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Une nouvelle échéance, ainsi, passe le temps, j'avoue, j'ai de la chance, je suis toujours vivant. aller à reculons, refuser de vieillir, sans précipitation, je vois les jours s'enfuir. je regarde mon passé, mes actions, mes erreurs, mes épreuves m'ont forgé, noyant toutes mes peurs. je n'ai pas de regret, c'est trop tard désormais, ma vie
J'ai refusé vos dieux, vos haines et vos couroux, politiques, religieux, je ne crois plus en vous. je reste sur ma route, quelques écarts parfois, je n'ai plus aucun doute, je vais, je crois en moi. le fil de mon histoire, je le tisse chaque jour, parfois, j'ai pu y croire, mes différents amours, lors de nouvelles rencontres, je sais rester sere
Je pourrai te conter une bien jolie histoire, facile de l'inventer et tu pourrais la croire. je pourrai te parler de ce joli endroit, espace imaginé afin que tu me crois. te dire, j'y suis allé, en vrai et pas en songes, je pourrai bien broder le plus beau des mensonges, du printemps vers l’hiver, de l'automne vers l'été, il vire du brun au v
Soyons cons jusqu'au bout, chauffons la carte bleue, je ne compte plus les sous, cela me rend heureux, c'est à moi, rien qu'à moi, il me faut entasser, en avoir plus que toi, cela me fait rêver. soyons tous fous toujours, oublions le banquier, un peu plus chaque jour, nous sommes des fous à lier. révolution high-tech, pour tous, même les bobo
Passent ainsi les chalands sur le blog de ma vie, ils s'arrêtent un instant pour lire mes poésies. certains essaient souvent de déchiffrer mes mots, établir si je mens est un de leurs gros maux. je suis parfois taquin, laissant l’ambiguïté, mon cerveau est coquin, mes textes alambiqués. mensonges ou vérités, ce n'est pas important, de me
Mireille darc est partie retrouver les plus grands, ceux que j'aimais petit au cinéma d'antan. ce beau regard mutin qui nous faisait rêver, il y en a plus d'un qu'elle pouvait faire craquer. jean lefevre, constantin et lino ventura andré pousse, ses copains dans "ne nous fachons pas", de funes et serrault, les grands du cinéma, vous partez tous
Les flammes d'un incendie, je me mets à penser,je vois mon bien détruit, souvenirs du passé,il y a bien longtemps, dans ce cas, j'y étais,il faut parfois du temps pour nettoyer nos plaies. les flammes d'un incendie, elles vous redonnent la vue,ils se disaient amis, ils ne vous connaissent plusc'est fou mais c'est ainsi, on reconnaît les siens,
Que c'était mal barré pour ce dernier concert,avec une pluie tombée comme d'un ciel gris d'hiver.oubliés les chagrins d'un mauvais temps obscènequand jules et ses vilains sont montés sur la scène. une musique qui dégage, des textes qui ont des mots,une thérèse qui s'engage à refuser ses maux.d'un ami qui s'en va, résulte une prière,par
Ce matin, c'est musique, dans mon appartement, festifs ou romantiques, j'écoute sereinement. j'ai sorti mes cd, je retrouve mes chanteurs, leurs chansons oubliées m'apportent du bonheur. guitares, accordéons, au rythme de batterie, quelques notes de violon, d'autres instruments aussi, ces auteurs francophones, peu connus pour certains, quand la
C'est un concert solo d'une jeune femme au pianoqui nous chante ses maux sur la place des moineaux.comme elle est née pour ça, inutile d'avoir peur,le vide est déjà là pour nous remplir le cœur. elle crée son univers de son début de vie,une couverture d'hiver qui réchauffe la nuit.le chant des vieux amants nous amène un sourire,l'amour de
Bistrot improvisé, ici pour faire la fête,pontoise, je suis allé écouter la gapette.si tu vois ma mémoire, elle te racontera,cet univers d'un soir qui nous échappe déjà. musiciens bien sympa, chacun bien à sa place,un peu comme des chats qui te regardent en face.la musique réunit les fans de bernadette,le bruit fait fuir la pluie, la fêt
Même s'ils faisaient les fous, ils se voulaient prudents,passage dans les clous, ils se croyaient confiants,leur amie est fauchée dans le froid et la nuit,c'est un feu rouge grillé en novembre à paris. allait-il bien trop vite, on ne m'a pas tout dit,dans son délit de fuite, il a été repris.pourquoi n'a t'il rien vu sur ce passage clouté,av
