Triste casse cendre... une année en one shot. un braque cite son île en dive horse. une playmate pump l'audience et trump la mort en pupette gonflable. ailleurs et ici, ça dézingue les zigs, ça flingue en zigzag. boutonnières sans fl'heurts au fusil. m'haine pas peur, pensée déboîtée convoyée au chaos. la vie aux lances se peaufine dans

Temps soleil de rires partagés, temps de vacances juillet, d’école est finie… temps espéré, valise à inventer, tee-shirt rose et k-way, autocar poussif... un eté soixante-dix. première colo, des chemins marche, des ruisseaux baignades. un eté soixante-dix. instant où la vie bouscule en bascule, instant où ce corps qui se suffisait d

Sur le mate-la du mate adore... une p’ointe de lowboutins très mousse le pop hautain…. une béret zina burlesque ça gîte… béret'as ou larmes blanches… rêves ovaires ou lance coquettes… les gars lâches niquent off… let, la roue, let, la roue, let.... spire râle b’houle folle safe fall let, la roue, let, la roue, let...

En chute vibre sur la courbe de tes riens.j'imagite la couleur de tes bras de soie.ton crache coeur osé sur la chaise.tes hanches violoncelles fantôment les draps.un arc soupire sur tes lèvres.tu syllabiales des cris d'audace.le fil sensible de tes cheveux m'attache à ta peau.

J. moins très peu... avant que le rouquin rouflaquette, déboule en majorette. mène à la braguette, les roussesveltes. qu'est-ce qu'elle espère luette ? les hoover en men oppose et la bush b.... qu'est-ce qu'elle est-ce père ? une aube à 'ma ? un hole land ?

Pas de reproche lecteur en vadrouille, en vague rouille... j'ai distendu la corde à sauter les lignes et déserté les cours de claquettes claviers. rare et muette, comme toi. l'excuse ? l'ex ruse ? pas, point, à la ligne. deux trois lignes, des vieilles, amidonnées, amies données, naphtaline. a propos d'un film "valley of love". voici... ... j

Qu'est-ce pion d'un soir dans le moire.... inter-rogations mire-oir mou-roir.... pas gay et sans chat ? pourquoi une geisha en effi-gît ?

Un homme m'a aimée. sa présence au creux des chemins. la couleur de la terre, le mouvement de la mer. sa présence, poids du vide, de l'absence. voix que j'attends sans l'entendre. l'an tendre... disparu. où ? un homme m'a aimée. son ombre me malmène. mâle m'haine. fige le temps hier.

Châle or, châle or....vent-il à tord..... brrr, brrr, brrr'huit des z'ailes lisses.

Quel destin clandestin pour la candeur infime ? lui, se dessape, hâte et happe de sa hampe.. maladresse du mâle pressant qui sape la caresse. elle, mandibules libellules lassent des membres fibules. les fourches claudiquent passent et ressassent le même ressort sans fin . eux, tristesse de l'amer turne borgne. pas d'avant don dans la gyn'astique