Une scarification avec un tranchant, jaillissant des veines son propre sang. peut importe l'age ou la race, la douleur n'as pas de couleur. un mal pour un bien.seul, fille ou garçon, dans les hôpitaux psychiatrique ou dans les prisons. car on sait qu'enfermés nos cœurs saigneront. c'est la danse des lames,quand est présent le vague à l'âme.

Léger éclaircissement sous ce ciel sombre. dessins sur le sol de ces ombres. marchant entre les arbres de cette douce forêt. le vent entre leurs feuilles les faisant vibrer, légèrement. comme l'air. comme toutes ses sonorités, mais à un certain moment devenues dure comme l'acier, aux oreilles malveillantes qui ne savent plus apprécier, le p

Arrêtons de nous mentir ! je vous vois vous pervertir, alcool hasch et autres, toutes ces substances restent des drogues. nocif quand nous en abusons, peut être qu'elles calment nos scarifications celles de nos cœurs, pleins de rancœurs. de fait indicible, des fait relatés, avec énervement, je viens les résorber. pour qui cela profite, et qu

Place au cœur, je reste à ma place, je ne veux pas faire d'erreur, à l’intérieur, les mots s'y placent. les images au sommet d'une tête, illustrent ces pensées de ma tête, au niveau du cerveau. je sais, dès a présent, ce que sent, ce que je ressent, ce que je vois, ce que j'entends ce que je vaux. mes yeux parlent même d'eux, mes épaul

Pour un rien tu t'énerves, je ne t'ai pas du tout dit nique ta mère, car elle n'avait rien avoir la dedans. juste va pleurer sous les jupons de ta mère. je veux que tu comprennes que tu me rends nerveux. t'as porté le premier coup, un low kick dans la jambe, minable. je me suis senti en danger et j'ai riposté, et oui je t'ai frappé. comme toi

Safia, c'était lui ou moi. une lueur d’espoir, j'ai pris ton prénom comme une victoire ! mais tu t'es bien foutue de moi. les vrai comprendrons mon pseudonyme d'écriture. ceux qui me connaissent saurons que c'est pas parce que je sois pas "normal" pour toi. et on est plein dans mon cas. tu me prends pour ce que tu veux, rien à faire, tu n'es

Je suis informel. c'est trop peu de formalités. de vivre une musique belle, en venir au passage de l'allumette et du briquet. peut être ai-je été mal informé, des méthodes et des codes des français ? comment comprendre sans étonnement, quand ce trop peu est très peu expliqué. les gens comprennent, qu'avec des actes. les gens comprennent,

Il me dit rien car c'est un mime, il parle avec les mains. limite sectaire, son dieu c'est le shit. seul avec le diable, j'enclenche les trucages. je ne veut pas prendre perpète donc je reste tranquille et j'assume la routine. je sors de ma bulle et je vois ce que je peux faire avec ce que j'ai. parents absents, dans une ambiance sordide je reste

Dame de pique, amour sadique, amour qui pique. ma petite, mon âme sœur, mon cœur, pas de fuite, a dame de cœur. moins de rancœur, et de malheur, dans une maison, ou nous nous aimerons. attirance, ressemblance, ou bien différence. une seule chose à dire : a vous la suite...

Le s du serpent, qui se mord la queue, fais le tour de mes yeux. je veux être sorti, de ce cercle vicieux. alors j'enfile mes lunettes noircies, car je veux sortir. partir à ce rdv. je suis là à t'attendre, a ton arrivée, je te lance un coucou. je t'embrasse sur la bouche. au bout de la queue du serpent en s, qui sort de ce cercle vicieux.