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A travers ta pénombre suppose quelques roses la plaine et l'océan un oeil pour toujours la lumière invite au voyage. peinture de vigas géométric eyes
Communautés
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Poaime...La poésie qu'on aime
Poaime c'est la communauté idéale pour partager les mots en vers et contre tous. Idéale pour partager la poésie que vous aimez, celle que vous écrivez autant que celle des auteurs d'antan ou d'aujourd'hui qui vous inspirent. Adeptes de la poésie, de la plus classique : alexandrins, sonnets, pantoums, acrostiches, haïkus, tankas,gogyoshi...aux vers les plus libres, au slam, et même à la prose poétique, ici tout est permis ! Alors n'hésitez pas à venir partager chez "Poaime" toute la poésie que vous aimez
19 blogs
283 posts
07/06/2018
Articles récents de cette communauté
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Calme et silence / sur la rive / j'oublie la ville.
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Les mots juste avant ... j'entends tes guitares chargées de cafard des bleus et de sombre vétuste couleur d'un menteur hasard tu récites la souffrance vibratos mélancolie des mots l'alchimie funèbre romance aux poignées d'argent cachées sous ton chapeau et ses menteuses lunettes aussi noires que ta mélodie dans ton creuset je les guette enc
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Reine de bea uté je n’y puis plus tenir, il me faut vous l’avouer j’ai cependant à vous le dire grande peine ne sachant point comment je puis vous amadouer j’en balbutie mes mots devant vous souveraine votre doux visage, illumine mes pensées rouge carmin vos lèvres sont tellement attirantes je porte mon regard sur vos mules gansées ne
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Lumière céleste la favéla sommeille, le soleil a disparu le clair-obscur masque les venelles et impasses un seul réverbère diffuse une lumière écrue sur de pauvres taudis aux murs luisants de crasse demain un autre jour à la cour des miracles celui des astuces, du trafic, des coups tordus ici pas d'ascenseurs pour atteindre le pinacle c'est
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Le mitrailleur je traque ruelles et impasses boulevards, monuments cathédrales, dolmens menhirs, fleuves et rivières plaines et montagnes endroits insolites, gares et cafés là où la vie est intense multicolore armée de fourmis travailleuses ou cigales jeunes ou d'âge mûr j'espionne prêt à dégainer je choisis ma victime mon arme est charg
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Le bord de seine je me souviens de juillet au bord de la seine les premières vacances, oubliée l'usine ! ta robe légère, et ton sourire charmant je montrai au soleil la blancheur de mes bras nous partions le matin pour la journée entière abandonnant notre si petit appartement assis sur la berge, tu déballais ton ouvrage un tricot pour l'hive
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Mirage hé fier conscrit où t'en vas-tu ? eh bien je vais faire la guerre la guerre mais es-tu devenu fou ! mais non l'vieux je veux être soldat ! ici c'est calme et tranquille la paix est revenue depuis la dernière alors conscrit ta guerre c'est où ? c'est où je veux l'aïeul je n'ai qu'à choisir on se bat en légions souvent pour la religio
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Le savon : un poème de francis ponge, et mon aphorisme du jour sur...le savon
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Francis ponge, ou l'en-vers des mots francis ponge (1899-1988) se réfère au courant surréaliste sans réellement adhérer à cette doctrine. l'oeuvre de francis ponge, qui s'efforce aussi de casser le clivage entre les vers et la prose, a pour trame la difficulté qu'il a ressentie dès son plus jeune âge pour exprimer ses émotions par le lang
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La chanteuse beauté sublime serais-tu divine amour féline parole alcaline reine du soir arborant le noir du désespoir tu brise ton miroir en jouant l'ingénue à mots convenus te mets à nu en déverses le contenu seule sur la scène voici que tu assènes le récit de ta peine sans être obscène des mots d'amour ceux de tous les jours un appel
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Ma pensée poétique du jour : la citerne, l'orage et le désespoir
La tôle, c’est plus ce que c’était… daniel confland c’est une petite citerne, la tôle toute rouillée au milieu de nulle part, si, en arizona sous un soleil de plomb qui darde ses rayons comme dit le dépliant sur ces lieux désolés. donc on attend l’orage, le miracle de zeus car on n’a pas vu gouttes, de mémoire de cactus, c’est
