Communautés
Articles récents de cette communauté
Il y a ce soir dans mon cœur comme un parfum de fleurs fanées qui s’exhale après des années. effluve aujourd’hui sans douleur des amours passés cette odeur, fragrances douces surannées, expansion des miscellanées qu'écrivent mes songes en chœur. vous voilà toutes réunies, bouquet ensorceleur d’amies, que mon cœur ne sut conquérir
La méditerranée est-elle encor « mare nostrum » quand si souvent on y laisse périr les hommes, les femmes et les enfants que jettent sur les flots les guerres, la misère, la sécheresse et ses maux ? au-dessus la lune erre éclairant ce tombeau. au matin, un soleil plein d’oubli tel un moineau ouvre son œil d’or sur ce cimetière marin.
Renouveau : les bourgeons. tout l’hiver ils ont attendu patiemment. la neige, les chandelles de glace les ont endormis sur leur support serrés les uns contre les autres ou bien recroquevillés sur eux-mêmes. ils se sont préservés du frimas. puis mars est arrivé ! mars et ses giboulées. mais mars et son soleil et sa sève généreuse. plus d
La mer vous vient comme un appel et les vagues, langues qui vous aiment et vous lèchent pleines de sel et reviennent, doux et beaux lemmes mêlant les mots en archipel que seul les étés pour nous sèment sur la plage écoutez sa chanson elle vous vient comme un appel ne résistez pas à l’hameçon et plongez dans l’oubli du ciel en devenant
Je viens de recevoir le palmarès du concours de poésie "los trobadores" 2022-2023 organisé par les lettres et arts septimaniens. heureuse surprise je suis primé. eh! oui. lettres & arts septimaniens 6 rue pierre et jean benet 11100 narbonne grand prix de la ville de narbonne (offert par la municipalité) palmarès du concours de poésie « les
Écoutons la parole des arbres et leurs milliers de langues qui tremblent. n’entendez vous pas tous ces mots qui s’échangent et s’envolent dans le vent ? sont ils dit seulement pour le ciel, l’air et les oiseaux qui nichent dans le bois ? n’avons-nous pas des oreilles pour entendre ce qu’ils se racontent à propos de nous ? nous qui gr
Calme sous un ciel sombre le canal suit son cours sur le chemin point d'ombre pour égayer le jour. une fine bruine tombe les roseaux s'agitent au vent et bruissent comme des rhombes et le chien s'en va devant, indifférent à la pluie qui mouille son dos luisant, humant partout, plein de vie de souplesse et d’allant. il m’attend quand derrièr
Son corps entier se tendait vers le monde et n’en perdait aucun détail aucune ombre sur le mur aucun geste de ta main aucun éclat de ton regard elle aimait comme on aime avec un cœur de chat quand dans la cuisine tu tardais à la considérer elle envoyait la patte sur ton bras un coup et puis un autre avec des dents de lait et toi pour l’éc
Tu ne connais pas ? et, pourtant, ce mot vient du verbe paradire, construit selon toutes les règles de la formation du langage . les tentatives de nous voler nos têtes ne vont pas jusqu’à faire oublier les bases objectives de la vie. dont le langage appartient à tous et toutes et tous peuvent participer à... l’améliorer . la créativité
Les algorithmes doivent se voir limités. ils ne seront jamais des alter egos puisqu’aux déjà aux mains cupides d’égos, egos enfermés dans des préjugés peu amicaux. les restreindre puisqu’ils ne seront jamais alter algos. par exemple (mais il en a beaucoup d’autres), les limiter à certaines étapes de collectes d’infos - mais déci
Elle est là dans la rue, seule, entourée de gens qui parlent ente eux et rient près d’un bar sans la voir. c’est paris, l’hiver et le froid ; en désespoir, sa maigre retraite épuisée, privée d’argent, en cette fin de mois et ce début de soir, elle est descendue là quémander aux passants quelques aumônes qui rempliront son tiroir
Taureau lors d'une corrida - photo de manuel gonzales olachea y franco wikipédia
en un éclaboussement de sang sur l'arène polluant le sable et l'azur le noir taureau meurt mais les bravos ne vont pas à sa dernière haleine, seul le torero jouit de la gloire, sa sœur. c’est pour lui seul que sera coupée l’oreille de la pauvre bête qu’il