Sentimentale sensible, tu protèges tes atouts, tu restes inaccessible, tu te méfies de tout, caresser du regard ton infinie douceur, remercier le hasard de croiser ce bonheur, je t'écris et tu penses, de marbre, pouvoir rester, je laisse à ma puissance l'espoir de tout briser. essence de beauté dans ce monde cruel, nos sens exacerbés nous ren
Cette rue du silence, je ne suis pas cynique, a mon avis, je pense qu'elle est à sens unique. l'endroit où elle nous mène, odeur de l'au-delà, un émoi à l'extrême, nous n'en reviendrons pas. le fossoyeur est là pour parler de ses rêves, en attente du trépas, nous savourons la trêve. cinq cent quarante et un, triste compte de belgique, r
Je dois vous dire, mazo, que c'était très mauvais, ce soir, il faisait chaud lorsque l'enfer brûlait. c'est avec déplaisir que nous sommes restés, du meilleur jusqu'au pire, nous avons communié. un dôme pour le concert, chapelle improvisée, de l'ombre à la lumière, grande messe pour les damnés, rendez-vous près de l'oise pour voir le sa
Souvenirs de laurette, chez elle, tu es allé, un jour, ce sera chouette de tous y retourner. nous ferons une grosse fête avec tous tes copains, tes chansons à tue-tête, celles dont je me souviens. tu fus notre voisin pendant un court moment, je n'étais qu'un gamin, je n'avais pas dix ans. on voyait des ados, les bras chargés de fleurs, elles
Ce soir là, il pleuvait et il faisait très chaud, sur la scène, elle chantait, nous berçant de ses mots. un soir en acoustique, pour le chant des moineaux, l'instrument électrique n'aime pas vraiment l'eau. des mots de liberté, d'amour, de déraison, moments de vérité livrés avec passion. elle chante son univers, un ruisseau, une maison, u
J'avais souvent révé d'avoir mon 501, ego privilégié, je voulais qu'il soit mien, un rêve imaginé comme une très belle histoire, comme un conte inventé dont personne n'ose y croire. très simple comme un bonjour, la rosée d'un matin, comme une histoire d'amour, nous ne devions faire qu'un, qu'il me colle à la peau, c'était obligatoire, q
Avec le mauvais temps, on ne les voyait plus, un soleil de printemps, les voilà revenus. je les trouve bien nuisibles lorsqu'ils sont en essaim, il faut rester paisible lorsque tu en vois un. on peut toujours ràler, cela nous fait du bien, c'est une race protégée et nous n'y pouvons rien. ils ne laissent pas le choix, se moquent de mon tracas,
Je t'entendais parfois passer à la radio, j'aimais beaucoup ta voix, un timbre rauque et chaud, une chanson ou deux qu'on sifflait dans la rue, tu fais partie de ceux qu'on a toujours connu. pour supporter la pluie, pour quelque chose à dire, c'est l'aide de nos amis qui nous évite le pire. il me reste les cd et tes nombreuses chansons, pour ne
C'est si simple aujourd'hui, c'est facile d'en parler, t'es devenu l'ami après toutes ces années. cela fait bien quinze ans déjà qu'on te connait, on ne compte pas le temps dans les moments de paix. souvent, tu as semé des graines dans ton jardin, tu les as vu pousser, de tout près ou de loin, tes cultures ont parfois attiré les coquins, te
Ce soir, je suis venu parler de poésie, l'endroit est incongru et c'est très bien ainsi. un salon de coiffure, il fallait y penser, l'atelier d'écriture n'est pas à cours d'idées. izabelle et sophie sont les maitresses du jeu, pour propager l'écrit, chacun fait de son mieux. on écrit, on récite, on partage cet instant, ici, pas de limite po
Ils ont leurs pages facebook pour faire leurs promotions, se comportent comme des ploucs, refusent la discussion. toujours à sens unique, ils se croient les plus beaux, je suis un brin cynique, je leur livre mes mots. a l'heure de l'internet, pour le sens du partage, je ne les trouve pas nets, ils restent de passage. ils cliquent sur un "j'aime",
Nelson, tu étais noir et je suis blanc de peau, t'as su donner l'espoir aux membres du ghetto. avaient-ils tort ou raison de te mettre au cachot, t'as su garder raison et y mettre les mots. juste trois mois après que le mur soit tombé, vingt sept ans prisonnier, t'as été libéré. avec ton peuple noir et tes africains blancs, t'as su créer l'