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Une dame tout de noir vêtu elle chante, elle vous berce arrache des larmes jusqu'aux sanglots petit bout de femme enfant de la balle née à belleville à la voix venue d'ailleurs elle vous ensorcelle capte la foule qui l'acclame et reprend "milord, ou l'hymne à l'amour" la môme se donne corps et âme les planches sont sa maison la scène sa rai
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Mon second recueil 12 euros. bénéfices reversés à cancen (aide aux malades du cancer)
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Voyage byzantin je suis arrivé pauvre, j'aurai dû naître riche sans le sou ni argent, il me fallut partir vers le soleil d'orient, au pays du derviche bleus fine porcelaine, chassant mon repentir belle constantinople, j'ai chanté le bosphore voguant noire la mer, un palais ottoman brille la corne d'or, sous l'œil d'un sémaphore l'ombre d'hati
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Un monde mutant tout le monde en jaune les tulipes aussi
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Gogyõkas le soleil manque aux jours d’hiver je n’entends plus le chant des oiseaux tes longs cheveux d’un gris comme le ciel ondulent aux doux pleurs d’un violoncelle dans mes rêveries tu danses encore ****** le village s'endort dans les méandres de l'hiver engoncé il arbore un épais manteau blanc le blizzard accompagnera la nuit les e
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#le repas des moissonneurs par rémi dit pilatom (toile de jean-françois millet vers 1888
Le repas des moissonneurs (jean françois millet vers 1850) c'était fin octobre, les fortes pluies diluviennes noyaient les semis de blé à peine germés il fallut se résoudre, quoi qu'il en advienne attendre en priant, les visages fermés et puis la nature s'est voulue généreuse les blés de juillet furent dorés, abondants la terre cette ma
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#café de nuit par rémi dit pilatom "toile de vincent van gogh 1888"
Café de nuit (vincent van gogh 1888) c’est un café de nuit en arles l’on y vient en se promenant empruntant les vieilles ruelles on s’y installe en rêvant c’est un café de nuit en arles aux couleurs d’ocre et de sienne de murs rouges et lampes douces eclairant un parquet disjoint c’est un café de nuit en arles deux ou trois tables
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Gris le soleil manque aux journées d’hiver je n’entends plus la chanson des oiseaux tes longs cheveux d’un gris comme le ciel ondulent aux doux pleurs d’un violoncelle où donc es-tu ma mie, si loin partie dans mes rêveries, tu danses encore avec les papillons, blancs éphémères je voudrai revoir, toucher la lumière t’écrire des ver
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Https://youtu.be/8lrakqm1orc un silence de verdure de gilles baudry édité par les éditions l'enfance des arbres
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L'aigle blanc du froid le ciel , arpége sur une rive intacte.
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Le petit homme c'est un petit homme vêtu d'un vieux complet noir son petit chien s'en va devant porteur d’espoir à l'affût d'un lampadaire pour urinoir c'est un petit homme coiffé d'un chapeau noir sous la halle dimanche c'est jour de marché il lui faudra beaucoup marcher de pas pressés ramasser ce qui reste et qu'il lui faut chercher près
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Vers brisés ma poésie s’est noyée dans une encre anonyme de quatrains évaporés aux accents disconvenus perdus sur papier jauni pour chercher l'inspiration j'ai vendu mon crayon qui n'avait plus bonne mine sur le quai de l'horizon j'ai dressé mon étalage vendeur de vers frelatés ma tête sur un nuage aux nuées de poudre d'or j'implore l'i
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Le vieux sage le vieux chêne connaît tant de belles histoires ecrivant sous ses épais rameaux frissonnants contes et légendes sur son vieil écritoire de fées et magiciens aux rites surprenants assis à ses pieds je reste son invité il a tant de souvenirs à me raconter gardien du temple, humble de longévité je reste là des heures durant s
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Quand le jour griffera les branches le vent d'est je reviendrai chercher le chèvrefeuille la gaité dans son royaume.