Ce poème sera dans la nouvelle anthologie 2024 du prix arthur rimbaud - poésies "point du jour" auquel j'ai de nouveau participé. l'anthologie sera mise en vente au prix de 30 € frais d'envoi compris, le chèque est à établir à l'ordre de "poésie du point du jour" et à envoyer à l'adresse suivante "poésie du point du jour - 17 allée de
Voici quelques triolets (mes premiers). le triolet est un poème en huit vers généralement octosyllabes avec des rimes abaaabab. le premier vers est répété en 4 et 7 et le 2 en 8. il s'agit d'une poésie légère qui convient à la satire et à l'expression de sentiments gracieux. ö mon amour, ma toute belle c’est l’hiver, allons sous les
Dans le ciel soudain clair un sourire tout pâle et effilé se montre à ce soleil d’hiver qu’attire à l’horizon l’ édredon des nuages. c’est la lune qui vient déjà bercer son sommeil. c’est elle maintenant en reine de la nuit qui veillera dans le ciel. et mon cœur en marchant s’émeut de voir bientôt s’ouvrir l’œil des ét
Marianne marianne c'est la nuit la plus longue et la nuit la plus sombre la nuit des sans-abri qui veillent dans nos ombres enfermés dans les rues qui n'ont pas de fenêtre guetteurs sans illusion du matin qui va naître c'est la nuit de l'hiver la nuit de bethléem la nuit de l'homme nu perdu dans les couloirs a qui nul ne murmure à l'oreille un
A tous ceux qui me suivent sur ce blog à ceux ou celles qui ne font que passer, à ceux qui me suivent sur fb, ou sur linkedin je souhaite une bon réveillon et un joyeux noël.
Sur le canal du midi, ohé ! ohé ! du baladin ne manquait que la chanson mais le voilà qui vient le chant enroué de l’automne et des vents prenant leurs moissons. les feuilles craquent sous les roues des vélos qui sur la piste roulent vers les écluses, mêlant au vent leurs étranges trémolos et dans l’eau verte tranquillement infusent. l
Des hommes que la mort recouvre, hélas, de braises dans les plaines d’ukraine avides de blés mûrs que les bombes secouent en détruisant les murs, il faut nous souvenir. dispersés dans les glaises, les retrouvera-t-on sans avoir de malaises dans les décombres noirs de ces jours sans futurs sauf la tristesse et la mort aux souffles impurs, la
La saison lentement s’avance vers l’hiver. des arbres dépouillés de leurs feuilles, tristes, griffent l’air et le ciel où les feux alchimistes d’un pâle et gris soleil les livrent au froid amer. d’autres à côté d’eux, tout couronnés de vert et d’or, marbrés de pourpres osent vivre et résistent au vents voulant scalper leurs
Prix arthur rimbaud 2022 : la cérémonie de remise des prix (suite)
Mes compagnons de table : depuis le premier plan dans le sens des aiguilles d'une montre : laurent , stéphane, morgane, son beau-frère et sa sœur, thierry, enrika, nadège et alice avec mes excuses pour mon dérapage incontrôlé lors du scan du poème de enrika. voilà pour les poètes qui étaient attablés avec moi. encore que étant arrivé
Un enfant joue un presque rien d'une extrême importance blottit dans le creux de ses mains une fortune d'existence pour son âme d'apprenti un oiseau chante petit bonheur matutinal ou richesse retardataire sur des fleurs évanescentes le regard de l'enfant s'incline sur l'évanouissement subtil du jour enveloppe intemporelle qui l'habille d'une be
Cette année contrairement aux années précédentes, la cérémonie avait lieu au cercle des armées, 8 place saint augustin dans le 8ème arrondissement de paris. toujours organisée par le lions club international, autre nouveauté elle avait lieu à midi et non en soirée. les salons du 1er étage où la cérémonie se déroulait. l'autre côt
La mort est un toréador brodé d'argent et tissé d'or dans son costume de folklore et son coquet petit gilet trop ajusté le travesti joue du chiffon le corps cambré en flamenco moulé de soie et de nylon sur son derrière de mignon et ses roustons il sait bien que le fier taureau avec sa corne et ses sabots son odeur de marais sauvage est plus