Mon petit chat m'a dit, tu dois te reposer, tu dois rester ici, il faut te ménager. ne pars pas au boulot, le froid est arrivé, chez nous, tu es au chaud, reste avec moi jouer. mon petit chat m'a dit, je m'en vais me coucher, aujourd'hui, c'est lundi, la couette, je vais garder et toute la semaine, j'attendrai samedi, j'aurai bien de la peine d'
En toute simplicité, la journée était belle, quelques mot échangés tout près d'une poubelle. qui aurait pu prédire qu'un jour à montauban, qui aurait pu le dire, je suis fan maintenant. je vais à ses concerts, j'en fais de la promo, de ses mots, il se sert pour parler de nos maux. de grands moments sympa dans la rue ou sur scène, sa voix
C'est encore un bébé, petit et attachant, j'adore le regarder et je le fais souvent. il demande de l'espace, me réclame mes instants, jamais, je ne me lasse car j'adore ces moments. il lui faut du brossage pour un poil magnifique, il sait rester très sage, complicité magique. ainsi, tout doucement, nous nous apprivoisons, il faut laisser le te
Parle moi de nancy où j'allais travailler, matin, après-midi et les belles soirées. parle moi de cette ville, ses bars, ses restaurants, avec ses rues tranquilles et le monde étudiant. parle moi de ces nuits entières à faire la fête, simplement, sans souci, sans se prendre la tête. parle moi des amis uniques et éphémères, qu'on rencontra
Je fus parfois bien sot de vous croire éternels, ainsi glissent mes mots, sur nous, pauvres mortels. lorsque vous êtes partis, j'avoue que j'ai eu mal, par cette fin de vie, par cette issue fatale. a mes potes qui s'en vont, à ceux que j'ai aimés, je garde mes émotions pour ne pas oublier, je veux parler de vous, je peux même en sourire, lors
Interview cfm, en mai, j'ai découvert une musique que j'aime avant les trois concerts, un groupe plein d'énergie, uniquement féminin, c'était avec rémy, un samedi matin. même s'il pleuvait un peu, la musique était là, de la joie plein les yeux, le moment fut sympa. discussion imprévue, échange de paroles, dédicace dans la rue, c'était a
Elle rêve d'une évasion, elle veut sa liberté, quitter cette prison, elle voudrait s'en aller. il rêve de cette maison, de se faire chouchouter, l'amour à profusion, il voudrait y goûter. que se passe-t-il dehors, la voilà bien tentée, elle s'invente un décor, elle se met à rêver. que se passe-t-il dedans, il voudrait s'abriter, être ai
Même lorsque je suis loin, même après plusieurs mois, je prends toujours bien soin de revenir vers toi, m'enivrer des odeurs, des saveurs, de tes bruits, pour aviver mon cœur qui dit "je suis d'ici". de gaillac à fronton, les cotes de quercy, par vallées et par monts, j'y retrouve mes amis, j'aime ta gastronomie, plaisirs de l'estomac, ton ac
Je dévorai des yeux comme un gosse en bas age, la décapotable bleue revenue sur la plage. je me mis à songer, le temps était passé, je l'avais oublié, mes larmes avaient séché. de lointains souvenirs, le premier gros chagrin, quelques éclats de rire avec mes deux frangins, je revoyais nos jeux, j'étais alors jeunot, une décapotable bleue
Je me promène ainsi, je vais ici et là, j'adore être surpris, c'est rarement le cas. il me faut faire le tri dans ce qu'on nous propose, un air de poésie ou une chanson en prose. ma recherche assidue, ce qui touche mon émoi, hors des chemins connus, je fais mon propre choix. des textes peuvent me toucher sur une musique rebelle, une histoire i
Nous en avons parlé de ma façon d'écrire, ce qui peut m'inspirer, tout ce que j'ai à dire. ma sensibilité, mes moments de bonheur, après toutes ces années, tu les connais par coeur. ce monde en mutation qui me révolte parfois, dans mes compositions, je livre un peu de moi, parmi mes rêves, mes maux, délires et émotions, mes poèmes, jets
Elle tombe gentiment, me titille le visage, accompagnée du vent, la neige est de passage. alors, je vais rentrer, à la maison, au chaud, peu de temps au marché, je le fais presque au trot. miss météo l'a dit, hier à la télé, pas de chance aujourd'hui, le froid va s'installer. mauvais trip annoncé, elle nous l'avait prédit, le soleil s'est
