A nkh , lettre à marie reflet il y’a une seule poésie qui ne trompe pas, c’est celle du silence qui parle mieux que des bouches balivernes. mais la question n’est pas de savoir si vous m’aimiez ! mais si vous me désirez encore comme le tout premier de nos baisers. pourquoi ce silence : les relations les plus conviviales sont celles qui b

🚨 nouveau roman 🚨 #epilogue polycarpe guizot gare son pick-up une fois de retour à son domicile. elise n’entend pas les ronflements du moteur, car anéantis par les bibelots du passé. il marche avec un grand sourire comme toujours, l’expression qu’il a à chaque fois qu’il est sur le point de revoir les grands yeux de sa dulcinée p

Nous vivons dans le secret parce que demain est incertain. le monde est fait aux bornes de deux extrémités : certains crées et d'autres déconstruisent : nous taillons l'image à notre propre représentation du bien-être et l'on peut rompre des années de promesse pour la sécurité de celle que nous aimons le plus. et souvent, on chemine avec

Une femme, je deviens ideal je songe de toi, un rêve idéal telle une rime sur un lourd féal qui implore l’aurore boréal en inventant ce sourire original qui passe le long de vos rides matinales vous offrant ce fameux carnaval qui vous est surtout semblable votre regard est un mythe véhiculé autour des rites contant une lointaine anecdote au

Jeanne corina, j’espérais passer le restant de ma vie à tes côtés, je te voyais grosse de nos gosses et maitresse de mes lieux (quel triste sort !). je nous voyais éduquer ensemble notre condescendance : jeanne, l’espérance est aveugle. j’ai longtemps accusé la vie et ses mœurs en leurs rejetant toute la faute d’avoir détruit cette

C’ est toujours toi , lettre à la vedette jours déjà : deux, huit, six. toujours, de toi, à penser je continue. mais sais-tu ce qui est fou ? c’est l’intensité avec laquelle je le fais : jamais cesse ne elle, s’accroitre de, jamais elle ne cesse de s'accroître : avec le temps, avec les années qui défilent, avec le monde qui passe, a

Belle ou demoiselle je cherche une femme, je cherche une âme dans ce palais perdu. une personne aimante, naïve, triste de ses lèvres mais grande de son regard, un regard si profond capable de me faire chavirer, pourquoi pas m’envoyer dans mes songes les plus fous. je désire une femme, je convoite une âme. je ne la veux pas belle, je la veux

De nationalité camerounaise, mbarga janal diderot voit le jour le 29 février 2000 à yaoundé (capitale politique du cameroun) d’un père maitre tailleur endjodo fabien et d’une mère coiffeuse mengue elise carine. janal ne va pas connaitre sa mère, cette dernière décédée des suites de maladie alors qu’il n’était âgé que de trois

E t toi fabien , lettre à mon père padré, c’est la troisième année qui s’annonce. je n’ai toujours pas revu ton sourire vermeil depuis belle lurette, et pourtant, tes fines paroles raisonnent encore en moi comme si c’était hier. pourquoi ne viens-tu plus me visiter ? depuis ta soudaine disparition, le monde semble avoir freiné son mo