...des zone sensibles où il ne faudrait pas pénétrer, l’anfractuosité est à l’intérieur, et le piégé est l’offrant... ...il y a des innocences qu’il faudrait respecter, des spontanéités qu’il faudrait écouter…

Reconnaissance éternelle. très chère madame, j'aurais aimé oser vous envoyer ces mots durant votre passage sur terre, mais quand les émotions sont trop grandes, la gratitude se garde au fond de soi. quand, suite à votre respect, la loi sur l'avortement a été votée, le 26 novembre 1974, je m'acheminais doucement vers mes 16 ans. depuis mai

J'oublie trop souvent que mon blog est mon espace de liberté, et qu'il n'y a pas de honte à partager ses émotions. amour à vide ou amour avide ?... et je suis dans les deux. j'ai le sentiment d'avoir passé ma vie à aimer à vide, pour rien, j'ai aimé pour rien, sans rien en retour, à part la jolie frimousse de mes enfants et de mes petits e

Qui peut savoir, qui peut entendre, qui peut comprendre l’impact de la couleur de l’acier dans le préambule d’un matin naissant, d’une vie ouverte, offerte, la mort est au bout, comme au bout du canon d’un fusil, mais il ne s’agit pas là de chevrotine, ni de balles réelles, mais d’un vol d’amour. rien demandé, tout pris, à sens

Bonjour à toutes et à tous ! il se pourrait que jamais plus je n'aborde mon blog, comme je l'ai fait jusqu'à ces derniers jours....je vous expliquerai une autre fois.... c'est avec le plus grand plaisir que je vous présente ma première nouvelle éditée aux éditions editions edilivre, et ce ne sera pas la dernière! une nouvelle publication e

Estime, confiance, assurance. hier, en fin d'après midi, au retour d'une promenade sur la plage entrecoupée de soleil, de pluie, et dans une intermittence de nuages gris pesants et moites, je me décidais enfin à rentrer chez moi. dans la grande curiosité qui m'habite, et dans l'interrogation que je faisais aux éléments, je levais mon regard

Tout est vibration...

J’ai envie de me faire plaisir, et d’exprimer ce que je ressens, et surtout ce que je pense, de tous ces hommes, qui se lèchent la papatte, en pensant à leur ex qui s’est barrée avec un autre, et qu’ils aiment toujours. m’adresser aux pas guéris du cocufiage qui en demande encore. car ils en redemandent encore tous ces cons ! au premi

J'ai trouvé la bonne clé...celle qui ouvre tous les champs du possible, mais je la garde pour moi. je laisse aux voyeuses et aux voyeurs, le soin de continuer de scruter par le petit trou de la lorgnette. ils resteront définitivement dans le noir...

La déchirure est profonde. je ne sais pas quand cela est arrivé...il y a deux mois sans doute. suite aux derniers orages... j'ai crapahuté dans ma chêneraie pour le plaisir de le retrouver. les autres fois, quand je montais vers mon bout de colline où mon mazet est bien caché, je n'allais plus le saluer. je me contentais d'arpenter le chemin