Pourquoi écrire ? mais pourquoi, jusqu’aux pâles lueurs de la nuit, m’endetter à écrire au milieu de l’ennui ? mais pourquoi, seul face au silence d’un ordi, dire encore et toujours ce qui en moi sourit ? il y a dans ma tête un chemin qui s’éclaire quand au bout de mes doigts se déchaînent mes vers. ils s’en vont en chantant com
La matinée . le plain-chant des hautes terres. jacques viallebesset
L'arbre penché. technique mixte sur toile . 100 x 81 claude legrand
à chantal et claude dans les couleurs douces d'une matinée paisible avec la brise bleue qui rafraîchit l'air pur on s'enfonce dans le mystère de la prairie le coeur léger tapissé de narcisses blancs j'habite les mêmes contrées que quelques-uns qui portent en eux le secret
La pluie avait cessé de battre la ville, dans le ciel l’océan des nuages encerclait des plages d’or pâle, tournant autour d’une île, éclaircie aux couleurs éteintes qui gagnait peu à peu, élargie par un vent plus tranquille et plus doux dans le jour qui, sans entrain, mourrait ; j’avançais vers paris ; l’ombre, rendu mobile par l
Ils sont partis dans les ruisseaux origami petits bateaux les mots d'amour et les poèmes du temps où je disais je t'aime tu ne les as pas repêchés tu ne les as pas dépliés ils ont glissé dans les égouts et se sont perdus dans la boue si j'avais vu tes yeux levés vers le ciel et vers les oiseaux c'est sur des ailes de papier que je t'aurais
Il y a ceux qui n'osent pas et d'autres qui vont plus loin comme ces reines et ces rois ne stoppant en chemin il y a ceux qui s'arrêtent et d'autres qui cherchent une issue comme ces chiens et ces chats s'évadant dans les rues il y a ceux comptant les heures et d'autres déjà dans les étoiles comme ces frères et ces sœurs qui vivent dieu sans
Je passe vous faire un petit coucou. j'ai passé 70 ans en bordure de loire aussi je ne pouvais qu'écrire quelques petits poèmes ou proses sur ce beau fleuve bien malmené, comme partout, par la sécheresse.
naissance du fleuve roi le ciel et la terre firent accord un jour, avec l’aide des trois dieux, zeus et jupiter, et le gaulois teutatès,
Toussaint je me blottis dans la douceur entre tes seins le temps d'oublier la douleur de la toussaint je ne veux pas plonger les yeux dans ceux des morts ni écouter grincer l'essieu d'un vieux remords je ne veux pas laisser leurs mains de feuilles mortes venir dans le petit matin toucher ma porte j'ai si mal quand je pense à eux parfois j'espère
Jour des morts un crachin léger sur les yeux un ruban gris dans les cheveux un souvenir qui tremble un peu dans la fumée d'après le feu c'est novembre la feuille attachée aux semelles l'oiseau effacé dans le ciel la voix qui divague et s'emmêle aux voix perdues qui nous appellent c'est novembre un brouillard taché de lumière un jardin de ma
L'automne coiffé de bleu monte à l'assaut de paris oh ! ce n’est pas le grand jeu le vert n’y est pas tari, le jaune s’invite un peu. çà et là le roux se pointe aux bords des feuilles, discret et silencieux, il s’accointe avec les bruns en secret. lors les feuilles se déjointent des branches, tourbillonnant dans l’air doux, tombant
Le ciel est nu, drap qui s’azure. aucun nuage pour ternir cet automne plein de désirs. ah ! si pourtant, cette argenture sortant des hautes cheminées que le vent gomme lestement, que l’azur boit rapidement ; juste une petite trainée pour animer la toile bleue du dernier matin de septembre. et le soleil décore d’ambre les murs de ma « rou
Les feux de l'automne : un poème de robert louis stevenson, en anglais et en français
23 septembre 2022 : premier jour de l'automne. de par le monde, les poètes ont, de tout temps, utilisé la vision flamboyante que leur offre la nature à cette époque pour exacerber leur âme sensible. "l’automne, l’automne merveilleux, mêlait son or et sa pourpre aux dernières verdures restées vives, comme si des gouttes de soleil fondu a
Je passe en vélo sur une branche une buse… déjà envolée. ******* dans le bois, les cris de la femelle épervier. toujours invisible. ******* quel est cet oiseau que je vois soudain s’enfuir ? caille ou perdrix ? ******* balade tranquille. soudain dans les maïs verts un lièvre détale. ******* ombre vespérale sur les marais de la somme...
