti
Bien en forme ce matin, comme les fous de mon age, je serre le frein à main pour passer les virages. sortie du samedi soir, la fête fût bien sympa, seul dans mon bolide noir, je fonce vers chez moi. bien en forme ce matin, je roule à vive allure, dans mon corps, je suis bien, dans ma tête, c'est moins sur. la vitesse m'a grisé, l'alcool aussi
Tu viens de te lever, sans même nous dire bonjour, tu n'es pas réveillée, ton sommeil fut trop court. il faut rester patient, ne pas te provoquer, comme un brasier ardent, t'es prête à exploser. ton visage bien fermé, tu ne dis aucun mot, au petit déjeuner, tu te prends du lait chaud. après quelques soupirs, ton visage se détend, on te lai
C'est un effet des maux, je préfère oublier, car par l'effet des mots, tu restes à me hanter. solitude au présent, il est long ce chemin, tu es loin maintenant, je vois partir les trains. je parle à demi-mots, qui voudrait m'écouter, je machouille mes maux pour mieux les digérer. solitude du matin, tu restes dans mon présent, je pense à no
Tu es parti un jour, t'as voulu t'exiler, pour toi, c'était trop lourd, bien trop lourd à porter. ta famille, tes amis, on a eu du chagrin, on n'a pas bien compris que tu prennes ce chemin. on aurait pu parler, si t'avais fait ce choix, on aurait pu changer ce destin malgré toi. mon pote, c'était trop lourd, tu te sentais coincé, et ainsi, san
Pas de montre au poignet, je ne peux supporter, pourtant des montres, j'en ai, j'aime bien les regarder. je préfère mon gousset, qu'il me faut remonter, en bel argent, il est, vestige du passé. pas de montre au poignet, je ne suis pas pressé, je m'fous de l'heure qu'il est, ce n'est pas compliqué. dans les grandes occasions, je ressors mon gou
Parfois, c'est difficile, de bien trouver les mots, parfois, c'est si facile, il en vient même de trop. une syllabe après l'autre, il faut bien les compter, chaque vers s'ajoute aux autres, je me mets à conter. il faut continuer, car ce concours me plaît, mes erreurs les gommer, pour un texte parfait. dans la corbeille, je mets mes idées super
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