Pas de coup de semonce, rien, mais il arrive que je sente, impérieux, s’emparer de moi ce désir fou de mutisme – oh ! c’est une complainte indicible, antienne sans rimes, sans mots, ni lamentation ni prière, et pourtant triste et caressante. oui, ce chant refuse les mots pour n’aller pas se transformant en cent vagues de nostalgie, et la
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Fleur et eau nulle force au monde protège mon cœur mes yeux ouverts peut-être .
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Un soir de pluie (comme la chanson) s'invite la pluie pour une soirée d'automne le bruit des gargouilles flic floc flac le bruit des pas les feuilles folles titubent la lueur d'un réverbère un parapluie dans le gris la lune voilée se cache frileuse restant discrète la rue reste seule déserte des poubelles presque alignées attendent sur le tr
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Pour commencer 2019 ! quelques lignes tendues .... bonne pêche ...... rémi ** quelques mots trouvés par dessus ton épaule j'ai aperçu l'océan des bleus dans l'âme j'ai respiré les embruns un voyage m'attendait ***** le phare la nuit balaie mes pensées alors tu pars demain ? j'irai voir sur la jetée avant le petit jour mon soleil partir **
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Gogyõkas oh long voyage de la vie mes sandales gémissent par les chemins de traverse mes pieds écorchés par les affres de l'errance j'ai fait fortune dans l'air du temps j'ai rempli mon coffre de mots et poésies chut ! c'est un secret l'épervier a tout son temps le souriceau trop gourmand les grains d'or l'attirent le ventre perd les yeux le
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En multitudes d'instants sous le givre le coeur battant du monde
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Passe-passe j'ai préféré m'éloigner fuyant les combats de ceux devenus fous qui perdent la raison errants dans les chemins d'impossibles débats sans repères adeptes de péroraison des sangsues collées, j'ai traversé marigots jambes et pieds écorchés par les dévoreuses tombées une à une avec le précieux magot vilipendé dans les échop
La première nuit je t’écouterai exhaler tes pleurs, tes éclats de rire, ta voix quand d’amour elle se déchire, l’écho de ton cœur, tes cris apeurés, je boirai tes sons ainsi qu’un vampire ; la première nuit je t’écouterai chanter et gémir et expectorer. la deuxième nuit pour te regarder et pour étudier toutes tes coutures ; je
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Voyage du jour de l'an hors des maux je brade mes tourments, donne ma tristesse aux pilleurs de la petite-cour, marchands d'illusions je suis parti fleur sans fusil, par politesse sur la pointe des pieds, hors viles effusions avenue de la paix, j'ai pris le train du soir la tête dans les astres très haut dans l'espace j'ai côtoyé les petits bon
Blanche-neige ô fruit de l’hiver je veux que tu m’ensevelisses sous les arpents blancs comme vair de ta jeune chair sans malice blanche-neige ô fleur de miroir je veux m’élancer sur tes pistes godiller dans tes cheveux noirs de fausse madone aux yeux tristes blanche-neige ô mufle de sang je veux brûler dans l’incendie que tu caches en
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Jalousie et jaloux : 3 pensées poétiques sur le thème (1ère partie)
Mots-clefs : jalousie, jaloux, amour, aimer, citations, aphorismes. cet article est la réunion et une version complétée de deux articles parus en 2016 : jaloux et jalouses (7 mars) et 15 citations sur la jalousie (9 mars).
jalousie, d'edvard munch (1863-1944), munch museum d'oslo, wikipédia cc.
