Pas encore inscrit ? Creez un Overblog!

Créer mon blog
Communautés
POESIE

Communauté d'échange, de partage et de publication de textes poétiques, destinée aux auteurs et à tous les amateurs de Poésie ou de Prose poétique

Gérée par Aralf

213 blogs

2485 posts

09/04/2015

Rejoindre

Articles récents de cette communauté

Projets d’avenirs

Projets d’avenirs

... tu me parles d’enfant, c’est chose naturelle. / es-tu certain pourtant ? mais non, point de querelle ! ... un lien ténu se rompt lorsque l’enfant, grandi,quitte sa parenté pour déserter le nid.car, certes, tout commence, hors du regard qui jugeet soupèse, condamne, acquiesce ou bien préjuge. c’est une intimité qui, dès lors, se
Fables et fabulistes : Louis-Maximilien Duru - « Le Manant et le Diamant »

Fables et fabulistes : louis-maximilien duru - « le manant et le diamant »

Compliment de deux petits enfants à leur curé, le jour de sa fête. chez un orfèvre, un jour, certain manant admirait un diamant. jamais rien d’aussi beau n’avait frappé sa vue. il le prend, le regarde, en tous sens le remue, et ne peut plus en détourner les yeux. le diamant lui dit : — cet éclat merveilleux, je le dois au lapidaire ; t
Article de l'EXPRESS . Jacques Viallebessset

Article de l'express . jacques viallebessset

Paru dans l'express - semaine du 9 au 15 aout 2017 lire viallebesset poète auvergnat, né en 1949 dans un village de la limagne, fasciné par l'oeuvre de jean giono, jacques viallebesset compose recueil après recueil une ode à la langue et à ses pouvoirs mystérieux. accueillie dans la collection " les poètes trop effacés", son oeuvre, au car
Article de l'EXPRESS . Jacques Viallebessset

Article de l'express . jacques viallebessset

Paru dans l'express - semaine du 9 au 15 aout 2017 lire viallebesset poète auvergnat, né en 1949 dans un village de la limagne, fasciné par l'oeuvre de jean giono, jacques viallebesset compose recueil après recueil une ode à la langue et à ses pouvoirs mystérieux. accueillie dans la collection " les poètes trop effacés", son oeuvre, au car
Arkel - où la terre finit et où la mer commence 

Arkel - où la terre finit et où la mer commence 

...c'était un soiroù les enfants dansaient nussur la plageles rochers étaient noirsles chiens grattaient le sableà la recherche d'os de dinosaures je construisais le poèmeen forme de vaguestes vaguesquand tu lâchais ton corpsà mes mainstu jouissaislà où l'amour commenceet où finissentnos cicatrices c'était un soir où les rideaux ne cach
Le palanquin

Le palanquin

Katsushika hokusai, (1760-1849), hodogaya sur la route de tokaido, détail mes reins, ce soir, tassés d’une bonne fatigue, alourdies du labeur, mes cuisses sont nouées et puis mes yeux cavés, humbles face travail, dans la fierté du faire en l’effort consenti. car pourvu que l’on crée on est bon apprenti. la besogne est corvée quand elle
Les palinodies

Les palinodies

... l’âge est le vain miroir de notre déchéance / et rien ne sauvera notre palinodie ... qu’est ce que je serai, demain, dans l’infini,sinon qu’un peu de cendre ou bien un peu d’esprit ?dissout, mort, consumé, particules peut-être,errant dans le hasard dans l’espoir du renaître ? mais sur la terre enfin, je serai ce décombreet qu
 Fable : la puce et le chien -  Virginie

fable : la puce et le chien - virginie

Quand une puce rencontre une autre puceelles parlent de leur quotidien, des coutumes et des us« chère amie, que vous avez là un très beau chien !merci ma mie, mon hôte ne me coûte que trois fois rien !quelle chance d’avoir trouvé un canicheje galère un peu sur cette pénichemon labrador dévore des tonnes de croquettespour mon budget c’
Poètes des profondeurs : Josy Blutaud

Poètes des profondeurs : josy blutaud

J 'ai souvent le cœur entre les motsentre les mots de mon stylo plumearrondis comme les bras ronds d 'une femmecomme les rondeurs d'une larme oui, les mots sont chauds comme une flammeriches comme les étoiles dans le cielils abreuvent ma soifmes peines et mes tourments mes vallées d 'illusionsles mouvements d'irréelsla soif de direla présence
En notre andain

