C’est d’une écriture à la fois sobre et poétique que sandrine collette, qui m'a déjà admirablement tenue en haleine avec ses six fourmis blanches (tout en bas de l'article), nous invite à nous figurer… la fin du monde. rien de plus, rien de moins, sauf qu’à cette catastrophe au déroulement mystérieux, il reste quelques survivants,

Je tenais à vous livrer, sans mauvais jeu de mots, cette agréable surprise glanée au cœur de mon assignation à résidence. cet ouvrage est en lice dans le prix annuel des lecteurs de ma bibliothèque, dont j’ai déjà parlé ici, là ou encore ici, pour ce qui concerne l’édition de l’an passé. souvenez-vous, j’en étais ressortie un

Candidat suivant dans mon prix des lecteurs. et là effectivement on envoie du lourd, comme le métal toxique qui transpire d’une montagne d’objets voués à un « recyclage » hasardeux par des gamins dans une décharge au ghana. un écrit formidable, incroyable, où guillaume poix joue avec les mots, se joue des conventions langagières lorsq

Imaqa est un de ces contes d’ailleurs, que l’on savoure avec une joie tout exotique et un léger pincement au cœur. un livre d’humour et de sagesse, où le quotidien pittoresque d’un instituteur danois muté volontairement au groenland révèle en filigrane une réflexion sur le sens de nos civilisations modernes, et l’intérêt de foutr

Une très jolie découverte que cet ouvrage que je viens juste de refermer et qui m’a transportée comme cela n’avait plus été le cas depuis quelques mois. son titre est inspiré d’un événement réel, le bal de mi-carême organisé chaque année à la fin du 19è siècle à l’hospice de la salpêtrière, où la bourgeoisie parisienne ve

Je n’aime pas les personnages lisses. par lisses, j’entends convenus, sans ambiguïté. c’est un reproche que j’adresse à de nombreux livres « grand public », l’idée n’est pas du tout de snober un quelconque style, plutôt une façon d’expliquer ce qui m’ennuie dans ces derniers. j’ai la désagréable impression que l’auteur

Un vrai plaisir encore, cette nouveauté de ma bibliothèque municipale ! d’un auteur que je ne connaissais pas jusqu’à maintenant. avec douceur et fantaisie, avec des mots admirablement choisis, marie-sabine roger nous convie dans le royaume imaginaire où grandit son héroïne tanah, ainsi que le conte son rêveur de père, agapito ier, roi

Mais quelle agréable surprise, enfin, un livre qui m’a fait rigoler ! pas juste sourire en ayant l’impression de connaître déjà la blague ou en déplorant que l’auteur essaie d’en faire trop et que du coup ce soit inégal. parmi les nouveautés de la bibliothèque, j’avoue qu’en général je n’accroche pas trop, et bien là je n

J’ai hésité un moment avant d’écrire ce billet. ça a beau être mon blog, et pas juste un site internet, ne vais-je pas aller trop loin dans le dévoilement de moi ? bon et puis après tout, si ça ne vous plaît pas, vous passerez votre chemin, et puis c’est quand même dans le thème littéraire, on ne sera pas complètement hors sujet.

J’ai commencé l’année par un best-seller du « feel good », changer l’eau des fleurs de valérie perrin. je n’ai pas l’habitude de ce genre de livres, mais je les accueille avec joie lorsque on me les offre. le fait qu’ils plaisent à la majorité des habituels non-lecteurs n’est pas une excuse suffisante pour les rejeter. et même