un poème de marie-catherine-hortense desjardins,
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Ah ! m’enfuir avec toi quelque part loin d’ici, peut-être jusqu’au pôle où, sous un ciel d’opale, la glace des massifs se disloque à grands cris en cent mille diamants jonchant l’océan pâle. au zénith on verra, bruissant de tous ses plis et déchirant la nuit de ses couleurs spectrales – le pourpre, le saphir, le lapis-lazuli –
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Abject l'homme ne sait plus son nom, qui il est perdu dans la rue sans aucun repère il s'est isolé on l'a oublié sans éducation bonjour, au revoir merci et pardon langue inconnue le père absent parti vers l'ailleurs la maman qui pleure le voyou son fils rejetant l'école pour les premiers vols de petits larcins et puis le trafic la poudre tueu
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Nuit de noël une pluie d'étoiles danse la farandole la lune s'est maquillée en belle impératrice richement dotée, coiffée de son auréole elle sera de la fête grande ordonnatrice la neige habille de sa toison le village éclairé par les asthéniques candélabres bordant la grande rue et le chemin de halage la cloche carillonne noël de minu
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Mon filet d'argent je t'entends petit ruisseau te mêler aux chants de l'oiseau tes flots argentés sont de jolies tempes grisées je t'entends petit ruisseau murmurer limpides tes eaux sur les pierres musicales posées ça et là je t'entends petit ruisseau me rappeler mes souvenirs d'une douce adolescence de ricochets avant le partir je t'entends
I ta bouche s’en revint humide et rouge et haletante de son sentier femelle à l’âpre goût de liberté ivre contre ma joue elle osa tout me raconter et la source de miel et la colline aux pieds de menthe ii glissant la langue à fleur de seins et plus bas un doigt de salive je prête une main attentive aux mouvements de ton bassin iii ton pie
I au nord cette ample mer, ce ténébreux rebord où règne, croupissant sous l’âpre paix des morts, une nuit que jamais un astre ne constelle et que bat le ressac perpétuellement – affreux un puits d’abandon plein de mugissements où se tient à l’affût, crânement, le rebelle. l’onde qui se profile ici n’est que noirceur et effroi
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Dessin "zam" marlène huygen * poésie elisabeth tordjman
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Les loups en décembre les jours sont souvent bien trop courts des nuages sombres chargés de désespoir les pluies acides tombent sur l'arrière-cour brûlant les maigres subsides d'un vieux chauffoir les loups efflanqués se rassemblent revanchards hier moutons ils ont troqué le manteau de laine pour une pelure en toc celle des clochards en quê
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Songes d'océan j'aime les émeraudes de l'océan l'océan et ses petites crêtes d'argent d'argent le soleil parfois en devient amant amant sur un grand lit de flots ondoyants ondoyants au gré du temps et des ouragans ouragans sur les quarantièmes rugissants rugissants de colère sourde et des vents vents souffle du démon, horde de loups hurlan
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Peinture de sarah picon
nos amis en grappe dans la prairie du silence appellent notre verticalité et nos feuillages intérieurs à se fondre dans la joie pure des couleurs incertaines.
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Une splendide plongée dans l'espace picturale ou tout est vide et plein. "j'aime que l'on se proméne devant mes toiles comme je m'y proméne moi meme en les faisant " zao wou ki
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A travers les adieux du soleil / la marche dure/ larguée par les saisons
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Le vent/le soleil/ le jardin des cimes,le cercle d'harmonie/a sa joue un livre du silence.
dans les teintes des champs légers/remonte au bout des rues /un pays lointain/ des mares de temps
dans vos mots à vous
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villarceaux et les arts plastique de l'association la source
Nos moulins à arts et à prières envolées dans le lointain bleu
visage
désirs de couleurs
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Des vélos dans le ciel
il n'a pas pu marcher sur l'eau
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De l'automne jauni le feuillage est fou de toi les épis s'accrochent à la passion des barques.
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On n’en peut plusde sourirede survivredu dialogue sans finentre l’ombre et la lumièremais peut-on autre chose qu’embrasserle violoncellede la vie? martine rouhart
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Poeme personnalisé elisabeth chazot tordjman, poète objet pièce unique personnalisée - verre en fusing, laure rondeau, créateur verrier, maître artisan d’art
objet créé en pièce unique,émaillage et gravure du poème sur la face cachée de l'objetobjet et poésie créés selon des mots clefs recueillisthème : « bar mitzvah », mots cle
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Un héron lointain dans les lignes du temps contemple l'incertain demain
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Le poids du monde monte au front des larmes.
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Paroles elisabeth tordjman
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Septembre les feuilles tombent pleines de lumière il y a des fragments de mer de plage qui deviennent sombres et s'éteignent sur lestrottoirs la nuit tu entends l'écume quand le ventles chasse et tu ne sais plus rien que les bords de la fenêtre le chat qui joue avec les rubans de la lune dans la chambre