« guerre à rome, paix à l’islam. » f. nietzsche le monde est dans l’impasse. même les grandes puissances ne savent plus quoi faire ! elles ne savent plus concocter une guerre qui occuperait leurs peuples, qui les ferait rêver de victoires et de conquêtes. pourvu qu’elle ne mette pas en cause leur supériorité et ne nuise pas à leurs
Homère
H
Homère
Ses blogs
MAJLIS al-UNS
Comprendre la pensée universelle, son élaboration dans l'histoire et son rôle dans le monde actuel.
Homère
Articles :
66
Depuis :
03/04/2010
Categorie :
Religions & Croyances
Articles à découvrir
Deux transmetteurs méconnus de l’enseignement akbarien: hasan b. hamza b. muhammad shîrâzî (m. circa 698/1298) et son maître le shaykh muhammad b. siddîq al-kojojî (m. circa 677/1278) première partie : hasan b. hamza b. muhammad shîrâzî: egalement connu sous le pseudonyme ou peut-être la nisba (ethnique) de al-sharaf al-palâsî (pal
Introduction à l'article consacré au commentaire de quelques versets coraniques depuis que les hommes existent, ils ont toujours commenté oralement d’abord, puis par écrit, les enseignements de leur savoir littéraire, religieux ou scientifique. une attention spéciale est accordée aux textes sacrés, dans les religions aussi bien polythéis
Même bien entourés, les hommes vivent dans la solitude. qu’est-ce que la solitude ? je ne parle pas de cet accident de la vie appelé solitude, ni de son contraire, à savoir le choix assumé de vivre seul. certes l’homme est un animal social ayant besoin de la présence de ses congénères pour mener une vie organisée. les hommes font de pa
Autour de qunyawi, - mu’ayyad al-dîn al-jandî : mort en 690-700 de l’hégire (1290-1300). jandî qui commença le (premier) commentaire intégral du fusûs du vivant même de son maître, et avec son aide, sera par la suite désigné comme le premier commentateur (al-shârih al-awwal) par les commentateurs suivants. il a aussi d’autres écr
Le palmier dans le coran l’écriture de ce modeste article m’a été suggérée par une ‘’trouvaille’’ que j’ai faite en relisant homère. la société décrite par homère est une société aux mœurs orientales. ainsi, la grèce n’est pas l’occident, mais la partie la plus occidentale de l’orient. pour un oriental, l’occiden
Moïse et le prophète de l’islam le cycle a commencé avec noé, témoin du déluge et il finit avec la famille du prophète comme une réédition de l’arche de noé. le prophète a dit : « les gens de ma famille sont comme l’arche de noé (safînat nûh) : celui qui y entrera sera sauvé, celui qui l’abandonnera sera noyé. » dieu a sau
Dans le premier chapitre (al-bâb al-awwal), l’auteur démontre l'unité de l'intellect et l’unité de l’âme humaine avec des arguments empruntés à la philosophie, puis par des arguments traditionnels. il illustre son propos par des vers d'ibn ‘arabî, qualifié de shaykh al-akmal al-akbar: 1) al-rûhu wâhidatun wal-nash'u mukhtalifu f
Le fuṣûṣ al-hikam en tant que résumé de l’histoire métaphysique du monde (enseignée par les prophètes) le plus grand maître de la pensée musulmane, ibn arabî (m. 1240) continue de donner à penser aux musulmans et depuis un siècle au moins, également aux non-musulmans, depuis sa découverte par les occidentaux. plutôt que d’écr
Ibn ‘arabî en iran : une influence sous-estimée omar benaissa depuis qu’elle a vu le jour, la doctrine akbarienne n’a cessé d’exercer en terre iranienne une influence plus ou moins ressentie au cours des âges. après avoir connu une phase d'assimilation dès le premier siècle qui suivit la mort d’ibn ‘arabî (638/1240), elle s’y