La ville ruisselle et cette nécessité de miel dans un thé, ou bien miel ambré dégoulinant en crinière... poser son pinceau parce que rien ne sera égal sur la toile : ni le regard attentif et figé, ni la force à l’orée du jet de l’animal. tout respire le basculement prochain des muscles dans la royale posture, le crin rude et ambré. t
Denise Giton-Gonzalez
Denise Giton-Gonzalez
J'ai pris le pinceau. Et j'ai peint le Chat. Halte entre deux tableaux pour poser les mots qui coulent le long de la plume : peinture d'alphabet pour un Chat curieux et fantaisiste. Cette écriture me rend heureuse et c'est délicieux comme des vacances !
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Un GROS CHAT fait la Gazette de son Quartier. Allergique au Chat ? Réconciliez-vous avec celui-ci... S’il rêve sur ses coussins, je prends en douce la plume. Blog rêverie, quiétude et charentaises.
Denise Giton-Gonzalez
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Articles à découvrir
Fin d’après-midi mouillé. trois touffes d’herbe. halte fraicheur. qui es-tu, toi l’humain sur mon passage ? je plante bien sur toi mes deux pupilles charbon avec une goutte de lune dedans. avant de filer en bout de page, avant que tu m’attrapes. te restera l’illusion fugitive d’un instant tendresse, une espérance douceur. photo : pix
Tu as eu un tel chagrin pour calamity... toile 40 x 40, acrylique sur poudre de bronze et ajout d’or... tenter de te restituer son regard pour réconforter le tien. avec tendresse. et des bisous. cousine denise
Bonheur et travail dans l’atelier : de l’âme dans ces murs où les visages se penchent sur l’ouvrage... bulle dans les vacances : machines à découper, métal qui frise en rubans où filaments. gants pour saisir et éviter les blessures, maillet pour façonner... fashion de cuivre et écharpe de fer. semelle de fer à repasser pour socle. c
Gris pour gris... ceux de ton océan aux tons ardoise noyés d'écume dans un hurlement de galets et coquillages roulant sur le sable... ceux de mon ciel à moi tutoyant le zing des toits. des lutins jouent aux cheminées. une trouée bleue déchire le gris puis disparaît. quel après midi ! tu l'auras deviné. un engourdissement en cette fin de j
Toile 50 x 65, acrylique. un regard d’aigle. chacun sous le regard de l’autre et, entre nous, le pinceau. attend son envol. je me demande sur quel mur...
Haline et ses ciels de bord de mer. les nuances grises, l'écume qui se joue, fait des bulles, mousse et disparait. quelque part dans le froid d'une côte française. quelque part du coté des vaches aux yeux tristes et velours. quelque part où tu marches pleine d'iode et de vent. quelque part où pourtant je te trouve. fluidité des pensées alor
La ville dort. fin de semaine. l'aube froide pleine d'un gris humide et frissonnant. dans les chambres, les soupirs apaisés des corps inertes et chauds. rien ne s'éveille encore. effraction du début du jour, se glisser comme un chat souple dans le couloir, s'enrouler d'une écharpe en protection. gestes suspendus, amples et lents dans le silence
"lettre du matin : destination bernard, magicien de l'atelier." alors, mon gentil ami dévoué à l'atelier et à ses artistes ! (grande, incontournable figure des lieux). le printemps va-t-il ouvrir les portes de ma liberté pour créer à nouveau parmi vous ? vais-je pouvoir comme les oiseaux voleter là où je veux ? terrible, de ne pas être ho