On l'avais écrit hier. groenewegen (mitchelton) avait été décevant, inexistant, trop loin et mal placé dans le sprint d'hier. on sait comment fonctionne le néerlandais. il y a quelques années, pour un reportage de france 2, il expliquait revoir la procédure, la stratégie à chaque briefing. que toutes les informations soient enregistrés.

(classements en bas de page) ça devient une tradition pour la formation belge. après alaphilippe en jaune l’année dernière au soir de la première étape, c’est yves lampaert qui s’empare de la tunique aujourd'hui. un belge peut en cacher un autre. des favoris bien distingués au départ, qui ont choisi de s’élancer dans les premières

Un final nerveux mais sans cassures. un sprint disputé, et c’est finalement jakobsen qui s’impose. disputé oui, car le pont du grand belt a été le théâtre de la bataille qu’on attendait. 18 kilomètres exposés au vent, défavorable. le peloton se scindait, se reformait, se coupait, se massait, un ballet incessant. les images étaient i

Ils ont fait atterrir au danemark de vrais palmarès, pour tenter de décrocher des victoires, et un hypothétique maillot vert. hypothétique, car les deux têtes d’affiches seront bien en peine de rivaliser avec le reste du plateau. la première carte est celle de michael mattews. l’australien, vainqueur du vert en 2017, a été impuissant fa

Pas de doute, un sprinteur va s'imposer. ils sont nombreux cette année (van aert, jakobsen, philipsen, groenewegen, sagan, dainese, pedersen, kristoff...). du beau monde. le vent parti prenante. ce qui est moins sur, c'est le nombre qu'ils seront pour se jouer la gagne. cadeau danois, un pont de 18km. une inconnue, le vent. si il souffle, des bord

8 coureurs de 8 nationalités différentes, alignés dans un objectif : une ou plusieurs victoires d’étapes. mads pedersen, le danois, et jasper stuyven tenterons de se distinguer sur les pavés, ou dans une échappée de costaud. mads pedersen aspire aussi à "une victoire dans le premier jour", pour pouvoir porter le maillot jaune à domicile.

Logiquement, un sprint. la procédure est réglée comme du papier à musique. reprendre les échappés ni trop loin ni trop près du but, puis détacher progressivement les wagons du train, avant d'entrer en gare les premiers. une ligne droite de 600 mètres, et un tracé plat dans la globalité. parfait pour les grosses cuisses du peloton. un spr

Un nouveau sponsors pour une nouvelle vie ! il y a quelque jour, deceuninck est devenu un sponsors principal de cette équipe. quand on connaît le passé de l’entreprise dans le cyclisme, on se demande si la formation belge ne va pas passer un cap. deceuninck, c’est l’ancien sponsors de la quick-step, un des poids lourd du peloton. van der p

Une équipe construite pour jouer le général, mais un leader qui doit prendre des échappées pour accrocher un top 5, ou plutôt un top 10. tous pour guillaume. guillaume martin aura une fois encore toute son équipe à son service. on retrouvera à copenhague walsheid pour les pavés, benjamin thomas pour les bordures, izaguirre, geshke et pere

Une équipe offensive peuplée de baroudeurs, voilà comment la définir. franck bonnamour, supercombatif l’année passée, vise plus haut cette année. une victoire d’étape pourrait lui convenir. du reste, des francs tireurs, avec gougeard, schonbesberger, barthe, lecroq et lemoine, que nous verrons souvent prendre les devants. pierre roland,