Amarre une marrée toxique se propage en moi , disloquant sur son passage les cellules tueuses affamées mais aussi les cellules pantouflardes pacifistes. dommage collatéral, c'est toujours cette explication de réserve dans la bouche des combattants pour se déculpabiliser des massacres de guerre. il fait noir. le sombre recouvre cette mer décha
Mugi
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Un récipiendaire d'idées, d'amours,de passions, d'actualités, de poésies. Une richesse à prendre, à partager dans ce prisme à mille facettes qui nous unis dans nos différences. Amare: Aimer ou Amarre d'un navire en voyage...
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Amare
Un récipiendaire d'idées, d'amours,de passions, d'actualités, de poésies. Une richesse à prendre et à partager dans ce prisme à mille facettes qui nous unis dans nos différences, à cet univers infini mais si magnifique. Amare : Aimer ou l'amarrage d'un bateau ivre de Découvertes, de Terre Adama, de Vérité.
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Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Des murs toujours des murs, des pierres taillées, des pierres assemblées. les murs s’érigent et sont détruits, oubliés et perdus. une fenêtre ouverte sur la nature et la nature s’invite. pousse le temps, pousse la vie. je pénètre dans ce temple les colonnes sont là. les ondes du ciel y pénètrent aussi et l’homme est là. la voute
A toi qui de la mère nourricière as bu du téton, le nectar des têtards, je te lègue, à présent, la puissance guerrière des amazones sans mamelons. je m'accroche à ce souvenir : celui de tes premiers festins laiteux . comme quand tu t'accrochais de tes petits doigts boudinés à mon aréole mammaire (première papille gustative de ton palai
C'etait une nuit terrible il pleuvait comme à gravelotte ...je ne me suis pas réveillée ce matin et j'avais cette expression dans ma tête en boucle. par amour de la cueillette des olives mon compagnon ne cesse de la répéter " il pleut comme à gravelotte " quand les branches ploient par des centaines d' olives vertes, noires, aubergines. avec
Un temps sanguines, les feuilles d'automne en vague furibonde maculaient de vie cet hiver naissant. brasero mon cœur se réchauffait de cette volémie de vermeil.
La plénitude se trouve où mon corps flotte. sous l'étendue d'oxygène sévit le silence. ma tête est prisonnière de l'esprit et elle se loge au dessus, dans le tumulte. prisonnière du passage, l'autre coté du miroir. choisir son monde maintenant. entre la burlesque chimérique ennemie ou la tragique réelle amie. la mort, la vie. choisir. le