Une pièce de monnaie, un ticket restaurant, donnes moi, s'il te plait, un petit peu d'argent. aujourd'hui, dans le train, je les vois faire la manche, un discours quotidien, du lundi au dimanche. du matin jusqu'au soir, nous allons écouter, toujours la même histoire, mensonges et vérités. pas d'argent sans pitié, ils racontent leurs misères,
Donner l'information et autant la cacher, tout en contradiction, cela me fait râler. je reste sur ce quai, dans le froid de l'hiver, l'abri n'est pas douillet, c'est plein de courants d'air. le train n'est pas à l'heure, aucun signe au micro, ici, par grand malheur, je ne vois pas l'info. pour bien voir le panneau, il faut changer d'endroit, mais
Je viens d'avoir l'info, je veux la partager, en mai, il fera chaud, la fête est assurée. je songe à mes vacances, là-bas, à montauban, c'est super, quand j'y pense, de vivre ces instants. découvertes 2013, concerts de qualité, là bas, pas de malaise, je peux les rencontrer. le soir, l'instant magique avec mes poésies, c'est la scène d'é
Très souvent chez macdo, tout ce coca qu'on aime, nous sommes devenus gros à l'aide des ogm. trop près de cette limite, nous risquons de tomber, nos banquiers les imitent, on va encore payer. on aime leur ressembler et copier le modèle, cette envie d'imiter ce monde qui bat de l'aile. ils ont des gros moyens, on aime leur cinéma, leurs films,
Nous n'avons que six ans et nos âmes encore pures, ce n'est plus comme avant, l'école n'est pas très sure. les tirs à l'arme réelle, on les évite de peu, certains coups sont mortels dans nos terrains de jeu. les armes sont en vente libre, il faut se protéger, c'est inscrit dans les fibres, cette envie de tirer. en cas d'opposition, mister co
Qui sera dans la rue et qui sera au chaud, dans cette nation déchue qu'ils fabriquent au plus haut. une europe égoïste, regardons nos élus, ils parlent en humanistes, fructifient leurs écus. ce monde en perdition produit trop de chimères, l'argent devient démon, la vie devient misère. il y a bien longtemps, une grande révolution, qui s'en
Mille huit cents mètres carrés, un bel appartement, comme il est bien situé, j'ai placé mon argent, a paris saint-germain, un bel arrondissement, un endroit qui convient à tout investissement. je vis très bien ma vie, ceci est important, mon public m'a permis de côtoyer les grands. certains vont me haïr, la presse va s'en charger, je vais q
Dans mon petit jardin, j'aime bien y faire un tour, même après le turbin, j'y passe tous les jours. j'ai des poireaux, des choux et des navets aussi, le temps va rester doux, je veux le croire ainsi. mes carottes ramassées, mes pommes de terre aussi, l'hiver est arrivé, la soupe bientôt servie. la terre bien reposée sera prête au printemps,
Crépuscule vers l'aurore, c'est le passage du temps, comme la vie ou la mort, le passé, le présent. les deux astres dans le ciel cadencent bien nos vies, dans une course éternelle, l'un arrive, l'autre fuit. c'est le passage du temps, le matin me réjouit, diriger mon présent, jamais, cela m'ennuie. depuis le premier jour, les secondes sont co
Je la vois assidue à lire son bouquin, ce livre, je l'ai lu dans un passé lointain. lorsque j'avais son age, je l'ai appris par cœur, j'ai oublié des pages, je ferai des erreurs. j'ai eu mon examen, fini la théorie, tout au long du chemin, l'expérience me suffit. si je devais passer à nouveau cette épreuve, je devrais repasser, la note sera
Vous faites n'importe quoi dans cette association, en refusant les lois, celles de la prévention. en bossant ce matin, toujours à se marrer, vous restez des gamins, vous êtes bien haut perchés. retenir ces poubelles, c'est con et inconscient, vous risquez la gamelle mais vous êtes insousciants. accident de travail, si l'un de vous s'envole, ce
Quelques heures à saumur, un moment de bonheur, roulant à vive allure, le train partit à l'heure. une journée bien remplie, dès très tôt le matin, rentré tard dans la nuit, c'est la joie du turbin. fatigue au rendez-vous par cet aller-retour, je suis sur les genoux, mes yeux deviennent lourds. une journée de boulot et pas pour visiter, le