En notre andain

... qu’importent les chagrins, trop sûrs, / le soleil brille en notre andain ... même les bruits, même les gaz,les fumées, les vapeurs puantes,les moteurs en leur grondement,ne tuent la grâce du printemps. le matin clair, frais et content,grésille de trilles, gaiement,les laideurs paraissent charmanteset le cœur galope, pégase. car l’es
Fables et fabulistes : Jean-Pierre Claris de Florian

Fables et fabulistes : jean-pierre claris de florian

La vérité, toute nue, sortit un jour de son puits. ses attraits par le temps étaient un peu détruits ; jeune et vieux fuyaient à sa vue. la pauvre vérité restait là morfondue, sans trouver un asile où pouvoir habiter. à ses yeux vient se présenter la fable, richement vêtue, portant plumes et diamants, la plupart faux, mais très brillan
Prose pour un lézard

Prose pour un lézard

Démarrer par la noce la note juste sonne et trébuche ici c’est la poubelle dans le métro, le pire, l’empire en minuscule, tout mon royaume dans une poubelle anonyme dans les couloirs d’un métro souterrain sous la surface étendre sa toile, creuse son trou, de galerie en art de rue dresser un plan comme on fera un constat à l’amiable fa
Arkel " Les parures du souvenir "- Recueil

Arkel " les parures du souvenir "- recueil

Je te donne l'anneau où se troublent nos vies demain sera dedans tu porteras tes plus beaux bijoux nue je te marierai sans dieu ni diable je baiserai ta main pour scellement du serment et nous repartirons là où finit la terre et où commence la mer je te le jure
Décombres

Décombres

L'amphithéâtre d'el jem, ou colisée de thysdrus, construit vers le premier tiers du iiie siècle décombres ! tout se ruine en le rustre aveniret, pour un parthénon, combien sont les palaisdémembrés aujourd’hui, poussières sur l’oubli ?combien de monuments, vastes architectures, dans la brume ont fondu, hier, leurs gloires futures ?colon
Cahiers du sens 2018. Jacques Viallebesset

Cahiers du sens 2018. jacques viallebesset

Www.lenouvelathanor.com trois poèmes dans la compagnie de guy allix, francis combes, catherine jarrett, isabelle lagny, patricia laranco, gerard mottet, jean-luc maxence, marie-claude san juan, bruno thomas, danny-marc, maurice cury, gabriel zimmermann, bernard perroy , etienne orsini , bruno thomas et de nombreux autres ... prix:20 e disponible
Le miroir

Le miroir

Je ne vois plus qu'une étrangèreune femme bien singulière...hier, tu irradiais d'une belle manière,diffusant une si jolie lumière... toi, le beau miroir enchanteur devenu miroir de ma douleur si tu étais miroir de ton miroirque souhaiterais-tu y voir ? celui que tu as toujours connu, ton ami, ou un parfait inconnu ? tu ne lis pas dans les pen
Au mensonge hagard

Au mensonge hagard

... car leur plus cher désir, c’est d’être le patron, / pour intimer silence à la contestation ... c’est une grande bringue emplie de suffisance,de ceux qui parlent fort et donnent des leçons :il est de ces humains comme contrefaçons,qui jettent l’anathème et vantent le bourreau. ces hébétés toujours, se tiennent à carreau,ils ont
Le vautour

Le vautour

Bonsoir ! savez-vous ce qu’on dit ? « quand le temps est gris, les vautours sont de sortie », voici ce qui me vient à l’esprit, pour qualifier cet amour aigri, que je voue à mon banquier… vautour, c’est un doux mot pour te qualifier, alors que tu t’es tapi dans l’ombre, dans l’attente de jours plus sombres, où tu pourrais facilem
Marché de la poésie 2018 . Jacques Viallebesset

Marché de la poésie 2018 . jacques viallebesset

Marché de la poésie paris mes recueils le pollen des jours ce qui est épars anthologie sont en vente au stand le nouvel athanor sous l'étoile de giono au stand alain gorius-al manar je déambulerai au marché du vendredi 8 à 16 h au samedi 9 à 15 h au plaisir de vous rencontrer ...
Fables et fabulistes : Charles Porphyre Alexandre Desains, (1789- 1862)

Fables et fabulistes : charles porphyre alexandre desains, (1789- 1862)

Prends garde, disait un œillet au lys, cette candide plante, une limace repoussante vient de commencer son trajet au pied de ta tige élégante. ami, je suis reconnaissant de ton obligeante parole, dit le lys, mais avant l’instant où cet animal dégoûtant rampera jusqu’à ma corolle, le jardinier, mon protecteur, qui non loin de nous fait sa
Arkel Sylvain - Poésie