J'ai de nouveau un poème qui figurera dans l'anthologie arthur rimbaud mais aucun au palmarès. ce poème concourait dans la catégorie b - sonnet. délice sens-tu, qu'en ce minuit où s’ouvre l’infini où tu fermes les yeux dans la chambre abolie, mon âme rêve encore à la nacre polie et rosée, ta peau dont mon désir s’assouvit ? et sur
Dans la nuit épandue sur la loire la pleine lune agite un rêve qui tout doucement tremble et s’élève vers les nuées depuis les eaux noires. de bleu et d’or le pont de gien chante. ce sont les mouettes qui crient et piaillent, appels des femelles aux épousailles, envols brusques, danses caressantes. tant d’ailes blanches s’enfuient et
Il disait ... tu es quelqu'un de bien, on peut créer des liens. tu es un vrai trésor, je ferai des efforts. je veux te mériter, je veux m'y employer. il disait ... pour moi tu n'es pas rien, je serai ton soutien. tu es l'hellébore que j'ai fait éclore, tu écris des sonnets, moi, de simples billets. puis il a dit ... tu me rabaisses pour prend
Dans le fragile aujourd’hui goûter à la paix sous l’ombre douce des arbres. ******* sur le canapé, je lis, mes yeux s’y fatiguent et le rêve arrive. moment tendre et doux quand l’âme s’envole hors du corps éphémère. tristesse du corps qui s’inquiète de l’absente lui, qu’attend la mort. ******* lecture qui donne mille vies e
La guerre ! encore la guerre mais plus près plus présente, quand bien même on en cherche l’oubli ; l’oubli vaporeux et serf qui remet à demain où l’on prendra un coup dans le derche. oh ! oui, nous nous baignons joyeux dans la mer, nous bronzons sur les plages, la guerre au loin tonnent sur d’autres plages mais comment faire pour ne pa
J’ai souvent fait ce rêve étonnant et furieux je suis sur mon vélo, la campagne est tranquille, le ciel est serein, les oiseaux amoureux l’air est fort doux sous une brise subtile ; ma balade suit gentiment les contours peu sinueux de la route ; l’horizon loin, la plaine vide laissent mes pensées planer et je me sens heureux, le terrain e
La tour e iffel dame aux jambes qui errent, immobiles et fières, j’écoute sous ta robe ces langues qu’on dérobe aux avions sidérés par ton pic insensé. ces bijoux de babel à tes pieds m'ensorcellent puis ta langue tirée jadis aux allemands, aux amis désormais, m’élève sans un vent. quand ton corps se découvre, danseuse aux doux ac
Belle balade coutumière sous le ciel tout ensoleillé de paris, te voilà arrêtée dans ce quatorzième magique et tu me laisses prendre le frais en terrasse rue daguerre. c’est que tu m’avais donné soif et ouvert un peu l’appétit et fatigué les jambes aussi. je suis assis caché dans un coin, la soirée pétille dans le ciel bleu, un jo
Les mots d'hiver a partir de dix mots... : reveche idealisation memoire infantile verre imminent solitude livre loisir simplicite qu’attendre de l’hiver, cette saison revêche ? chaque être s’y replie dans la simplicité et l’arbre prend la couleur de la pie-grièche. dans cette solitude où l’eau va se glacer et devenir du verre ou de l
Voici tous mes livres. 📚 💚 💚 💚 💚 💚 les oeuvres publiés d'evelyne patricia lokrou. merci. 🎄 * pour découvrir les livres, s'il vous plaît, cliquez sur chacun des liens; vous trouverez aussi des extraits (parfois) : - petite poussière, publié en 2014, aux éditions edilivre, est un recueil de nouvelles. c'est un recueil de di
Voici un petit exercice d’écriture que j’ai trouvé sur le blog de hayat ait-boujounoui (https://hayat-ait-boujounoui.over-blog.com) l'enjeu était d'écrire un poème ou une micronouvelle avec dix mots imposés... les voici : malaise aveugle instant rieuse réverbère vague route fenêtre surface bouteille . je m’y suis aussitôt mis sur la
La chaleur du violon nous emporte en été quelle félicité sourd de cette saison ! c’est une eau frémissante qui dévale rapide les montagnes, avide de vivre ; jeune orante des bois et des prairies, émoussant les rochers, les faisant résonner par tant de chatteries qu’ils en ont le désir, cette caresse aimante, onde rafraichissante qui le