Le camion est chargé, les équipements s'entassent, les valises préparés ont déjà pris leurs places. a la roche sur foron, voilà, nous sommes partis, pour une exposition qui commence vendredi. de traverser la france, déjà, je me réjouis, je sais que c'est une chance car j'aime mon pays. de jolis paysages, villages et monuments, qui ravisse
D'aplomb sur son long fil, il dirige sa vie, et cette vie difficile, c'est celle qu'il s'est choisie. pas toujours bien compris, ou alors, il fait peur, c'est dur mais c'est ainsi, c'est juste un précurseur. il prône l'innovation et admire le progrès, c'est une belle intention quand tous les gens sont prêts, mais ce n'est pas le cas, ou bien, o
Voilà, vous êtes partis, l'aventure qui commence, bosser en australie, loin de chez nous, en france. tu as quitté le nid, t'es une femme maintenant, tu reviendras grandie, on va t'attendre un an. on a parlé voyage depuis que tu es née, l'horizon en partage, nous te l'avons donné. c'est maintenant ton tour de partir loin d'ici, de regarder le
Je me répète sans cesse, vous voulez tous y croire, je ressasse mes promesses, toujours les mêmes histoires. j'en ai pris pour cinq ans, merci, je continue, même à soixante sept ans, j'ai été re-élu, les jeunes sont motivés, je n'ai aucune faiblesse, j'ai su les écarter par mon carnet d'adresses. dans ma circonscription , c'est moi qui fa
Aux rascasses qui s'enlisent si vénéneusement, souffrez que je vous lise ces vers que je ressens. ----------- ----- -------- ----- ----------- tu nous traites de cons, certains vont t'applaudir, j'ai compris la leçon, je voulais te le dire. certains de tes couplets me rappellent renaud, ce monde qu'il a refait en devenant poivrot. les mots, c'es
Sais-tu si aujourd'hui, nous aurons du beau temps, si nous aurons la pluie, le soleil ou du vent. sais-tu si aujourd'hui, aux infos du jt, aucune tragédie ne sera commentée. sais-tu si aujourd'hui, tu seras écouté, si tu seras compris sans être taquiné. sais-tu si aujourd'hui, tu seras contacté par tes potes, tes amis ou ceux que t'as aimés
Je me réveille la nuit, un hémistiche en bouche, et parfois, c'est ainsi que, le public, je touche. ma plume est mon amie, je taquine mon cerveau, j'adore, en poésie, aligner quelques mots. parfois, suis prolifique, parfois, j'ai des jours sans, j'attends l'instant magique, même après le 400. d'avoir l'inspiration, ce n'est pas évident, quell
En mai, c'est mon cadeau, je ne peux l'ignorer, on commence par le do, ensuite, c'est le re, ça rassemble les amis parfois sur le sofa, on monte vers le mi, ensuite, c'est le fa. pas besoin de boussole, en mai, je serai là, parfois à même le sol, ici ou même la. debout ou bien assis, ce sera mon cadeau, on atteindra le si pour finir par le do.
Son squat, il a quitté, il dort dans un vrai lit, ses rats, il a gardé, les mettant à l'abri. c'est un joueur de flute au pouvoir infini, il va reprendre la lutte avec tous ses amis. je ne peux dévoiler tout ce qu'il a prévu, vous allez regretter, vous voilà prévenus. un plan machiavélique qu'il est sûr de gagner sous son air angélique, i
Zéro but encaissé, pour elles, c'était l'enjeu, combien sont elles payées, je pense que c'est très peu. je ne regarde plus les bleus sur le terrain, le foot, je n'en peux plus, l'argent les rend crétins. voilà que maintenant, je me prends bien au jeu, je dis, c'est surprenant, ce match me rend heureux. ces femmes sur le terrain, fragiles et
Dans le ciel, des avions, leurs vols nous font rêver, grâce à l'innovation de personnes ignorées. dans des bureaux d'études et dans des ateliers, certaines personnes éludent le sens de gravité. on en parle si peu d'eux, ces as de l'aviation, je vous parle de ceux qui sont près de l'avion. j'ai cotoyé certains, en blouse ou en kaki, quelque
La cité de la voile, allez y faire un tour, la mer et les étoiles, ça mérite le détour. au port de lorient, on ne peut le rater, c'est un beau bâtiment, béton, verre et acier. il est dédicacé à eric tabarly, notez, c'est le musée de sa biographie. la mer et ses marins, des films et des images, ils en parlent très bien, c'est un très be