Arkel sylvain - poésie

À force de te tairetu vas certainement t'abimer le cœur j'entends ton calvairecomme la croixà l'entrée de ton villagel'horreur christique qui résume des vies l'humanité reste dans ton œil fermé sert-en !et moi qui ne fais que répéter tes fins de phrases handicapé du vocabulairepardon !je suis inculte de ta légendeet j'ai laissé mes for
Cabalette

Cabalette

... je chante, informatique, une autre cabalette ... une page remplie de lignes d’écriture,comme jadis, enfant, de pâté en rature,je bleuissais, à l’aide du sergent major,la page des cahiers où je m’emploie encor. certes, l’ordinateur remplace le plumier,certes, mes doigts confus s’activent au clavier,certes, virtuel écho de la muse
Poètes des profondeurs : Pascal Depresle

Poètes des profondeurs : pascal depresle

Vous reprendrez bien des allumettes ?allez-y, c’est pour la vie,pour allumer en nous ce qu’il reste d’enfance,pour allumer le feu des corps,les animer de cette danse qu’on juge obscènequand on n’est qu’en strapontin,spectateur de ceux qui s’aiment physiquement,laids et tordus par leur désir mutuel. vous reprendrez bien des allumette
Arkel Sylvain " Les parures du souvenir " - Recueil

Arkel sylvain " les parures du souvenir " - recueil

Enfin enfin, qu'est ce que ça veut dire ? quitter paris quitter tout et aller vers toi quitter tout quitter mes rues les crachats océans et ces escaliers menteurs je voudrais partir et laisser ma rumeur sur tes reins je voudrais voir nous deux sur la marée voyage dans cet alcool que je prends tous les soirs quitter tout retrouver mon chien gueul
Portable

Portable

Antique sans fil, et donc portable, par voie de conséquence ;)) ... si j’ trouv’ le temps j ’t’appelle, attends mon coup de filà tout à l’heur’, bientôt, écoute y faut que j’filedemain tu seras là ? alors on en discute ;ca roule on fait comm’ ça, tu dis et j’exécute ! salut mon vieux ca va ? y faudrait qu’on se voit,eco
Petite mère

Petite mère

Tag en hommage à toutes les mamans de la terre... petite mère cette journée t'est consacrée toi qui donnes ton amour toute l'année...ton amour est un amour de chaque jour.un amour éternel, un amour pour toujours. tu n'as jamais programmé ta tendresse.quantifié tes câlins et tes caresses.patiente, à l'écoute de tes enfantsqu'ils soient tr
Redondance

Redondance

... et, dans ma redondance arpentant vos discours, / je cherche et je dévoie une parole neuve ... je ne veux plus sentir ce poids sur mon épaule, ce carcan qui m’oppresse et m’enchaîne à vos jours, je ne suis celui-là, porteur de vérité, qui cueille en vos émois la fleur où l’on s’enivre. je ne suis que celui qui cherche dans le li
Les petits bonheurs...

Les petits bonheurs...

Parlez-moi des roses,des roses et du printempsde toutes ces belles chosesqui font la beauté d'un moment. parlez-moi de l'oiseaubercé doucement par le ventposé sur un roseauou chantant au bord de l'étang parlez-moi des perles de roséedéposées comme diamantssur les fragiles orchidées que la brise assèche en passant... parlez-moi de toutes ce
Melancholia

Melancholia

... ah je voudrai chanter ... / la fleur, l’été le jour et la folle amourette ... je voulais vous tenir, environné des grâces, un discours pavoisé des charmes élégiaques et, vain poète obscur au front toujours penché tenter, pour une fois, de vous faire sourire. hélas, maussade muse, qu’est-ce, pince-sans-rire ? un vers malingre, ét
Âme Damnée

Âme damnée

Qu’est-ce que tu cherches ?le savoir ? la connaissance ?le pouvoir ? la reconnaissance ?tu veux que le monde te voit ?qu’il soit à toi ?tu veux qu’on t’entende ? qu’on t’écoute ?nous surprendre ? qu'on te redoute ?tu jalouses le trident de neptune ?tu cherches la fortune ?la renommée ?nous impressionner ?être centenaire ?l’irréal
Arkel Sylvain - " Les parures du souvenir " - recueil

Arkel sylvain - " les parures du souvenir " - recueil

Je voudrais l'alcool lanterne je voudrais mon cheval à bascule et mes voyages enfant je voudrais mon chien me revoir dans ses yeux amoureux je voudrais mes chemins bretons et les voyages de mes pas je voudrais ta peau mon amour pour écrire une dernière fois je voudrais le je t'aime maman pour être fourbu d'amour je voudrais les gueulantes de mo
"Désertez !" disait-il