C’est un amour qui dormait oublié dans une boite pleine de poussières. pourquoi l’ai-je sorti ce prisonnier de sa prison ? passion furtive et chère, innocente et contrariée qui a depuis nourri les autres, offrant, telle mégère, le vieux poison faussement endormi de ses rêves tout pareil aux éphémères qui volent le jour et meurent le s
Petit poème du soir endormissement et le chant des grillons chiffonne l’été comme un édredon dans les blés. au loin sur la colline sourit un château d’eau ou en ruines aux vieux coteaux. les nuages en silence dans leurs lits au carré, éperdus de patience, dessinent des fées. j’entends siffler un oiseau ou un train quelque part dans l
Photo découverte dans les locaux du réseau social panodyssey
je ne suis qu'un poète je ne suis qu’un poète qui soupire à tue-tête : les rimes et les mots sont mes eldorados. je ne suis qu’un poète qui traque dans sa tête les trésors oubliés des premières années. je ne suis qu’un poète pas toujours à la fête, mais quand chante
Petit poème du soir, de circonstances : canicule la source est tarie. le pré ne rit plus. bien qu’il soit midi, aucun vent des nues. les arbres s’inclinent au passage indu des oiseaux infirmes lourds comme une grue. le soleil s’ennuie à brûler ces corps, à sécher ces puits mais il frappe encore. on dirait l’enfant, fidèle tyran, qui
Ce soir une lune pleine et impavide luit dans le ciel nocturne où tonnent et resplendissent les feux d’artifice. vivent leurs étoiles et leurs bruits. chantons, dansons pour que toutes guerres finissent. loin d’ici, loin d’ivry, hélas, tonnent en cette nuit dans le ciel ukrainien des bombes non factices, les bruits sont très horribles qua
Dans la lumière orangée du crépuscule sur la pointe de pern de l’île de ouessant la mer frémit sous la brise qui hulule légère dans les parfums évanescents ; des rochers et d’énormes galets s’animent, monstres marins sortant la tête de l’eau, prenant l’air dans la douceur du soir, leur échine dressée, attendant quelque proie ;
Quatre coquelicots caquettent sur un lac de figues opaque utopique… sur le lac des glaces glissent quatre apostilles d’opéra comique... rythmique facile… quelque soit la quête des quatre coquelicots sur le lac des cygnes entre tutti et tutu entre figue et fugue la cantate quadrille becfigue les coquelicots ! anne-marie dutilh selon le code
J'ai reçu le 3ème prix exæquo à ce concours sur le thème imposé "poèmes nés de rencontres par boîtes aux livres". et maintenant voici le poème primé : boîtes aux livres, étranges objets qu’on trouve dan les jardins, les parcs et aux détours des rues, le mystère voile la première apparue. louvre littéraire et sauvage comme louve e
J'avais envoyé ce poème au concours poétika 2022. il n'a pas obtenu de prix mais il a été remarqué par le jury et sera éventuellement mis en ligne sur leur site. jacobée commune ou séneçon de jacob j'ai l'air d'un essaim de soleils ne vous fiez pas à ma lumière ni à mon cœur couleur du miel car vraiment je suis délétère et ma beaut
Cela fait des kilomètres que nous roulons... ton appel ce matin me fut une surprise mais c’était bien de toi partir sur les routes grises et filer vers la mer avec un petit baluchon presque vide. nous parlons nous parlons nous parlons de note vie à chacun de notre vie à tous deux et le ciel défile passant du gris au bleu au-dessus du barrage
No move aucune jalousie plus aucune exigence, les misérables fous. « sur fond bleu un jour, je serai parasite, roux, exsangue.» sur fond blanc. d ans mon uniforme de marin aux épaulettes d’or, on s’aimait plus simplement. les jours heureux. il n’y ait rien que vous aimez, admirez, que vous aimiez ? le pauvre a trouvé sa raison sous ordon
Fermier chez le dentiste, par johann liss, 1616-1617, the york project, wikipédia cc. °°°
le dentiste et l'ami daniel confland point n'est besoin, mon bon ami de pythonisses aller quérir pour vaticiner à l'envi sur l'air de ton proche avenir. le temps s'annonce, m'a-t-on dit où de nouveau, la mine pâle tu vas subir les ordalies d'une chirur