"désertez !" disait-il

Ma porte est ouverte, avec l’uniforme, j’ai enterré les verrous. écoutez un instant : dans le vent des graines seront ces doux chardons poussant sur vos tombes. je ne veux pas lutter et plier les genoux devant un seul drapeau. réserver la peine aux uns trop mal. j'ignore vos bombes. vous me mettez à mort en venant m’enrôler. les épis so
Catherine Balay - Ruisseau chantant

Catherine balay - ruisseau chantant

J'avais mis un bémol à notre histoire comme une parenthèse en sursis la mer en moi, le fleuve l'horizon l'horizon qui s'accroche, qui s'agrippe, qui me meut j'avais mis un bémol à notre histoire mais je recrois j'ai mis une parenthèse à notre histoire mais au fond de moi je l'ai repris ce goût de l'autrefois ce doux murmure de ruisseau chan
Talents

Talents

Il changeait la vie, jean-jacques goldman, 1988. je n'ai pas reçu de talents je n'ai pas reçu de talents. seul dans mon escarcelle le temps farouche et malade se balance so sad. matthieu et luc livres en main – deux aqueducs – se rient sans gain. mes bras sourds ma tête vide mon ventre en blé gourd mes rêves arides au mieux, parfois, un al
Poésies en stéphanie 2018 : D'une seul, vous êtes sûr ? Sarah Pierre Louis

Poésies en stéphanie 2018 : d'une seul, vous êtes sûr ? sarah pierre louis

D'une unique, d'une isolée, d'une solitaire ? d'une non accompagnée ? d'une qui n'a jamais voyagé et est restée plantée là, sans bouger ? c'est bien triste, c'est bien pauvre, c'est misérable et mesquin, ça fait pleurer. et en plus, c'est risqué de ne rien avoir pour changer, pour s'adapter... mais...est-ce possible ? eh non ! bien sûr qu
Arkel - recueil " Les parures du souvenir "

Arkel - recueil " les parures du souvenir "

Les traces que j'ai laissées sur ta peaun'y tient pas compten'y tient pas compte le brasierque tu as laissé sur mon cœur je n'y tiens pas compteje n'y tiens pas comptela vie refait surface dans ce froid décembre bretonj'ai perdu mes vertusdans la descente de ton escalierj'ai eu ton cul cette nuit pour isoloirje t'ai juré que j'étais amoureuxd
Cancrelat

Cancrelat

... je suis l’homme tragique où s’inventent des dieux ... je suis le fruit amer de la désillusion,je cache dans mon sein ma triste complexionet le dégoût que j’ai de n’être qu’en creux là ;qui traîne sous le ciel ainsi le cancrelat. et ma pensée culmine où le mal peut paraître,en cette chair indigne et qui veut se repaîtredu s
Une poétesse atypique Sylvaine Billot

Une poétesse atypique sylvaine billot

Hommage à sylvaine billot alias mémé ce samedi 17 mars à chauvé, la filmothèque généalogique du pays de retz consacre sa cousin’arbre à sylvaine billot, plus connue sous le pseudonyme de mémé (le programme.... publié le 16 mar 12 à 4:02 ce samedi 17 mars à chauvé, la filmothèque généalogique du pays de retz consacre sa cousin’
Quel que soit le péril

Quel que soit le péril

... car ce que nous ferons demeure encore à naître / c’est contre soi, d’abord, qu’on avance et progresse ... tu gardes le regard de cet enfant blessé ;présente en l’homme digne et droit, cette douleurenfouie dedans l’intime, où gîte une souffrance,que tu tiens à distance et ne révèle pas. et puis, de toi à moi, la pointe du com
Poésies en Stéphanie 2018 : Toussaint - Pierre Thévenin

Poésies en stéphanie 2018 : toussaint - pierre thévenin

Novembre juste éclos, dans le matin pâlot, ils s'en étaient venus, comme de tradition, le geste convenu, fleurir leurs concessions. dès le rite accompli, leur zèle, hélas, faiblit et même, facétieux sous le recueillement, beaucoup, de leurs aïeux, prenaient congé gaiement : " toi lulu, toi gégéne, a la toussaint prochaine, dans votre ci
Dix Vins Blog - Neuf ans déjà :Aurore Orensanz - De l'ardeur !

Dix vins blog - neuf ans déjà :aurore orensanz - de l'ardeur !

Un magnifique poème qui nous encourage à continuer sans jamais faiblir quelles que puissent être les difficultés... de l'ardeur, de l'ardeur, de l'ardeur quoi ! de l'ardeur comme la flamme qui nous tient éveillés au bord de l'abîme, comme l'élan qui nous rassemble perpétuel et unanime comme le souffle qui répond à l'appel du cœur de l'a
Sylvain Arkel  recueil  " La parure du souvenir "

Sylvain arkel recueil " la parure du souvenir "

La poésie sera à l'abordage quand mon amour ne sera plus sur tes hanches et mon chagrin comme un sort ton sortilège ne jettera plus ton sort le vin ce sacripant d'abordage sera dans ma gorge et tes serments n'y pourront plus grand-chose je porte au fond de moi ton flamboiement et puis paris qui me bouscule comme un océan qui me lâche comme un
En l’onde nostalgique

En l’onde nostalgique

... demain est notre port en l’onde nostalgique ... je voudrais m’échapper de la prison de l’âge et remonter le temps comme on remonte un fleuve, déroulant à rebours, sur la rive trompeuse, la trame dévidée de mon renoncement. hâbleur, on est de soi le propre reniement, dans les plis incertains d’une eau sombre et boueuse on cherche
Prose de 18h16

Prose de 18h16

T’es un dieu ou une déesse en dessous chic ; ton divin temple, ton corps sans accros est sur la terre éminente comme une caution poétique. c’est toi l’ange, c’est toi, t’es belle, divine de ton rang avec tes plumes et ton panache, le toupet et la courbe d’alarme sous ta ligne de flottaison. quand je te vois je me noie, tu me meurs da
Poésies en Stéphanie 2018 - Sonnet du 18 juin  1869 " 14 mémoires d'étoiles "

Poésies en stéphanie 2018 - sonnet du 18 juin 1869 " 14 mémoires d'étoiles "

Sur mon chemin de flammes interdites, cokes et anthracites, tout est sous contrôle. dans la veine sûre, tête raide dure cède à l'invisible étreinte, profondeur atteinte en rouge, c'est mieux de la zone en creux. naissent, sang de dragon, protections rapprochées d'un doigt arrêté, fixe sur la détente. bloc enregistré aux mines, descente e
Arkel : "  68 "- Recueil  " Toi(s) et moi "

Arkel : " 68 "- recueil " toi(s) et moi "

68 j'avais 5 ans je suis né le 18 août 1963 j'avais presque 5 ansà 5 ans j'étais sur les genoux de mon grand-pèreet bakounine dans les oreilles" et si vraiment dieu existait, il faudrait s'en débarrasser ! "ça m'est resté, je te le jure, en mémoire !et en principeet en prévision je t'aimesouviens-toi de ça amour anarchiecollé au corpset
Une annonce de mai

Une annonce de mai

On avait agité si fiers un drapeau rouge pour que quelque chose enfin bouge et les portes sont restées fermées. et le bonheur n’en a jamais germé. alors on a condamné la vieille grange tant pis si ce qu’on boit et mange a le goût des dossiers clos refermés mais il restait encore un peu de rouge pour que les enfants puissent aussi rêver
ECLIPSE

Eclipse

Eclipse sur un chemin de hasard, a la croisée de deux regards, la possibilité d’une île, d’un ailleurs, d’un possible. l’échange furtif de deux sourires des mots échangés sans rien dire un instant volé hors du temps une rencontre, tout simplement. puis deux sentiers qui se séparent le trou noir après le pulsar, un souvenir comme un
Sculpteur de copeaux de bois

Sculpteur de copeaux de bois

Ce que l'on peut faire lorsque l'on a de la patience, et l'esprit artistique c'est avoir l'art au bout des doigts la beauté du résultat me laisse sans voix ! j'ai choisi de classé cette vidéo dans "arts" et même, de l'associer à la poésie ! ne faut-il pas être un peu poète pour parvenir à une telle création ? un lien pour visiter topsite
Comme l’ondée qui bruit

Comme l’ondée qui bruit

... à soi, ‒ seulement soi, cette douleur exsangue / et ce cri contenu qui perle sur la langue ... dans la salle d’attente, et une fois encor, je m’en viens rapporter tous les maux de ce corps, certains qu’ici j’exhibe et d’autres que je cache, ‒ la camarde sait bien le dol qui me cravache. et je guette parmi cette étroite cohorte d
Poésie en Stéphanie - Le poète fabriqué - Edouard Piolet

Poésie en stéphanie - le poète fabriqué - edouard piolet

A jean de la fontaine, il faut rendre raisons. il a passé le temps, les modes, les saisons et ses fables nous suivent, alertes, tendres, douces, vives, quatre siècles plus tard, bijoux de vérité dans ce siècle désenchanté. un poète, longtemps, cherchait honneurs et muse dans le salon des immortels. avait-il quelque don, quelque appui, quelq